Israël - Défense : Google View expose des bases militaires
par Gerard Fredj - 07.05.2012
Citation :
Le Service Google View – qui permet de visualiser des rues et batiments – a exposé des détails classifiés d'une base militaire secrète de la région de Tel Aviv.
Google view a été lancé en avril dernier dans les principales régions d'Israël, en dépit des nombreuses réserves qui avaient entouré ses débuts.
Centré sur cette base militaire, grâce à Google view, il était possible d'apercevoir les soldats, mais également les véhicules et leurs immatriculations.
Cette révélation accentue les critiques émises lors du lancement du service, sur les risques qu'il faisait courir à la sécurité nationale, en fournissant des informations utilisables par les ennemis de l'état hébreu en particulier lors de conflits.
Google view était supposé être lancé en coordination avec les services de sécurité israéliens, qui avait demandé à Google de bloquer certaines images sensibles, notamment celles liées aux services du ministère de la défense et aux sites militaires.
Mais certains de ces sites sensibles semblent être passés à travers les mailles du filet. Récemment encore, un journaliste israélien, Yossi Dorfman, révélait sur son blog que, s'agissant d'une autre base militaire, on peut voir les mouvements à l'intérieur, le visage des soldats qui montaient la garde comme les plaques des véhicules.
Selon le journaliste, la mise à disposition de ces images sur internet constitue un risque réel pour la sécurité des installations.
Google s'est contenté de la position officielle de la firme : les images sont produites en coopération avec les autorités israéliennes.
Aide militaire US pour améliorer le système de défense israélien
> 16.05.2012, 18:53
Citation :
Le sous-comité de la Défense, qui fait partie du Comité budgétaire de la Chambre des représentants des Etats-Unis, devrait débloquer sous peu près d'1 milliard de dollars américains destinés à l'amélioration des systèmes de défense anti-missiles et anti-roquettes israéliens, a déclaré lundi un membre dudit sous-comité.
Le député américain Steve Rothman, membre du sous-comité, a annoncé dans un communiqué que 947 millions de dollars américains seraient consacrés à l'expansion des systèmes de défense israéliens « Dôme d'acier » (Iron Dome), « Fronde de David » (David's Sling) et « Flèche » (Arrow) à partir de l'année prochaine.
Imaginez un monde plongé dans les ténèbres et le froid extrême, avec la lumière du soleil assombrie par un épais nuage de poussière. Imaginez un monde replongé dans le chaos. C’est l’image conçue d’un monde abandonné à la déréliction par des armes de fin du monde.
Selon la théorie de l’Option Samson, Israël se réserve l’option de riposter massivement avec des armes nucléaires au cas où son existence serait gravement menacée par la puissance militaire d’un autre pays - même si le régime refuse d’admettre qu’il possède un important arsenal militaire.
Le premier signe de menace nucléaire date de la guerre du Kippour (« Grand Pardon") en 1973, considérée comme le plus féroce des conflits arabo-israéliens : alors que les forces arabes étaient sur le point de défaire les forces israéliennes, la Première Ministre sioniste Golda Meïr ordonna que 13 bombes atomiques soient préparées pour être utilisées soit par des missiles soit par l’aviation. Et le Président Nixon accéda à la demande israélienne. En fait, l’option Samson est un plan effrayant conçu par des dirigeants israéliens pour faire tomber le Moyen-Orient et le monde entier si nécessaire, et déclaré « kasher ». Seymour M. Hersh, auteur lauréat du prix Pulitzer, a émis l’hypothèse suivante : « Si la guerre éclatait au Moyen-Orient et si les Syriens et les Egyptiens perçaient à nouveau comme ils l’ont fait en 1973 [guerre du Kippour], ou si une nation arabe tirait à nouveau des missiles sur Israël, comme l’Irak [pendant la guerre du Golfe en 1991], une escalade nucléaire, naguère inconcevable sinon en tout dernier ressort, serait à présent une forte possibilité ».
