A cette occasion nous annoncerons que M. Saïd Bouteflika est président d’honneur du RCN, avec l’aval de tous les cadres », a-t-il souligné.

Ce congrès aura lieu, selon lui, en janvier 2011 avec le slogan

«Pour une Algérie nouvelle».

« Je pars d’une conviction que cet homme voit la nuit ce que les autres ne voient pas le jour.

Nous le soutiendrons s’il venait à se présenter lors de la prochaine présidentielle pour parachever ce que son frère a commencé », a ajouté le patron du RCN à propos de Saïd Bouteflika.

Il a indiqué qu’une opération de collecte de deux millions de signatures est lancée pour amener le frère d’Abdelaziz Bouteflika à se porter candidat.

« Pour le moment nous avons déjà réuni quelque 800 000 signatures et ce, trois ans avant le scrutin.

C’est ce qui nous conforte dans notre intention de le nommer comme président d’honneur de notre parti.

Nous avons eu une réunion avec Saïd au mois d’août 2009 au cours de laquelle tous les coordinateurs de wilaya avaient cautionné Saïd comme président d’honneur de notre formation.

Je pense que nous allons clôturer les 2 millions de signatures au mois de mars prochain », a-t-il précisé.

Selon lui, Saïd Bouteflka est soutenu par « toutes » les zaouia du pays, dont la Tidjania, et par d’anciens retraités de l’ANP.

Le nombre de ces derniers serait de 250.

Il a cité les noms des colonels Manouni Nouredine, Berkane Mohamed et Nadjib.

« Saïd n’est pas le seul à cautionner notre action, mais ce sont plusieurs courants et personnalités politiques nationales.

Quant à la coordination, elle se fait à travers des correspondances que nous adressons à la présidence de la République », a-t-il révélé.

D’après ses dires, le RCN est présent dans les 48 wilayas et a ouvert des bureaux dans 1 300 communes.

« Nous constatons que la plupart des partis sont basés sur des considérations familiales et n’ont rien à voir avec l’activité politique noble. Ces partis ne se manifestent que lors des campagnes électorales. Nous estimons pour ce qui nous concerne

SID AHMED AL AYACHI, PRESIDENT DU RCN

« Said Bouteflika sera notre candidat en 2014 »

Citation :

merouane mokdad - 21/12/2010 - Sid Ahmed Al Ayachi, président du Rassemblement pour la concorde nationale (RCN), parti non agréé, a annoncé, dans une interview au quotidien Al Djazair News, parue mardi 21 décembre, que Said Bouteflika, frère du président de la République, envisage de se présenter à l’élection présidentielle de 2014 dans le cas où Abdelaziz Bouteflika renoncerait à se succéder à lui-même.

« Nous ne voyons que Saïd Bouteflika, qui a des qualifications scientifiques et a acquis une expérience politique, pour conduire la prochaine période. Si son frère Abdelaziz ne se présente pas, Said sera celui que nous soutiendrons et nous serons derrière sa candidature », a-t-il déclaré. Il a annoncé que le RCN prépare ses « hommes et ses cadres » pour mener la prochaine campagne et pour « s’imposer au scrutin présidentiel".

Sid Ahmed Al Ayachi a prévenu qu’il serait prématuré d’évoquer un assentiment de Said Bouteflika à sa participation à la prochaine course électorale au nom du RCN. « Nous sommes à trois années de ce rendez-vous. Pour le moment nous nous concentrons sur la concrétisation du programme quinquennal du chef de l’Etat et sur la tenue d’un congrès national pour un début fort. A cette occasion nous annoncerons que M. Saïd Bouteflika est président d’honneur du RCN, avec l’aval de tous les cadres », a-t-il souligné. Ce congrès aura lieu, selon lui, en janvier 2011 avec le slogan «Pour une Algérie nouvelle». « Je pars d’une conviction que cet homme voit la nuit ce que les autres ne voient pas le jour. Nous le soutiendrons s’il venait à se présenter lors de la prochaine présidentielle pour parachever ce que son frère a commencé », a ajouté le patron du RCN à propos de Saïd Bouteflika.

