Mali : un imam menacé pour avoir défendu les droits de la femme - 12.05.2010

Ses confrères lui reprochent de soutenir le nouveau code de la famille

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El Hadj Sékou Ahmadou Diallo, imam de la ville de Kati, située à 15 km de la capitale malienne, Bamako, est victime de graves menaces émanant d’une partie de ses confrères. La raison ? Son soutien au code de la famille ratifié une première fois en août 2009. Ce texte de loi accorde une place importante aux droits de la femme malienne en lui permettant, entre autres, de désobéir à son mari. Réfuté par le Haut conseil islamique, le code de la famille s’est vu renvoyer devant les parlementaires par le président Amadou Toumani Touré.

Lire la suite : http://www.afrik.com/article19741.html

Messieurs un peu de tolérance et de démocratie, ça ne fera de mal à personne

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La Situation politique et sécuritaire au Nord Mali

Menaces d’Al-Quaïda : Les travaux d'Alatona arrêtés

L19/10/2010 - 'information reste extrêmement confidentielle :" Al - Qaïda au Maghreb Islamique (AQMI) menacerait de s'en prendre aux ressortissants français dans notre pays ". Suite logique, la société SOGEA - SATOM qui travaille sur divers sites, particulièrement à l'Office du Niger, aurait instruit à ses travailleurs d'arrêter les travaux du vaste projet d'Alatona, financé dans le cadre du Millenium Challenge Account (MCA). Le Mali paye ainsi et encore pour les prises d'otages opérées chez ses voisins. Et pourtant d'importantes dispositions sécuritaires avaient été prises pour sécuriser davantage les étrangers. Après le secteur du tourisme, c'est le projet d'Alatona qui est pénalisé.

http://www.maliweb.net/category.php?NID=66243

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La Situation politique et sécuritaire au Nord

Coopération Algérie-Mali : Rien ne va plus !

19/10/2010 - Même si officiellement il n’y a pas de critique au sommet de l’Etat, les manœuvres algériennes sont de plus en plus impopulaires au sein de l’opinion publique malienne. En effet, cette dernière tient l’Algérie responsable de l’instabilité au nord du Mali. Il faut dire qu’elle n’a pas totalement tort. Le Mali n’entretient plus de relations officielles avec les dirigeants du Polisario, même si le pays n’a pas retiré officiellement sa reconnaissance de la « RASD ». Les Maliens ont adopté une neutralité vis-à-vis de la question du Polisario.

Du coup, l’Algérie premier soutien du Polisario, cherche à s’opposer à tout rapprochement du Mali avec le Maroc.

En plus, les multiples accusations des autorités algériennes et de ses médias qui considèrent le Mali comme le maillon faible de la lutte anti-terroriste dans la bande sahélo saharienne ne sont pas de nature à inversé la tendance. Les sorties médiatiques du Chef de l’Etat Amadou Toumani Touré à propos de l’inexistence d’une chaine à plus forte raison d’un maillon présageait déjà d’un divorce sur cette question entre notre pays et celui de Bouteflika. Malgré le signal fort donné par ATT, pour une large concertation sur les questions sécuritaires dans la bande, Alger est resté dans sa logique d’accusation stérile. Raison pour la quelle, le refroidissement de la coopération entre les deux pays ne surprend personne. Mais elle ne manquera pas de profiter aux terroristes qui sont très actifs sur ce vaste désert à cheval entre plusieurs pays.

http://www.maliweb.net/category.php?NID=66251

Une grande campagne médiatique est orchestrée contre l'Algérie dans le seul but de faire oublier au peuple malien sa misère et la pauvreté intellectuelle d'ATT.

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Secret de femme : « Bamako : attention aux autos stoppeuses arnaqueuses »



maliweb.net 21 oct - Dans notre capitale, un nouveau phénomène se développe chez les jeunes filles. Elles multiplient les astuces pour arnaquer les gens dans la circulation : entre « deux doigts et cris de scandales », elles attrapent dans leurs filets de nombreux conducteurs.

La femme est respectée dans notre société, parce qu’elle nous rappelle notre mère, notre sœur, notre partenaire. En effet, les gens éprouvent beaucoup de compassion envers la femme et on est sensible à tout ce qui la touche.

Malheureusement, certaines personnes profitent de ces nobles considérations pour poser des actes peu orthodoxes. Comme le dit le dicton « chat échafaudé craint l’eau froide », les hommes se méfient de courir au secours des jeunes filles de nos jours.