Le 2 novembre 2011, Israël a testé et tiré un missile qui selon lui serait capable de porter une tête nucléaire et de cibler toute partie du Moyen-Orient, y compris l’Iran.
Les autorités israéliennes maintiennent que le missile à capacité nucléaire peut toucher toute cible dans un rayon de 10.000 km. En d’autres mots, il peut toucher la Russie, la Chine ou n’importe quelle partie de l’Europe.
Il est maintenant de notoriété publique que Tel Aviv est une puissance nucléaire qui dispose d’un vaste arsenal supposé accueillir 300 à 400 têtes nucléaires. Les Israéliens ont longtemps gardé le silence sur la question et refusent toujours de reconnaître l’existence de cet arsenal nucléaire.
Dans son livre plein de révélations « The Samson Option » (1991), Seymour Hersh arguait que l’idée de produire des armes nucléaires a été initiée par le dirigeant militaire Moshe Dayan début 1968. Depuis, Israël s’est mis à produire trois à cinq bombes par an. Après tout, les activités nucléaires illégales d’Israël remontaient à 1950 à Dimona, ville dans le désert du Neguev idéalement localisée pour ce genre d’activités clandestines. Si Hersh a dit vrai, Israël devrait donc posséder à présent plus de 200 bombes atomiques. Le régime sioniste a signé un accord avec la France au début des années ’60 et reçu le matériel nécessaire pour entamer un programme d’armement nucléaire incluant un réacteur, une usine d’extraction de plutonium et la conception. En 1962 les Français ont aidé à construire l’implantation de l’usine de plutonium souterraine, qui fut achevée en 1965. Les Israéliens ont assuré une sécurité rigoureuse autour du périmètre de l’usine nucléaire. En 1973 ils ont abattu un avion de tourisme libyen volant à proximité et tué ses 104 passagers. Le régime a été classé sixième producteur mondial de bombes nucléaires dans les années ’60. Le reste du matériel nécessaire comme l’uranium et l’eau lourde a été fourni par la Norvège, la France et les Etats-Unis.
Une opération au nom de code Plumbat a été exécutée conjointement par le Mossad et LAKAM (une agence de renseignement du Ministère de la Défense israélien spécialisée dans le vol de technologie pour Dimona) pour mener l’effort d’armement nucléaire. Un cargo allemand transportant 200 tonnes d’oxyde d’uranium disparut subitement. Quand il fut retrouvé dans un port turc, le chargement avait disparu. Plus tard il devint évident qu’il avait été transféré sur un navire israélien grâce aux efforts conjoints de Mossad et Lakam.
Avant que Seymour Hersh n’éclaire les aspects cauchemardesques des bombes nucléaires israéliennes, c’est Mordechai Vanunu, un ancien technicien de Dimona qui avait attiré l’attention de la communauté internationale sur le programme d’armement nucléaire israélien, en 1986. Mordechai Vanunu, de gauche et soutenant les droits de l’homme palestiniens, a sorti clandestinement des dizaines d’images et de documents de Dimona et les a transmis au Sunday Times de Londres. Les images et documents prouvaient qu’Israël était en possession d’un arsenal nucléaire assez important, soit 200 bombes thermonucléaires hautement sophistiquées. Ils révélaient également que la capacité de Dimona avait énormément augmenté au fil des années et qu’Israël produisait 1,2 kilos de plutonium par semain, suffisamment pour produire 10 à 12 bombes par an. Toutefois Vanunu a payé le prix fort pour ces révélations et a passé 18 ans en prison, dont 11 années à l’isolement carcéral.
Israël suit une politique d’opacité nucléaire
En d’autres mots, on a conseillé au régime de ne pas faire connaître voire de nier la possession d’armement nucléaire. Bouche cousue est le terme israélien pour politique nucléaire... Dans une réunion secrète entre la Première ministre Golda Meïr et le Président US Richard Nixon, les deux parties ont convenu qu’aussi longtemps qu’Israël refuserait de déclarer publiquement la possession du nucléaire ou les essais, les Etats-Unis supporteraient et dissimuleraient le programme nucléaire du régime. C’est devenu une part indispensable de la politique US-Israël. Néanmoins en 2006, le nouveau Secrétaire à la Défense Robert Gates déclara à une commission sénatoriale, dans un moment d’égarement momentané ( ?), qu’Israël avait des armes nucléaires.
