Un ex-soldat israélien veut rejoindre la résistance palestinienne
Andre Pshenichnikov
14/06/2012 | 21:19
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Le jeune Andre Pshenichnikov explique vouloir rejoindre «la résistance palestinienne». Une démarche qui suscite la suspicion tant côté israélien que palestinien. «Je hais le sionisme». L’explication a le mérite d’être claire. Andre Pshenichnikov, un jeune juif de 23 ans, veut renoncer à sa nationalité israélienne pour devenir Palestinien.
Arrivé à 13 ans du Tadjikistan avec sa famille, Andre a fait ses trois ans de service militaire obligatoire avant de travailler une année supplémentaire pour l’armée en tant qu’informaticien.
C’est pendant son service qu’il aurait commencé à développer un regard critique sur la situation palestinienne. En sortant de l’armée en avril, il s’est installé quelques mois dans le camp de réfugiés palestiniens Deheishe en Cisjordanie et il a travaillé sur des chantiers et comme serveur dans un hôtel à Bethleem.
Actuellement en voyage en Europe, le jeune homme compte bien s’installer en Cisjordanie à son retour et trouver un poste de guide russophone à Bethléem, la ville natale de Jésus que de nombreux touristes russes viennent visiter chaque année. «Je veux faire partie de la résistance palestinienne, a-t-il expliqué à Associated Press.
J’appelle tous les Israéliens qui soutiennent la création d’un État palestinien à venir vivre en Cisjordanie ou à Gaza en tant que Palestiniens».
Pris pour un espion israélien
Malheureusement pour lui, sa démarche est perçue avec autant de suspicion du côté palestinien qu’israélien. Dans le camp de réfugiés, certains l’ont pris pour un espion israélien, d’autant plus qu’il aurait menti en se présentant comme un militant pro-palestinien russe.
La police palestinienne l’a remis deux fois aux autorités israéliennes, qui lui ont interdit de retourner dans les territoires occupés. Si des milliers d’habitants palestiniens de Jérusalem-est demandent (discrètement) la citoyenneté israélienne, la démarche inverse est exceptionnelle.
Reste donc à voir si Pshenichnikov réussira à aller au bout de son projet. Il existe quelques rares cas de citoyens juifs israéliens vivant sous autorité palestinienne, souvent après avoir épousé des Palestiniens.
Techniquement, Pshenichnikov ne peut pas devenir citoyen palestinien, puisqu’il n’existe pas encore de véritable État palestinien. Il peut toutefois demander à l’Autorité Palestinienne de lui délivrer une carte de résident ou même un passeport palestinien, comme c’est prévu pour les habitants des zones A de la Cisjordanie dans les accords d’Oslo II de 1995.
Il pourra alors demander à renoncer à la nationalité israélienne, comme le font chaque année une centaine d’Israéliens qui quittent le pays. Et la double citoyenneté israélo-palestinienne? En théorie elle est impossible, mais quelques cas symboliques font exception.
Ainsi, le célèbre chef d’orchestre argentino-israélien Daniel Barenboim a accepté en 2008 de recevoir un passeport palestinien «honorifique», en guise de remerciement pour son engagement auprès de la cause palestinienne.
L’année dernière, c’est le militant de la paix israélien Ofer Bronchtein qui s’est vu remettre un passeport palestinien des mains de Mahmoud Abbas, lors de la visite du président palestinien à Paris. «Une façon de démontrer qu’il faut œuvrer pour la création d’un État palestinien et que c’est possible», avait-il expliqué.(Afp)
L’armée israélienne à suspendu les permission de ses soldats et aurait placé en alerte son armée depuis quelques heures. Des mesures justifiées pas des renseignements et des alertes avancées des services extérieurs de renseignement (Mossad) et du renseignement militaire (Aman). Tsahal se positionne pour faire donc face à une « confrontation d’envergure avec l’armée syrienne fidèle à Bachar Al-Assad, et non le peuple syrien » selon les sources citées par plusieurs experts militaires.
