Sujet: Il faut bombarder l'Iran comme on bombarde Gaza Lun 19 Nov 2012 - 21:46
"Il faut bombarder l'Iran comme on bombarde Gaza"!!(Rabbin Sachs)
lundi, 19 novembre 2012 15:10
Citation :
IRIB- Selon Times of Israël, le grand rabbin de Grande Bretagne, Jonathan Sax a appelé à ce que "l'Iran soit bombardé comme on bombarde Gaza". ces déclarations ont été diffusées en directe à l'antenne de BBC et alors que le rabbin ne le savait pas. selon le journal, la BBC a présenté ses excuses non pas à l'Iran ou à la Grande Bretagne ou à Israël / la chaine s'est excusée auprès du rabbin dont les propos ont été diffusés sans son autorisation.
Sujet: Pour un Moyen-Orient dénucléarisé Sam 24 Nov 2012 - 13:09
Annulation de la conférence sur un Moyen-Orient dénucléarisé
Par Agence | 24/11/2012 | 0:11
Citation :
Le département d’Etat américain a annoncé vendredi que la conférence prévue en décembre à Helsinki sur un Moyen-Orient sans armes nucléaires n’aurait pas lieu, en raison de la situation actuelle dans la région et de l’absence de consensus entre les pays concernés.
Les pays de la région n’ont pas réussi à s’accorder sur des conditions acceptables pour cette conférence, précise dans un communiqué Victoria Nuland, porte-parole de la diplomatie américaine, qui évoque également la situation actuelle au Moyen-Orient.
Les Etats-Unis pensent qu’un profond fossé subsiste dans la région entre les différentes approches sur la sécurité régionale et l’organisation du contrôle des armes, poursuit-elle.
Ces différences de points de vue peuvent uniquement être comblées par un engagement commun et un accord entre les différents Etats de la région. Des Etats extérieurs ne peuvent imposer un processus à la région pas plus qu’ils ne peuvent dicter le résultat d’une telle initiative, ajoute Mme Nuland.
Nous ne pourrions pas soutenir une conférence dans laquelle un pays de la région serait sous pression ou isolé, ajoute-t-elle encore, une référence implicité à l’allié israélien de Washington.
Considéré comme la seule puissance nucléaire au Proche-Orient, Israël est membre de l’AIEA mais n’est pas signataire du traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Israël avait en septembre jugé irréaliste la tenue de cette conférence en raison du climat instable dans la région.
Le débat autour de la conférence d’Helsinki, à laquelle l’Iran avait récemment annoncé qu’il participerait, opposait notamment Israël aux pays arabes, Egypte en tête, qui demandaient que l’ONU fasse de la région une zone sans armes de destruction massive.
L’annonce de l’annulation de cette conférence, dont les Etats-Unis étaient les co-parrains, rappelle Mme Nuland, survient dans un contexte marqué par la reprise des affrontements entre les Israéliens et la Hamas à Gaza, la guerre civile en Syrie et une crise politique en Egypte.
La conférence d’Helsinki devait aussi se tenir sur fond de tensions autour du nucléaire iranien, les pays occidentaux et Israël accusant Téhéran de vouloir se doter de l’arme atomique sous couvert de programme civil, ce que l’Iran dément catégoriquement.(Afp)
Sujet: Nouveau virus informatique W32.Nariam Lun 26 Nov 2012 - 22:28
Un nouveau ver informatique s'attaque aux bases de données iraniennes
27.11.2012, 00:03
Citation :
La compagnie des programmes antivirus Symantec a découvert un nouveau logiciel malveillant visant des cibles informatiques en Iran. Ce nouveau ver est appelé W32.Narilam.
Narilam présente des similitudes avec le célèbre ver Stuxnet, qui visait à saboter les installations nucléaires iraniennes. Créé pour détruire les données, s’attaquer aux systèmes responsables des différents ordres, la comptabilité et la gestion des ventes en Iran, ce ver ne vole pas les informations.