Mordechaï Vanunu, avec en arrière-plan l’image satellite du centre de Dimona.
En fait cela n’a rien changé au programme nucléaire israélien au cours des années et les autorités de Washington ont exprimé leur soutien constant à Israël et à sa sécurité. En juillet 2011 le Président Barack Obama a même rassuré le Premier ministre Benjamin Netanyahou quant au soutien inconditionnel au régime : « Nous croyons fermement que vu sa taille, son histoire, la région où il se trouve ... Israël a des exigences sécuritaires uniques. Israël doit pouvoir se défendre - par ses propres moyens - contre toute menace ... Et les Etats-Unis ne demanderont jamais à Israël aucune démarche qui menacerait ses intérêts sécuritaires ».
L’histoire du programme d’armement nucléaire israélien est triste et douloureux et le fait que certains pays européens ont secrètement catapulté ce régime dans le cauchemar nucléaire est une honte. En revanche ce qui est encore bien plus honteux, c’est que pendant toutes ces années les USA ont été au courant de ces activités illégales clandestines et les ont même soutenues.
Le pire est encore à venir
Avec 300 à 400 bombes nucléaires Israël a été transporté dans un tableau d’horreur apocalyptique pour tout le Moyen Orient si pas pour le monde entier.
* Ismaïl Salami est un écrivain iranien spécialiste du Moyen-Orient, iranologue et lexicographe. Il écrit beaucoup sur les dossiers étatsuniens et moyen-orientaux et ses articles ont été traduits dans un grand nombre de langues.
11 mai 2012 - Palestine Chronicle - Vous pouvez consulter cet article à : http://palestinechronicle.com/view_... Traduction : Info-Palestine.net - Marie Meert
Le gouvernement indien a décliné une demande du ministre de la Défense israélien, Ehoud Barak, de venir en visite officielle dans le pays.
Il s'agissait pour lui de se rendre au salon de l'armement Defexpo, rapporte le quotidien The India Express.
Ce salon international de l'armement s'est tenu du 29 mars au 1er avril, mais The India Express n'a révélé l'information que mercredi matin. Le pavillon israélien était le plus important de l'exposition, avec près de 20 entreprises israéliennes représentées, exposant plusieurs de leurs produits.
S'y trouvaient aussi des représentants du ministère de la Défense d'Israël.
Le gouvernement pensait donc que l'édition 2012 du salon était une bonne occasion de symboliser la fructueuse coopération israélo-indienne en envoyant sur place son ministre de la Défense.
Une coopération dans le renseignement, mais surtout au niveau du marché militaire: il y a quelques années, Israël est devenu le second fournisseur d'armes de l'Inde, passant devant la Russie.
New Delhi achète à Jérusalem des systèmes de défense, des avions de reconnaissance et des missiles, et demande à ses ingénieurs de mettre à niveau ses vieux chars et avions russes.
Mais le ministère indien de la Défense a refusé la proposition israélienne, craignant que la visite de responsables israéliens de premier plan, comme Barak, crée des tensions dans son pays et heurte l'importante communauté musulmane qui y vit.
Un responsable israélien a indiqué au quotidien Haaretz que les Indiens ont évoqué une situation intérieure sensible ajoutant "qu'ils n'étaient actuellement pas intéressés par des visites de dirigeants israéliens".
Selon l'India Express, c'est le ministre de la Défense, A.K. Antony – qui préfère faire profil bas quand aux relations sécuritaires entre les deux pays - qui est à l'origine du refus, sans consulter la diplomatie indienne, qui elle entretient des relations ténues avec l'Etat hébreu: en janvier dernier, le ministre indien des Affaires étrangères, S. M. Krishna, s'est rendu en Israël.