« Dans un dernier coup de folie, Al-Assad pourrait surprendre le monde entier en lançant une offensive aérienne contre Israël, puis terrestre, ce serait suicidaire pour lui et son armée, mais ce principe pourrait noyer la résistance dans le populisme de base anti-israélien et casser le concept de révolution en ouvrant un front contre l’ennemi héréditaire, Israël. Pour ce faire, il n’a qu’à envoyer deux ou trois avions de chasse survoler le Golan, ils seront abattus… Assad est capable de ce genre de surprise stratégique » précise notre rédacteur en chef, Jean-Paul Ney.
Les nouveaux avions d’entraînement israéliens seront… Italiens!
21-07-2012 - 11:21
Citation :
L’italien Finmeccanica SpA a signé un contrat de 850 millions de dollars à Rome avec le ministère israélien de la guerre pour la vente de 30 avions de chasse M-346. Les contrats ont été signés par l’Italien Alenia Aermacchi, Telespazio et SELEX Elsag.
Alenia Aermacchi sera chargé de fournir les avions, y compris les jets d’aéronefs, les moteurs, la maintenance, la logistique, des simulateurs et de la formation, pour une valeur totale de 1 milliard de dollars.
SELEX Elsag fournira l’identification, la communication et des systèmes informatiques pour les commandes de vol des 30 M-346.
Les livraisons des M-346S débuteront à la mi-2014. Ces appareils remplaceront les A-4 Skyhawk actuellement utilisés par l’armée d’occupation.
L’accord comprend la fourniture réciproque de matériel, ainsi, Israel Aerospace Industries va construire un système de haute résolution optique pour le satellite militaire d’observation, baptisé OPTSAT-3000; géré par Telespazio. Ce dernier est l’entrepreneur principal des satellites italiens, il investi 200 millions de dollars par satellite, pour ses services de lancement, ses activités opérationnelles et logistiques, et les tests en orbite. Le satellite sera livré en 2015.
Les Etats-Unis vont débloquer 70 millions de dollars pour financer le complexe de défense antimissile israélien « Iron Dome », a annoncé vendredi le président américain Barack Obama .
Le chef d’Etat américain a déclaré que la récente attaque terroriste en Bulgarie contre des touristes israéliens prouve que la lutte contre le terrorisme reste un défi pour Israël, mais aussi pour le monde entier. Obama a également souligné que les Etats -Unis sont déterminés à continuer à soutenir Israël et feront tout le nécessaire pour garantir la sécurité de ce pays .
Les Etats-Unis ont déjà débloqué plus de 200 millions de dollars pour financer le système de défense antimissile d’Israël. Pentagone a annoncé son intention de poursuivre le financement le 27 mars dernier, seulement quelques semaines après que les informations sur la préparation d’une frappe israélienne contre l'Iran ont paru dans les médias .
Israeli Navy missile boats complete large-scale drill
Over the past few weeks, Israeli combat soldiers practiced different scenarios including conflict with an enemy fleet, threats by local terror organizations and more.
Les dirigeants multiplient les déclarations martiales et l'armée redouble d'activité.
Benyamin Nétanyahou, dimanche à Jérusalem.
Citation :
Une atmosphère de veillée d'armes règne en Israël. La plupart des journaux font leur une sur une possible et imminente attaque contre des installations nucléaires iraniennes. L'armée distille des informations sur l'accélération des préparatifs de défense pour faire face aux représailles iraniennes qui ne manqueraient pas de suivre une offensive israélienne. Le gouverneur de la Banque d'Israël, Stanley Fischer, reconnaît l'existence d'un plan d'urgence pour l'économie en temps de guerre. Quant à Benyamin Nétanyahou, le chef du gouvernement, et Ehoud Barak, le ministre de la Défense, ils multiplient les déclarations martiales sur une «option militaire» à laquelle l'État hébreu pourrait recourir dès cet automne, sans le feu vert explicite des Américains.