Sujet: L'Iran continue d'enrichir l'uranium Mer 28 Nov 2012 - 22:57
L'Iran continue d'enrichir l'uranium
28.11.2012, 21:42, heure de Moscou
Citation :
L’Iran continue d'enrichir l'uranium pour son programme nucléaire en dépit des sanctions internationales, a communiqué la télévision iranienne citant Fereydoun Abbasi, chef de l'Organisation iranienne de l'énergie atomique.
Précédemment l'AIEA avait annoncé que Téhéran avait suffisamment étendu ses capacités sur le site nucléaire souterrain de Fordo pour accroître d'une façon considérable les quantités d'enrichissement de l'uranium. Selon l'AIEA, le site abrite 2 700 centrifugeuses. Ces installations permettent d'enrichir l'uranium à 60 %. Pour produire une arme nucléaire, l'uranium doit être enrichi à 93,5 %.
Sujet: L'Iran remercie l'Occident Ven 30 Nov 2012 - 1:21
L'Iran remercie l'Occident, pour ses sanctions!
jeudi, 29 novembre 2012 18:14
Citation :
RIB- Dévaluation, sans précédent, du rial, chute vertigineuse des exportations de pétrole, inflation galopante : les sanctions imposées contre l'Iran sont un succès, affirme-t-on, en Occident. Dès lors, le destin de la République islamique semble scellé : elle suspendra ses activités d'enrichissement nucléaire et la chute de son régime sera précipitée par un "printemps persan". Or, rien n'est moins sûr.
L'Iran se trouve, donc, en fort excédent commercial, grâce à l'envolée des cours du brut, et la banque centrale iranienne dispose d'une réserve colossale en devises. Elle n'aura, donc, aucun mal à fournir, et pour longtemps encore, les dollars essentiels à l'Etat, pour l'importation de ses biens de première nécessité (nourriture) et intermédiaires, en se gardant de toute hyperinflation.
L'interdiction d'exporter une cinquantaine de produits de première nécessité (blé, farine, sucre, viande rouge, aluminium, acier, etc.) et la gestion plus rigoureuse de l'économie permettent d'envisager, à long terme, une stabilisation des prix des biens de consommation courante, qui profitera aux classes populaires.
En revanche, avec les sanctions, le gouvernement offre beaucoup moins de dollars au marché parallèle, qui sert à l'achat, par la classe moyenne et supérieure, de produits d'importation attractifs, mais dont l'économie peut se dispenser.
Cette réduction a précipité une chute du rial cette année, que le gouvernement a, en partie, enrayée, en interdisant l'importation de produits occidentaux ou venant concurrencer la production locale.
Cela lui permet d'économiser 12 milliards de dollars, par an, (9,25 milliards d'euros), sur ce marché, qui, malgré tout, connaît et continuera de connaître une forte inflation.
L'industrie iranienne dépendante de l'Occident se tourne de plus en plus vers l'industrie asiatique, qui lui offre des voies de substitution.
Pour contourner les sanctions, l'Iran dispose de nombreux moyens. Il peut, d'abord, compter sur l'avidité de certains traders, qui s'octroient des marges confortables, pour créer, à partir des pays vers lesquels l'Iran vend du brut, des circuits aussi complexes que changeants de billets verts, entre banques et sociétés écrans chinoises, malaisiennes, russes, suisses, irakiennes, émiraties ou libanaises, pour financer ses gros volumes d'importation.
Ensuite, il peut s'appuyer sur sa tradition plusieurs fois millénaire de troc, pour faire du commerce à l'étranger.
Ses pétrodollars se transforment en pétro-yuans, roupies, yens, wons et des pétro-lingots d'or, qu'il troque en Inde, Chine, Corée du Sud, Japon, Turquie ou Ukraine contre du riz, de l'essence, du charbon, de l'aluminium, de l'acier et du graphite, des pièces automobiles, du matériel informatique, contre des services ou des investissements directs. L'Iran attend même la livraison de treize supertankers chinois.
Enfin, il bénéficie d'un Moyen-Orient en pleine réorganisation, où certains pays sont en forte croissance.
