Elles craquent devant les douaniers avec de la cocaïne cachée dans le vagin
AFP - 08/09/2010
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Deux jeunes Landaises en possession d'une cinquantaine de grammes de cocaïne placés dans des préservatifs dissimulés dans leur vagin ont craqué lors d'un contrôle et avoué aux douaniers qu'elles transportaient de la drogue, a-t-on appris mercredi de source judiciaire.
Au péage autoroutier (A63) de Benesse-Maremne (Landes), la nervosité des deux jeunes femmes, âgées de 20 et 24 ans, qui revenaient d'Espagne, a attiré l'attention des fonctionnaires qui effectuaient lundi après-midi un contrôle de routine.
L'une d'elles a rapidement reconnu transporter de la cocaïne "in corpore", a-t-on précisé de même source.
L'enquête de la gendarmerie, avec notamment une perquisition à leur domicile de Tartas (Landes), a permis aux gendarmes de découvrir que les deux jeunes Landaises servaient en fait de mules (passeurs) à leur petit ami.
Les quatre apprentis trafiquants, placés sous contrôle judiciaire, sont convoqués devant le tribunal correctionnel de Dax le 18 octobre.
Un violeur récidiviste s'évade du tribunal de Nanterre
24/09/2010
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Deux enquêtes ont été ouvertes sur l'évasion d'un homme jugé pour viol sur mineure qui a faussé compagnie à ses gardiens jeudi soir au tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine), a-t-on appris auprès du parquet.
L'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices") conduira une enquête administrative pour savoir comment l'homme, assis sur un banc au dépôt près du poste de garde, dans l'attente de son retour en prison, a pu se défaire de ses menottes et sortir du tribunal entre 20h00 et 21h00.
La police judiciaire a par ailleurs été mandatée par le procureur pour rechercher l'individu et déterminer d'éventuelles responsabilités pénales dans l'évasion. Le procès du fuyard qui s'était ouvert jeudi s'est terminé sans lui vendredi, et l'accusé, qui a déjà un casier portant plusieurs condamnations pour des délits, a été condamné à 18 ans de réclusion criminelle, avec un mandat d'arrêt.
Il est en état de récidive légale concernant le viol. L'avocat de la victime a souligné que, s'il était repris, l'accusé pourrait être rejugé, ce qui obligeait sa cliente à revivre tout le processus.
Mohamed Douhane, représentant du syndicat de police Synergie, a annoncé sur I-télé qu'il saisirait le ministère de l'Intérieur pour demander que les surveillances soient confiées à des agents de l'administration pénitentiaire.
"L'escorte et la surveillance des prévenus ne devraient pas incomber aux services de police", a-t-il dit sur I-télé.
Un bureau de change à Lyon, braqué par quatre hommes cagoulés (24 septembre 2010)
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AFP / Philippe Merle Des hommes armés et cagoulés ont attaqué samedi une bijouterie du centre de Lyon. Le vol s'est passé vite, sans coups de feu, et personne n'a été blessé. Les malfaiteurs ont réussi à prendre la fuite en emportant un "important butin", selon des sources judiciaires.
Ce nouveau vol à main armée intervient au lendemain d'un braquage spectaculaire dans un bureau de change en plein centre de Lyon.
Samedi vers 8 heures, trois hommes, arrivés à bord d'une voiture, ont fait irruption dans une bijouterie du VIe arrondissement de Lyon, un quartier huppé. La porte d'entrée n'était semble-t-il pas verrouillée.
Les braqueurs ont menacé de leurs armes la propriétaire, seule dans sa boutique. Ils ont rempli deux sacs de bijoux avant de prendre la fuite en voiture.
Un voisin de la bijouterie a raconté à l'AFP avoir vu un des malfaiteurs, armé et vêtu de noir, faisant le guet à proximité de la voiture, une Clio immatriculée dans l'Isère.
Ces derniers mois, Lyon a été la cible d'une série de vols à main armée, parfois accompagnés de violences, dans des bijouteries.
Vendredi, un bureau de change a été braqué dans le centre le Lyon, peu après 15h. Quatre hommes cagoulés et armés de fusils d'assaut ont attaqué l'agence de la société Global Cash, près de l'Hôtel de Ville où le ministre de la Défense Hervé Morin participait au Forum Libération.
Ils ont découpé la porte à l'aide d'une disqueuse, une méthode qui rappelle certaines des récentes attaques de bijouteries à Lyon, a-t-on appris de source judiciaire. Une personne a été légèrement blessée par balle à une cuisse. Selon un témoin les quatre malfaiteurs, cagoulés et vêtus de noir, ont pris la fuite à bord d'une Mercedes gris métallisé.
Le commando a emmené en otage un jeune homme, qui, selon une source judiciaire, a été libéré quelques centaines de mètres plus loin.
Un surveillant de prison grièvement blessé par un détenu
France Info - 11/10/2010 - 12:25
L’homme avait déjà tué son codétenu ; décrit comme "fortement perturbé psychologiquement", il s’en est pris à un surveillant, vendredi, et lui a porté deux coups de lame de rasoir jetable. Le surveillant a reçu 21 points de suture.
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Il ne s’explique pas son geste - tout comme il ne s’expliquait pas pourquoi il avait tué son codétenu... C’est un homme présenté comme "fortement perturbé psychologiquement" qui s’en est pris, vendredi, à un surveillant de la prison de Lyon-Corbas.
Lors de la distribution des repas, en fin d’après-midi, dans le quartier d’isolement, cet homme de 20 ans a porté deux coups de lame de rasoir jetable à un surveillant, au niveau de l’œil et de la carotide. Le surveillant a dû recevoir 21 points de suture, et s’est vu prescrire 20 jours d’interruption temporaire de travail (ITT), selon la CGT-pénitentiaire.
Quant au détenu, il a été transféré à l’Unité hospitalière spécialement aménagée (UHSA), la première unité d’"hôpital-prison" de France, créée à Lyon.
Déjà, le 3 octobre dernier, l’homme avait étouffé son codétenu, dans sa cellule de la maison d’arrêt de Valence. La victime avait succombé à ses blessures trois jour plus tard.
France : une femme condamnée pour avoir arraché le niqab d'une autre femme
Une enseignante d'anglais à la retraite a été condamnée à deux mois de prison avec sursis et à une amende de 750 euros, pour avoir agressé une touriste voilée qui était de passage en France. Tout commence, dans les rues de Paris, lorsque Marlène Ruby croise deux femmes qui portent le niqab. Elle tire sur le voile de l'une d'entre elle et exige qu'elle le retire. "Je lui ai arraché son niqab et j'ai crié. J'ai voulu faire un petit scandale.", déclare l'enseignante.