Cette brusque montée de tension se reflète dans les sondages: 37 % des Israéliens estiment qu'un nouvel Holocauste est possible si l'Iran parvenait à se doter de l'arme nucléaire. Les médias relaient, il est vrai, des informations ayant de quoi sérieusement inquiéter la population. Un exemple: le quotidien Haaretza cité récemment des estimations de responsables du ministère de la Défense prévoyant qu'une attaque de missiles de l'Iran et du Hezbollah libanais, allié de Téhéran, provoquerait la mort de quelque 300 civils.
Les militaires sont sur le qui-vive. «Nous devons nous préparer à combattre sur plusieurs fronts à la fois», affirme le général Benny Gantz, le chef d'état-major. Détail important: le plus haut gradé est, selon tous les médias, hostile à une offensive israélienne contre l'Iran, de même que les dirigeants actuels du Mossad, et Shimon Pérès, le président.
Pour contrer ces oppositions, Benyamin Nétanyahou proclame haut et fort que «dans une démocratie, c'est aux dirigeants politiques de décider et aux militaires d'exécuter». Il a également rappelé qu'en 1981 Menahem Begin, premier ministre de l'époque, avait rejeté les objections des militaires et des services de renseignements et donné l'ordre de détruire une centrale nucléaire construite par la France près de Bagdad.
Sur le terrain, l'armée met effectivement les bouchées doubles. Les batteries de missiles antimissile disséminées sur le territoire israélien vont être équipées dans les prochaines semaines d'un nouveau système améliorant leurs capacités d'interception en vol. Par précaution, les militaires ont décidé de répartir les stocks de munitions dans un plus grand nombre de bases afin que les pertes soient limitées en cas d'attaques ciblées de missiles. L'armée a également emmagasiné dans des usines civiles des dizaines de milliers de rations alimentaires de combat et d'autres équipements.
Les militaires ont aussi amélioré le réseau de routes logistiques afin que les troupes sur le front, notamment le long de la frontière avec le Liban et la Syrie, puissent être ravitaillées à temps. Pour compléter le tout, le ministère de la Défense a donné son feu vert à la construction de trois installations souterraines qui abriteront des stocks d'armes, de munitions, de carburants et des pièces détachées. L'ensemble sera fortifié afin de résister à des explosions de missiles.
L'armée israélienne va acquérir de nouvelles Rafael Mini homme de Spike système portable de missiles électro-optique.
Citation :
L'IDF (Forces de défense israéliennes) est dans la première phase de l'acquisition de nouveaux Rafael Mini-Spike. Le plus petit membre de la famille Rafael de missiles Spike, le nouveau système pèse 4 kg. Lors de l'exposition de la défense de Paris, Eurosatory 2012, la société israélienne Rafael a dévoilé le Spike MINI, un homme portable, polyvalent miniature électro-optique système d'arme missile. MINI SPIKE est le membre le plus petit et le plus léger de la FAMILLE SPIKE.
Le système d'arme missile comprend une unité de pointe miniature lancement de commande (MICLU) et un état de l'art miniaturisé élire optique attaque de précision sans fil missile guidé.
Un soldat écrasé par un char pendant les exercices en Israël
28.08.2012, 17:35
Citation :
L'enquête ouverte suite à l'écrasement d'un soldat par un char pendant les exercices de l'armée israélienne dans le Golan a établi que le soldat dormait sur le terrain. Le conducteur d'un char de 65 tonnes ne l'a pas tout simplement vu.
D'après les sources militaires, le soldat blessé n'était pas seul à dormir sur le terrain contrairement aux règles de la sécurité.
Il se trouve actuellement dans un hôpital et selon les médecins son état est critique.
Israeli Defence Forces soldiers test the new Namer APC Armoured Personnel Carrier.
Update September 1, 2012
Citation :
Last week, soldiers of the Golani Brigade participated in an exercise on the IDF's (Israel Defence Forces) newest and most advanced armored personnel carrier (APC), the Namer (Leopard).
