Des milliers d’attaques quotidiennes contre les ordinateurs du Pentagone
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Des réseaux informatiques essentiels pour le Pentagone et l’armée américaine sont attaqués par des hackers, des groupes criminels et même des pays des centaines ou des milliers de fois par jour selon l’officier supérieur qui vient d’être pressenti pour diriger le commandement cybernétique de l’US Army.
20 avril 2010 — C. J. Chivers reports from Marja, Afghanistan, where Marines face stiff resistance from Taliban fighters, including a rarity, a trained marksman.
L'armée américaine préoccupée par des soldats surmédicalisés - 28.04.2010
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Le médecin-chef de l'armée américaine, le lieutenant-général Eric Schoomaker, s'est dit inquiet lundi de la surmédicalisation des soldats. Il soutenu que d'autres moyens de traitement devaient être étudiés, comme le yoga, la méditation ou l'acupuncture
"Nous sommes inquiets de la surmédicalisation" des soldats revenant d'Afghanistan et du Pakistan, a-t-il déclaré au cours d'une conférence de presse. Il a souligné que cela reflétait une tendance générale dans le pays à traiter d'abord les souffrances des soldats par des médicaments.
Le médecin-chef a ajouté être à l'origine d'un rapport sur la surmédicalisation dans l'armée, qui préconise le traitement des soldats revenant des zones de guerre par des voies alternatives.
Les ordonnances établies pour des médicaments contre la douleur et contre les troubles psychiques des soldats ont fortement augmenté depuis 2001, selon un article du Military Times publié en mars.
Par ailleurs, environ 15% des soldats américains ont dit avoir abusé des médicaments au cours du mois précédent, selon une enquête du Pentagone menée en 2008 et diffusée en décembre.
Les parlementaires américains ont par ailleurs pressé l'armée d'étudier la question d'un lien possible entre une augmentation des suicides parmi les soldats et une prise excessive de médicaments.
Un soldat américain a été tué dans une attaque à la bombe au nord-est de Bagdad, a indiqué l'armée américaine dans un communiqué aujourd'hui. L'attaque s'est produite hier dans la province de Diyala, a-t-elle ajouté, sans autre précision.
Au total, 4.394 militaires américains sont morts depuis l'invasion américaine de 2003, qui avait précipité la chute du régime de Saddam Hussein, selon un bilan de l'AFP se fondant sur le site indépendant www.icasualties.org.
Engagez-vous et devenez Américain : 58.000 étrangers ont dit "OK" depuis 2001
27 Avril 2010
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Depuis le 11 septembre 2001, plus de 58.000 étrangers ont pu acquérir la nationalité américaine parce qu'ils servaient au sein des forces armées américaines, nous apprend le Pentagone, à l'occasion d'une cérémonie de naturalisation, présidée vendredi par le président Obama.
24 militaires ont obtenu la citoyenneté américaine ce jour-là. Ils étaient originaires des pays suivants : Angleterre, Philippines, Togo, Espagne, Mexique, Guyana, Jamaïque, Pérou, Papouasie-Nouvelle Guinée, Haïti, Brésil, Kenya, Jamaïque, Pologne, Ethiopie, Chine et Colombie.
Un soldat américain a été tué dans une attaque à la bombe au nord-est de Bagdad, a indiqué l'armée américaine dans un communiqué aujourd'hui. L'attaque s'est produite hier dans la province de Diyala, a-t-elle ajouté, sans autre précision.
Au total, 4.394 militaires américains sont morts depuis l'invasion américaine de 2003, qui avait précipité la chute du régime de Saddam Hussein, selon un bilan de l'AFP se fondant sur le site indépendant www.icasualties.org.
US Army urges NLOS-LS cancellation - 30 Avril 2010
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The US Army has recommended that the Pentagon cancel a new precision strike weapon system after it struggled significantly during a recent key test and was estimated to have a relatively high cost. Top service officials determined they should terminate the Non-Line-of-Sight Launch System (NLOS-LS) and its Precision Attack Missile (PAM) after conducting a review of the army's precision fires portfolio, a source has told Jane's. NLOS-LS is intended to provide infantry, as well as sailors on Littoral Combat Ships, with the ability to engage moving targets from beyond their line of sight. Because NLOS-LS is a major joint programme, the Department of Defense's acquisition executive must make the final decision as to whether it will be cancelled.
USA : L’obésité met en péril la sécurité nationale, estiment des généraux - 02 Mai 2010
Washington - L’obésité qui fait des ravages au sein de la jeunesse américaine pourrait saper l’avenir de l’armée du pays, les éventuelles recrues étant trop enveloppées pour servir sous les drapeaux, ont estimé deux généraux à la retraite vendredi.