Ceci est dû au fait qu’une nouvelle race de jeunes dames opère en longueur de journée sans éthique, sans morale. Elles arnaquent les honnêtes citoyens, utilisant la ruse, et profitant de la naïveté et de la gentillesse des gens.

Bon nombres d’hommes ont été victimes de ces sangsues, il s’agissait dans le temps des conducteurs de véhicule qui se faisaient extorquer de l’argent par une auto stoppeuse maligne. Actuellement, elles ont jeté leur dévolu sur les conducteurs d’engins à deux roues, "qui stoppés par les demoiselles, se voient faire de drôles de propositions pendant qu’ils conduisent leur passagère" (...) .

D’autre part, parmi cette catégorie de dames, les plus intrépides vont jusqu’ à faire au conducteur du chantage s’il ne leur donne pas la somme qu’elle veulent. Le scénario suivant est qu’elle demande au conducteur de la déposer quelque part.

Une fois qu’elle estime qu’ils sont dans un endroit bondé de personnes, elle se met à crier au scandale et exige que le monsieur lui donne de l’argent. Et si par malheur, il refuse elle crie et ameute les gens pour "commencer à l’accabler de délits fabriqués de toutes pièces".

Nous avons reçu de nombreux témoignages des victimes de cette arnaque. Mais nous avons reçu le témoignage d’un homme qui a refusé de céder à la pression.

"Ce jeune porteur d’uniforme est un ami à un de nos confères. Il se rendait chez des amis quand une jeune demoiselle lui a fait signe de s’arrêter. C’était sur le chemin de Sébenikoro. Elle pria le monsieur de la déposer en ville. Alors qu’ils roulaient, la jeune dame lui a demandé de s’arrêter, elle était arrivée à destination.

Une fois que le jeune homme s’est arrêté, la jeune demoiselle a pris soin de se rassurer qu’il y avait foule non loin : elle a placé ses deux mains au dessus de la tête (comme les femmes aiment bien le faire chez nous dans les situations dramatiques) et s’est mise à crier.

Elle répétait sans cesse que le jeune homme refusait de lui payer son dû (...). Ces cris ont fini par attirer les passants qui ont vite formé un cercle autour du couple.

Le jeune homme, sidéré par la situation, était partagé entre le rire et l’effarement .En effet la jeune fille qui avait fait sortir ses griffes, les yeux larmoyants, était parvenue à attendrir les gens qui commençaient à sommer le jeune homme de lui donner son argent.

La chance du jeune homme fut qu’un policier s’était approché de la scène. Aussitôt, le jeune homme saisit cette aubaine pour se sortir du guêpier. Il demanda aux témoins de la scène et au policier de les accompagner au poste de police le plus proche afin de régler l’histoire.

Une fois sur place, la police a soumis les deux protagonistes à un interrogatoire : la version du jeune homme était cohérente tandis que la jeune demoiselle ne parvenait pas à fournir aux policiers "des élements de conviction compromettant pour le monsieur".

Grâce aux policiers du 14ème arrondissement, le jeune homme fut blanchi et la jeune fille mise en garde de vue afin qu’elle médite sur son geste.

Notre pauvre jeune homme qui a échappé belle à une situation très embarrassante se fait la promesse de ne plus faire monter de femme derrière sa moto dans les rues bamakoises. Et personne ne peut le blâmer en raison du calvaire vécu.

Khadydiatou Sanogo

http://www.la-nation.info/article972.html

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Mali : une sénégalaise écrouée pour l’assassinat de son époux

21/10/2010 - Une ressortissante sénégalaise vient d’être écrouée par la police malienne pour le meurtre de son époux, a rapporté mardi le site Afrique en ligne. Ce crime, particulièrement macabre, défrayait la chronique depuis la découverte du corps de la victime, un tailleur sénégalais, le 3 octobre dernier, enveloppé dans des sacs de riz dans une rue de Bamako. L’épouse a avoué le crime, indique la même source. Elle aurait assommé son mari avec un coup de pilon sur le crâne, avant de l’achever en s’acharnant sur lui avec une hache.

http://www.afrik.com/breve24604.html

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Mali : lancement lundi de la construction de la route Bamako-Ségou, financée par la Chine

LE 23.10.2010 À 18:00 | © 2010 CHINE NOUVELLE

Le président malien Amadou Toumani Touré va procéder lundi, en compagnie de l'ambassadeur de la Chine au Mali, Zhang Guoqing, au lancement des travaux de construction de l'autoroute Bamako-Ségou, financée par la Chine, annonce-t-on de source officielle.