Les diplomates israéliens comme les responsables de ministère israélien de la défense se sont refusés à tout commentaire.
Israël - Les enjeux du service national pour les arabes israéliens
> par Misha Uzan - 24.05.2012
Citation :
La loi Tal, qui permettait aux arabes israéliens et aux jeunes juifs orthodoxes désirant étudier en yeshiva de ne pas accomplir de service militaire a été censurée par la Cour supreme il y a quelques semaines pour discrimination.
Si l'enjeu d'une nouvelle loi - qui proposera probablement un service civil de substitution pour tous - est d'importance concernant le monde orthodoxe, il convient de ne pas oublier le cinquième de la population du pays, la communauté arabe, dont certaines positions radicales nuiront finalement à leur intégration.
L'Allemagne serait prête à subventionner la vente d'un sous-marin de type Dolphin à Israël, apprend-on de source officielle. Ce bâtiment de guerre, doté de capacités nucléaires, est le 6ème du genre à être livré à la marine israélienne. Du coté de Berlin, on précise que le gouvernement allemand a décidé d'allouer un budget spécial de 135 millions d'euros. Objectif : financer environ un tiers du coût de fabrication du sous-marin Dolphin. Un sous-marin qui devrait parvenir à Israël courant 2012.
A l'évidence, si les relations israélo-allemandes ont laissé apparaitre quelques tensions ces derniers mois, les deux pays maintiennent toujours une étroite coopération sur le plan militaire.
Comme les Etats-Unis, Berlin semble se soucier de la sécurité d'Israël et du maintien de sa supériorité technologique dans la région.
Elbit Systems was awarded by Finnish Army to supply advanced dismounted soldier systems.
Update May 28, 2012
Citation :
Israeli Company Elbit Systems Ltd. (NASDAQ and TASE: ESLT) ("Elbit Systems") announced today that it was awarded a contract by the Finnish Army, to supply advanced dismounted soldier systems, in the first phase of a comprehensive ISTAR (Intelligence, Surveillance, Target Acquisition and Reconnaissance) program. The initial award is not in an amount that is material to Elbit Systems.
Israeli army soldiers to be equipped with miniature Iron Dome anti-rocket defense system.
Update May 29, 2012
Citation :
GOC Ground Forces Maj. Gen. Shlomo (Sami) Turgeman of IDF (Israel Defense Forces) spoke at the Conference on Air and Land Jointness in a Complex Environment yesterday (Wednesday, May 23), presenting the IDF Ground Force's plans for improving its firepower. Among other topics, he discussed a future project to supply soldiers in the field with equipment capable of intercepting rockets, similar to the successful anti-rocket defense system, the Iron Dome.
Des sous-marins israéliens sont équipés d'armes nucléaires
3.06.2012, 20:09
Citation :
Le magazine Der Spiegel a publié un article qui précise que les sous-marins allemands Dolphin achetés par l'Israël sont équipés d'armes nucléaires.
Selon la publication, l'étude de cette question, qui se base sur les sources aux États-Unis, en Allemagne et Israël, ne laisse aucun doute – les sous-marins sont bien équipés de missiles Popeye Turbo SLM, et peuvent transporter des ogives nucléaires. « La technologie navale permettra à Israël de créer une cachette flottante des armes nucléaires au Moyen-Orient », précise le magazine.
Selon Der Spiegel, les responsables à Berlin étaient au courant de la mission de ces sous-marins, et ont préféré de fermer les yeux en soutien de la sécurité d'Israël. Le magazine souligne que la chancelière allemande Angela Merkel a déjà dit que ces sous-marins n'ont pas de potentiel nucléaire.
Actuellement, trois sous-marins de la classe Dolphin font partie de la marine d'Israël. Le quatrième sera bientôt descendu à l'eau, le cinquième est en construction et arrivera en Israël en 2018. Récemment, l'Israël a signé un contrat avec l'Allemagne pour l'achat du sixième navire.