The Namer, which is built on the frame of a Merkava IV tank, boasts advanced technology enabling it to travel safely and securely through difficult and dangerous terrain. Specifically, it is protected against explosives, machine guns, and anti-tank missiles.
It is equipped with the Trophy active defense system, as well as an internal air conditioning unit that allows it to travel safely through areas contaminated by hazardous materials.
Inauguration d’une base de Tsahal le long de la frontière avec l’Egypte
Publié le : 6 septembre 2012
Citation :
Le vice-chef d’état-major, Yair Naveh, a inauguré cette semaine une nouvelle base armée israélienne le long de la frontière avec l’Egypte. « Saguv » a été construite en 6 mois seulement et accueillera les Forces de Défense en transit vers les points de surveillance de la frontière Sud.
La base est également considérée comme une mise à niveau considérable pour les soldats, qui sont déjà déployés dans la région. Régulièrement, les soldats qui servent dans cette région se plaignent de leurs conditions de vie épouvantables.
Pendant ce temps, l’armée égyptienne déploie des blindés légers dans le Sinaï pour remplacer un certain nombre de chars lourds dont la présence avait soulevé des inquiétudes en Israël. Une source anonyme a déclaré la semaine dernière que l’armée égyptienne avait commencé à retirer certains tanks après les avoir utilisés dans une opération antiterroriste.
Les troubles se sont propagés dans le Sinaï depuis le renversement de l’ancien président Hosni Moubarak, l’an dernier. Les analystes disent que les islamistes ont des liens forts avec Al-Qaïda. Et la présence des Bédouins dans la région n’améliore rien : pour quelques dollars, ils sont prêts à faire n’importe quoi.
« Vingt chars ont été retirés du secteur central du Sinaï vers Suez, » a affirmé un observateur israélien, ajoutant que près de 20 véhicules blindés ont atteint el-Arish, le centre administratif du nord du Sinaï. Il est cependant difficile de savoir si ces chars sont retirés suite aux plaintes israéliennes ou non.
Tsahal: les filles du Bataillon Caracal, armées et dangereuses
Ajouté par Jacques N. Godbout on 24 septembre 2012.
Citation :
Une fusillade mortelle la semaine dernière le long de la frontière israëlo-égyptienne a mis en lumière le rôle du bataillon Caracal, une unité de combat composé d’hommes et de femmes.
Le week-end du 21 septembre, à la frontière israélo-égyptienne, trois terroristes équipés d’armes et de ceintures explosives ont tenté de pénétrer en territoire israélien et le bataillon Caracal a ouvert le feu et tué les trois terroristes qui n’ont donc pas réussi à s’infiltrer sur le territoire israélien.
Dans l’Armée israélienne, les femmes, exclues du combat jusqu’en 2000, servent généralement dans des postes administratifs ou techniques et une minorité seulement sert dans des rôles de combat. En revanche, 60 % des soldats Caracal sont des femmes et, aujourd’hui, la reconnaissance de leur valeur arrive enfin après bien des années de défis.
Le bataillon tire son nom d’un félin de petite taille qui vit au Moyen-Orient. Le bout de ses pattes, son museau et ses oreilles sont noirs d’où son nom, qui signifie en turc « oreilles noires ».
Alors, si votre chemin croise celui d’un, ou plutôt d’une Caracal, prenez garde!
Israël introduira le système d'identification ami ou ennemi pour tous les avions
15.10.2012, 19:25
Citation :
Israël introduira les exigences nouvelles de l'identification ami ou ennemi (IFF) pour les aéronefs légers et de petite taille, ainsi que pour les avions à destination générale. Aux termes d'un nouveau projet de loi tous les aéronefs, sans pilote compris, effectuant un vol au-dessus du territoire israélien doivent en être équipés.