L'accord-cadre relatif au financement du projet d'aménagement de cette route longue dudit de 250 km et qui porte sur prêt préférentiel d'un montant de 1,03 milliard de yuans (environ 75 milliards de FCFA), avait été signé le 27 septembre dernier entre le ministre malien de l'Economie et des Finances, Sanoussi Touré, et l'ambassadeur de la Chine au Mali.

Le projet, qui sera exécuté par l'entreprise chinoise "China Road and Bridge Corporation" va concerner la construction d'une nouvelle route bitumée Bamako-Ségou et l'élargissement et de la réhabilitation de la route existante.

La réalisation du projet d'autoroute a été saluée par Soumana Diarra, membre du conseil de l'assemblée régionale de Ségou.

"Les populations de Ségou ne peuvent que se réjouir des excellentes relations d'amitié entre le Mali et la Chine. Grace aux efforts des partenaires chinois, la région de Ségou est devenue un pôle d'excellence de l'économie malienne, a-t-il déclaré. Rappelant que les premières unités industrielles du Mali indépendant ont été établies dans cette région.

M. Diarra a rappelé que les Chinois avaient construits à Ségou un stade moderne de 25.000 places et créé des infrastructures routières qui ont favorisé le boom immobilier dans la cité.

"Grâce à la Chine, notre ville a perdu son visage de gros village mal éclairé et dépourvue de voies d'accès", a-t-il conclu.

http://www.chine-informations.com/actualite/chine-mali-lancement-lundi-de-la-construction-de-la-route_24414.html

Enquête préliminaire après l'attentat contre l'ambassade de France au Mali

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le 07.01.11 | 18h34 - Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire à la suite de l'attentat mercredi contre l'ambassade de France à Bamako (Mali), a-t-on appris de source judiciaire.

Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire à la suite de l'attentat mercredi contre l'ambassade de France à Bamako (Mali), a-t-on appris de source judiciaire.
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Le parquet de Paris a ouvert vendredi une enquête préliminaire à la suite de l'attentat mercredi contre l'ambassade de France à Bamako (Mali), a-t-on appris de source judiciaire.
L'enquête a été confiée à la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI, contre-espionnage).
Un homme armé se revendiquant d'Al-Qaida, avait provoqué une explosion devant l'ambassade de France en début de soirée, avant d'être arrêté.

L'explosion a fait deux blessés légers, selon les sources officielles maliennes. A Paris, le ministère des Affaires étrangères a fait état d'un "blessé très léger".

Le ministère malien de la Sécurité avait déclaré mercredi soir qu'"un individu de nationalité étrangère" avait "fait exploser une bonbonne de gaz devant l'ambassade de France à Bamako, faisant deux blessés légers parmi les passants" maliens. Des témoins ont cependant assuré que ce n'était pas une bonbonne qui avait explosé mais "une grenade" que l'homme avait jetée.

Le jeune Tunisien de 24 ans arrêté après l'explosion a affirmé aux policiers avoir voulu prouver à d'"anciens camarades" d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) qu'il pouvait "frapper un grand coup tout seul".
Selon une source sécuritaire, le jeune homme avait également "tiré sur le portail" avec un pistolet automatique. Apparemment très mal préparé, il s'est blessé au visage et au cou pendant l'explosion. Mais il n'était pas muni d'une ceinture d'explosifs comme un kamikaze.
Son action aura en tout cas suscité l'inquiétude, Bamako n'ayant jamais été le théâtre d'un attentat pouvant être attribué à la mouvance d'Al-Qaïda.

"Cette attaque (...) vient rappeler la réalité des menaces qui pèsent sur les intérêts et les ressortissants français en zone sahélo-saharienne", selon le Quai d'Orsay.
Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) séquestre actuellement dans le Sahara cinq Français, un Togolais et un Malgache, enlevés en septembre 2010 à Arlit, site minier stratégique du géant du secteur nucléaire français Areva dans le nord Niger.

En août 2009, à Nouakchott, dans la capitale de la Mauritanie, frontalière du Mali, un jeune homme s'était fait exploser près de l'ambassade de France, blessant légèrement deux gendarmes français et une Mauritanienne. Aqmi avait revendiqué cet attentat suicide perpétré par un kamikaze mauritanien.