Citation :
"Les taux d’obésité hypothèquent la santé des Américains en général et l’avenir de nos forces armées en particulier", écrivent John Shalikashvili et Hugh Shelton, deux anciens chefs d’état-major interarmées, dans un article pour le "Washington Post". Plus que tout autre facteur médical, l’obésité interdit l’accès à l’armée aux Américains désireux de revêtir l’uniforme, continuent-ils.
Dans le même temps, ils exhortent le Congrès à adopter une législation qui obligerait les écoles à nourrir les enfants plus sainement en leur proposant plus de légumes, de fruits et d’aliments à base de farine de blé complet tout en revoyant à la baisse l’offre en aliments trop sucrés, salés ou gras.
"Nous prenons ce problème tellement au sérieux pour la sécurité nationale que nous nous sommes joints à plus de 130 généraux, amiraux et autres hauts gradés à la retraite pour demander au Congrès d’adopter une nouvelle loi sur la nutrition des enfants", lancent-ils encore.
De plus en plus de jeunes Américains deviennent obèses de plus en plus tôt. L’armée n’est pas épargnée, puisqu’un nombre croissant de soldats qui pourraient bénéficier d’avancement ne sont pas promus parce que leur surpoids les empêche de remplir les critères physiques requis.
États-Unis : Pour Robert Gates, l'armée américaine devra se serrer la ceinture
10 Mai 2010
Citation :
Defense Secretary Robert M. Gates challenged some sacrosanct Pentagon spending practices in a speech on Saturday, directing both military and civilian officials to find cuts in their overhead and operating costs and then transfer the savings to the fighting force.
In the speech, given on the 65th anniversary of the World War II victory in Europe, Mr. Gates said the Pentagon was wasting money it will no longer get, and he focused on targets as diverse as the cost of military health care, the large number of generals and admirals and the layers of bureaucracy involved just to send a dog team to Afghanistan.
"The attacks of Sept. 11, 2001, opened a gusher of defense spending that nearly doubled the base budget over the last decade," Mr. Gates said. "Military spending on things large and small can and should expect closer, harsher scrutiny. The gusher has been turned off, and will stay off for a good period of time."
Mr. Gates, a carry-over cabinet member from the Bush administration, has already canceled or trimmed several dozen weapons programs, with long-term savings predicted at $330 billion. Now he is looking for complementary cuts across the Defense Department's civilian and military bureaucracies, the overseas headquarters and their operating costs.
The goal is to convert as much as 2% or 3% of spending from "tail" to "tooth" - military slang for support services and combat forces. The money is "needed to sustain American's combat power at a time of war and make investments to prepare for an uncertain future," he said.
While this may not seem like a significant savings in the Pentagon's base budget, which stands just below $550 billion for next year, cuts of any size are certain to run hard against entrenched constituencies.
Mr. Gates said the nation owed quality health care to those in uniform, their families and veterans, but pointed out that members of the military health care system have not been charged increases in premiums for 15 years - even though the program's annual cost has risen to $50 billion from $19 billion a decade ago.
"Health care costs are eating the Defense Department alive," Mr. Gates said.
Mr. Gates's critique of top-heavy headquarters overseas was underscored not only by the date on which it was given but also by the location of the speech : the Dwight D. Eisenhower Presidential Library and Museum here. In his talk, Mr. Gates questioned why, two decades after the collapse of the Soviet Union, the Defense Department "still has more than 40 generals, admirals or civilian equivalents based on the continent" of Europe.
Eisenhower, the supreme allied commander in Europe during World War II, in his farewell address as president warned the nation of the menacing influence of an emerging "military-industrial complex."
Mr. Gates also took aim at the Pentagon bureaucracy. "Another category ripe for scrutiny should be overhead - all the activity and bureaucracy that supports the military mission," he said, citing an official estimate that overhead makes up about 40 percent of the Pentagon budget.
"How many of our headquarters and secretariats are primarily in the business of reporting to or supervising other headquarters and secretariats, as opposed to overseeing activity related to real-world needs and missions ?" Mr. Gates asked.
He suggested moving toward a system "where two-star deputies become one-star deputies, assistant secretaries become deputy assistant secretaries - to create a flatter, more effective and less costly organization."
For example, a commander's request just for a dog-handling team to be sent to Afghanistan "has to go through no fewer than five four-star headquarters in order to be processed, validated and eventually dealt with," Mr. Gates said.
The Defense Department's spending on day-to-day operations and maintenance costs about $200 billion annually, twice as much as 10 years ago - even when not including costs in the war zones of Iraq and Afghanistan. The largest increases have been in administrative support and infrastructure.
"Very rarely is the activity funded in these areas ever fundamentally re-examined - either in terms of quality, type or whether it should be conducted at all," Mr. Gates said.
Mr. Gates, who was asked to stay in the job at the end of the Bush administration, has pledged to President Obama that he will serve at least through the end of this year. Asked whether he would be around long enough after that to push through his proposed reforms, Mr. Gates replied, "We'll see what happens."
Source du texte : NEW YORK TIMES
Foxbat16
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