Exercice de la défense passive dans la région de Jérusalem
Il y a 48 minutes - Guysen Israel News - 04.06.2012
Citation :
La Défense passive effectuera à partir de demain mardi un exercice de grande envergure à Jérusalem et ses environs. Cet exercice s’étalera sur trois jours, jour et nuit, et il simulera des tirs de missiles et de roquettes. La sirène retentira mercredi à 17h30, heure où les habitants seront appelés à se protéger dans les chambres sécurisées.
Un ex-soldat israélien veut rejoindre la résistance palestinienne
Andre Pshenichnikov
14/06/2012 | 21:19
Citation :
Le jeune Andre Pshenichnikov explique vouloir rejoindre «la résistance palestinienne». Une démarche qui suscite la suspicion tant côté israélien que palestinien. «Je hais le sionisme». L’explication a le mérite d’être claire. Andre Pshenichnikov, un jeune juif de 23 ans, veut renoncer à sa nationalité israélienne pour devenir Palestinien.
Arrivé à 13 ans du Tadjikistan avec sa famille, Andre a fait ses trois ans de service militaire obligatoire avant de travailler une année supplémentaire pour l’armée en tant qu’informaticien.
C’est pendant son service qu’il aurait commencé à développer un regard critique sur la situation palestinienne. En sortant de l’armée en avril, il s’est installé quelques mois dans le camp de réfugiés palestiniens Deheishe en Cisjordanie et il a travaillé sur des chantiers et comme serveur dans un hôtel à Bethleem.
Actuellement en voyage en Europe, le jeune homme compte bien s’installer en Cisjordanie à son retour et trouver un poste de guide russophone à Bethléem, la ville natale de Jésus que de nombreux touristes russes viennent visiter chaque année. «Je veux faire partie de la résistance palestinienne, a-t-il expliqué à Associated Press.
J’appelle tous les Israéliens qui soutiennent la création d’un État palestinien à venir vivre en Cisjordanie ou à Gaza en tant que Palestiniens».
Pris pour un espion israélien
Malheureusement pour lui, sa démarche est perçue avec autant de suspicion du côté palestinien qu’israélien. Dans le camp de réfugiés, certains l’ont pris pour un espion israélien, d’autant plus qu’il aurait menti en se présentant comme un militant pro-palestinien russe.
La police palestinienne l’a remis deux fois aux autorités israéliennes, qui lui ont interdit de retourner dans les territoires occupés. Si des milliers d’habitants palestiniens de Jérusalem-est demandent (discrètement) la citoyenneté israélienne, la démarche inverse est exceptionnelle.
Reste donc à voir si Pshenichnikov réussira à aller au bout de son projet. Il existe quelques rares cas de citoyens juifs israéliens vivant sous autorité palestinienne, souvent après avoir épousé des Palestiniens.
Techniquement, Pshenichnikov ne peut pas devenir citoyen palestinien, puisqu’il n’existe pas encore de véritable État palestinien. Il peut toutefois demander à l’Autorité Palestinienne de lui délivrer une carte de résident ou même un passeport palestinien, comme c’est prévu pour les habitants des zones A de la Cisjordanie dans les accords d’Oslo II de 1995.
Il pourra alors demander à renoncer à la nationalité israélienne, comme le font chaque année une centaine d’Israéliens qui quittent le pays. Et la double citoyenneté israélo-palestinienne? En théorie elle est impossible, mais quelques cas symboliques font exception.
Ainsi, le célèbre chef d’orchestre argentino-israélien Daniel Barenboim a accepté en 2008 de recevoir un passeport palestinien «honorifique», en guise de remerciement pour son engagement auprès de la cause palestinienne.
L’année dernière, c’est le militant de la paix israélien Ofer Bronchtein qui s’est vu remettre un passeport palestinien des mains de Mahmoud Abbas, lors de la visite du président palestinien à Paris. «Une façon de démontrer qu’il faut œuvrer pour la création d’un État palestinien et que c’est possible», avait-il expliqué.(Afp)