En outre, les aiguilleurs du ciel des aéroports civils devront entretenir une laison permanente avec l'armée de l'air d'Israël. De cette façon les militaires se proposent d'avoir un tableau complet des déplacements de tout aéronef dans l'espace aérien du pays.
Les règles nouvelles sont en train de préparation suite à la pénétration dans l'espace aérien d'Israël d'un drone de reconnaissance iranien lancé le 6 octobre dernier depuis le territoire libanais.
Sujet: Armée et Mossad auraient bloqué les préparatifs d'une opération militaire contre l'Iran Lun 5 Nov 2012 - 13:46
Armée et Mossad auraient bloqué les préparations d'une opération militaire contre l'Iran
par Gerard Fredj - Numéro 1153 - 05.11.2012
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L'armée et le Mossad auraient refusé, en 2010, de donner suite à une demande du Premier ministre, Benjamin Natanyahou, et du ministre de la Défense, Ehud Barak, de se préparer pour une opération militaire contre l'Iran.
C'est ce que révèle une longue enquête de la deuxième chaine de télévision, qui précisent que le chef du Mossad comme l'Etat major se seraient soustraits à cet ordre de peur qu'une guerre ne s'ensuive. Les deux responsables politiques auraient finalement cédé.
Pour l'armée et le Mossad, à l'époque, il ne s'agissait pas d'un ordre formel, mais d'un "jeu de guerre". Selon l'enquête qui sera diffusée lundi à la télévision, Gabi Ashkenazi, alors chef d'Etat major, et Meïr Dagan, directeur du Mossad s'y sont, de toutes façons, opposés.
A la fin d'une réunion qui rassemblait les sept plus importants ministres du Cabinet, réunion à laquelle participaient Ashkenazi et Dagan, Netanyahou a ordonné d'élever le niveau d'alerte et de préparation des forces de sécurité à "P plus", un niveau qui signifie la préparation à une action militaire.
Selon le magazine de télévision "Uvda", Dagan s'est élevé contre la demande en des termes très violents : " Vous êtes en train de prendre une décision illégale d'aller à la guerre, seul le Cabinet peut en décider", aurait il déclaré à Netanyahou et Barak.
Les proches d'Ahkenazi expliquent dans le reportage que le chef d'Etat major considérait que l'augmentation du niveau de préparation créait "un état de fait qui conduirait inévitablement à la guerre".
Selon Barak, le chef d'Etat major aurait simplement objecté que l'armée israélienne n'était pas prête et n'aurait pas la capacité opérationnelle d'exécuter un tel ordre. Pour le ministre de la Défense, le niveau "P plus" ne signifiait "pas forcément d'aller à la guerre".
Barak conteste la version de la journaliste Ilana Dayan qui anime l'émission; pour lui "le Chef d'tat major peut faire des recommandations, donner des informations professionnelles sur ce qu'il est possible de faire ou pas, permettre à l'armée de construire sa capacité opérationnelle mais nous pouvons allez contre ses recommandations".
En privé, Ashkenazi aurait affirmé que l'option militaire était prête, que les forces armées étaient préparées pour une opération militaire mais que ce serait "une erreur stratégique".
Dagan s'est à plusieurs reprises élevé contre une telle option militaire au cours des cinq dernières années; et au cours de sa première apparition publique après qu'il ait quitté ses fonctions de directeur du Mossad, en mai 2011, il a qualifié le projet d'attaque contre l'Iran de " stupide".
Ashkenazi a également fait connaître publiquement son opposition à une opération armée contre l'Iran, depuis qu'il a quitté l'uniforme. Pour l'ancien chef d'état major, la poursuite d'opérations clandestines contre le programme nucléaire iranien était "la meilleure chose".
Il a exprimé le même point de vue en août dernier dans une réunion d'experts de la sécurité nationale : " aujourd'hui encore, je pense que nous devons continuer les opérations, tout est possible, tout ce qui est en deçà de la guerre, tout ce qui est en deçà d'une opération militaire ouverte".