Il a indiqué qu’une opération de collecte de deux millions de signatures est lancée pour amener le frère d’Abdelaziz Bouteflika à se porter candidat. « Pour le moment nous avons déjà réuni quelque 800 000 signatures et ce, trois ans avant le scrutin. C’est ce qui nous conforte dans notre intention de le nommer comme président d’honneur de notre parti. Nous avons eu une réunion avec Saïd au mois d’août 2009 au cours de laquelle tous les coordinateurs de wilaya avaient cautionné Saïd comme président d’honneur de notre formation. Je pense que nous allons clôturer les 2 millions de signatures au mois de mars prochain », a-t-il précisé.

Selon lui, Saïd Bouteflka est soutenu par « toutes » les zaouia du pays, dont la Tidjania, et par d’anciens retraités de l’ANP. Le nombre de ces derniers serait de 250. Il a cité les noms des colonels Manouni Nouredine, Berkane Mohamed et Nadjib. « Saïd n’est pas le seul à cautionner notre action, mais ce sont plusieurs courants et personnalités politiques nationales. Quant à la coordination, elle se fait à travers des correspondances que nous adressons à la présidence de la République », a-t-il révélé. D’après ses dires, le RCN est présent dans les 48 wilayas et a ouvert des bureaux dans 1 300 communes. « Nous constatons que la plupart des partis sont basés sur des considérations familiales et n’ont rien à voir avec l’activité politique noble. Ces partis ne se manifestent que lors des campagnes électorales. Nous estimons pour ce qui nous concerne que l’année 2011 sera celle des agréments », a déclaré Sid Ahmed Al Ayachi.

http://www.tsa-algerie.com/politique/said-bouteflika-sera-notre-candidat-en-2014_13405.html

Notre amour pour l’Algérie est beaucoup plus noble et plus fort que leurs calculs véreux de bas étage. Personnellement j’en suis très fier et rien ni personne ne réussira à changer mes convictions, sauf à les renforcer. Ce n’est pas un « ballon d’essai » comme celui d’aujourd’hui qui aura raison de nous, les réactions à l’échelle nationale contre ce projet diabolique seront très fortes, il ne faut pas en douter. Elles seront résolument portées de haute voix par des femmes et des hommes qui aiment l’Algérie et qui n’acceptent pas que son avenir soit compromis par les assoiffés de pouvoir, les effaceurs d’espoir. Il faut juste rester bien éveillé et très attentif aux développements de la scène politique nationale sur laquelle certaines forces nuisibles comme ce prétentieux RCN vont tenter de faire le vide autour de leur projet aventurier pour démonter qu’il n’existe aucune autre alternative. Enfin, je pense que le président devrait réagir face à ces prétentions mal placées qui risquent de détruire son image en le créditant de mauvaises notes que l’histoire et la postérité retiendront à jamais

Comment un énergumène pareil sorti tout droit de son trou et soi-disant président d'un parti politique non encore agrée ose s'adresser directement au peuple algérien d'une manière aussi insultante que dégradante. Ce chef de groupe d'opportunistes affamés ne réussira pas à tromper notre jugement. L'Algérie a enfanté des millions de cadres scientifiques, vrais patriotes, compétents, honnêtes, pères de familles, aimant tous les algériens, haïssant le régionalisme rétrograde et qui ne portent que l'Algérie dans le coeur. Cette candidature calculée risque de placer notre pays entre parenthèses durant 3 longues années et compromettre gravement son développement économique et social. Sur le plan international l'Algérie sera relégué pour longtemps au niveau des pays rejetant la démocratie, à l'image de l'Egypte et de la Côte d'Ivoire. Je vous le dis, l'Algérie mérite mieux, l'Algérie a besoin d'un grand homme remplissant tous les critères universels et disposant d'une réelle stature de président. Son premier défi sera de mettre fin à la corruption qui s'est malheureusement érigée en système de management ces derniers temps. Wikileaks nous l'a révélé.

Il fait le parallèle entre la situation en Côte d’Ivoire et l’Algérie

Le RCD évoque « les risques de déflagration » que font peser les « dynasties tyranniques » sur le peuple

Le RCD tire la sonnette d’alarme.

Pour le parti de Saïd Sadi, la situation actuelle en Côte d’Ivoire doit interpeller le bon sens des dirigeants algériens pour éviter au pays un sort similaire à celui qui frappe le pays de Laurent Gbagbo.

«Le népotisme et le déni du droit, nés des fraudes électorales massives et récurrentes, ne sont pas une spécialité ivoirienne et l’Algérie n’est pas indemne de ces fléaux :

le tribalisme, la corruption et la violence politique menacent également notre Nation», écrit le RCD sur son site internet.