AFP - http://www.elwatan.com/depeches/enquete-preliminaire-apres-l-attentat-contre-l-ambassade-de-france-au-mali-07-01-2011-106200_167.php

Les intérêts Français au Malis sont compromis, les attentats sont un signe qui ne trompe pas

Coup d'Etat militaire au Mali: le président Touré serait «en lieu sûr»

Des militaires maliens ont annoncé jeudi matin avoir mis «fin au régime incompétent» en place à Bamako, avoir dissous «toutes les institutions», suspendu «la constitution» et décrété un couvre-feu, dans une allocution à la radio-télévision nationale qu'ils occupaient depuis mercredi. Une source militaire loyaliste jointe à Bamako a toutefois affirmé que le président malien Amadou Toumani Touré «va bien» et est «en lieu sûr».
La source n'a pas précisé si le chef de l'Etat renversé par une mutinerie militaire se trouvait dans la capitale, en province ou hors du Mali.

Le porte-parole de ces soldats, le lieutenant Amadou Konaré, a affirmé qu'ils avaient agi pour faire face «à l'incapacité» du régime du président Amadou Toumani Touré «à gérer la crise au nord de notre pays», en proie à une rébellion touareg et aux activités de groupes islamistes armés depuis la mi-janvier. Le lieutenant Konaré, entouré d'une dizaine d'autres militaires, parlait au nom d'un Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNRDRE). Peu après, le capitaine Amadou Sango, chef de la junte, a pris la parole pour annoncer qu'un couvre-feu avait été instauré à compter de jeudi.

Le lieutenant Konaré a également justifié le coup d'Etat par le «manque de matériel adéquat pour la défense du territoire national» mis à la disposition de l'armée pour lutter contre la rébellion et les groupes armés dans le nord, et «l'incapacité du pouvoir à lutter contre le terrorisme». La junte a «pris l'engagement solennel de restaurer le pouvoir» aux civils et de mettre en place un gouvernement d'union nationale.

Les ministre des Affaires étrangères et de l'Administration du territoire arrêtés

Les putschistes étaient dans un premier temps apparus à l'Office de la radio-télévision malienne (ORTM), mais l'allocution du lieutenant Konaré n'avait pas pas pu être entendue en raison, apparemment, d'un problème technique. Il a du s'y reprendre à plusieurs reprises avant d'être clairement entendu.

«Nous contrôlons le palais présidentiel», avait auparavant annoncé un soldat mutin sous couvert de l'anonymat, un autre affirmant que plusieurs personnalités du régime du président Touré, dont le ministre des Affaires étrangères Soumeylou Boubèye Maïga et celui de l'Administration du territoire, Kafougouna Koné, avaient été arrêtées. Une source indépendante a affirmé que le président Touré «et ses hommes ne sont plus au palais», sans préciser où ils se trouvaient.

Des échanges de tirs nourris entre la garde présidentielle et les mutins ont été entendus pendant plusieurs heures dans la nuit de mercredi à jeudi, avant de diminuer d'intensité.

L'ORTM, occupée par les mutins, avait annoncé mercredi vers 23H00 (locales et GMT) une déclaration de militaires «dans un instant», mais ce n'est que six heures plus tard qu'ils ont pris la parole.

Coup d'Etat militaire au Mali: le président Touré serait «en lieu sûr»

22.03.2012

Citation :

Des soldats mutins maliens ont affirmé jeudi à l'AFP avoir pris le contrôle de la présidence à Bamako après plusieurs heures de combats avec la garde présidentielle et avoir arrêté des ministres, dont celui des Affaires étrangères, Soumeylou Boubèye Maïga. | Habibou Kouyate

http://www.leparisien.fr/international/mali-des-militaires-disent-avoir-pris-le-pouvoir-22-03-2012-1918507.php

Mali : Condamnations internationales, appels au retour à l’ordre constitutionnel

(APS) jeudi 22 mars 2012 13 : 53

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ALGER- Le coup de force mené par des militaires mutins qui ont annoncé avoir pris le pouvoir au Mali a été vivement dénoncé jeudi par plusieurs pays et organisations internationales qui ont appelé au retour à l’ordre constitutionnel dans le pays.

http://www.aps.dz/Situation-au-Mali-condamnations.html

Mali, les insurgés ferment les frontières

MOSCOU, 22 mars - RIA Novosti

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Les chefs des unités insurgées de l'armée malienne ont annoncé jeudi la fermeture des frontières terrestres et aériennes du pays, rapporte l'agence Chine nouvelle se référant au lieutenant Amadou Konaré, porte-parole des mutins.

Il a également exhorté les militaires qui n'avaient pas soutenu la rébellion, à passer immédiatement du côté des insurgés.

http://fr.rian.ru/world/20120322/194005947.html

De quelles frontières parle le Lieutenant Konaré ? Celles qui ont toujours été de vraies passoires par lesquelles continuent de transiter les criminels de l'AQMI et du Mujao avec armes et bagages ?