Depuis le début des sanctions, en janvier 2012, il faut constater le doublement des échanges commerciaux avec la Turquie, par rapport à 2011, l'explosion des échanges avec l'Irak, qui subit, de plein fouet, la rupture de son commerce avec la Syrie, la signature d'un traité avec Kaboul et New Delhi, pour permettre à l'Afghanistan d'avoir un accès à la mer, grâce au port iranien de Chabahar, la mise en place de circuits de troc d'engrais et d'hydrocarbures avec le Pakistan, pour récupérer du blé, ainsi que la contrebande organisée d'essence et d'hydrocarbures vers toutes ses frontières et, finalement, l'importation toujours aussi importante de tout ce qui lui manque, par le biais des Emirats.
En fait, la question qui se pose est la suivante : comment pouvons-nous imaginer pouvoir asphyxier l'économie d'un pays, grand comme trois fois la France (1 635 000 km2), en forte croissance depuis plus de dix ans, à égale distance entre l'Orient et l'Occident, et qui dispose du plus grand nombre de pays frontaliers au monde après la Russie (quinze, en comptant les frontières maritimes) ?
Avec l'égalisation des niveaux de dépendance de toutes les économies de la planète, à l'égard des hydrocarbures (l'Iran dispose toujours des deuxièmes réserves mondiales), imaginer pouvoir couper ses revenus du pétrole paraît bien vain.
D'abord, le manque à gagner sur le brut est, en partie, compensé par l'envolée des cours : majoration de 10 %, 20 %, 30 %, ces dernières années, alors que l'économie mondiale est en berne. Ensuite, les apparences sont trompeuses.
Si les sanctions ont produit des effets supérieurs à ceux escomptés, ces six derniers mois, une baisse de 50 % des exportations, c'est en grande partie parce que l'Inde, le Japon et la Corée du Sud ont réduit leurs importations de 30 % à 40 %, et cela, en raison de l'impossibilité d'assurer leurs tankers, depuis qu'en janvier, les compagnies européennes ont interdiction de le faire.
Maintenant que l'Inde et le Japon ont fait voter des lois, pour les assurer, eux-mêmes, et que l'Iran assure ceux qui partent vers la Corée du Sud, ces trois pays reprennent, actuellement, leurs importations, dans des proportions telles que, tout en respectant le barème semestriel d'une réduction de leurs importations de 18 % demandée par les Etats-Unis, l'Iran va retrouver, d'ici à fin janvier 2013, à peu près son volume d'exportations d'avant ce volet de sanctions .
Alors, pensons à l'alternative et soyons réalistes. Le Pakistan vit un coup d'Etat permanent, depuis sa création. L'Afghanistan stagne dans le chaos que l'on sait.
L'Irak, et, désormais, la Syrie sont en guerre civile. Le Liban se retrouve plus fragile que jamais et le conflit israélo-palestinien n'en finit pas de finir.
Considérant ces paramètres, on voit mal un pays, quel qu'il soit, frapper l'Iran, et, ainsi, créer une zone d'instabilité politique, qui s'étendrait de la Palestine à la Chine et risquer un choc pétrolier, qui démultiplierait les effets de la crise, à l'échelle mondiale, avec un baril, à 150 ou 200 dollars. L'échec des sanctions contre l'Iran annonce la reprise prochaine des négociations.
Sébastien Regnault, enseignant à l'université Dauphine
Sujet: Sénat US: Nouvelles sanctions Ven 30 Nov 2012 - 17:28
Sénat US:nouvelles sanctions contre l'Iran
Avec Reuters - Publié le 30/11/2012 à 17:07 Réactions
Citation :
Le Sénat américain a approuvé aujourd'hui de nouvelles sanctions commerciales contre l'Iran, qui concernent le secteur de l'énergie, les activités portuaires, le trafic et la construction maritimes.
Ces nouvelles mesures, destinées à faire pression sur la République islamique soupçonnée de vouloir se doter de l'arme nucléaire, ont été votées par 94 voix contre aucune. Elles seront inscrites dans le projet de loi sur la politique de défense, qui doit être approuvé par le Sénat et la chambre des représentants puis présenté au président Barack Obama.
Sujet: L’Iran demande de mettre fin à l'enquête Ven 30 Nov 2012 - 23:30
L’Iran demande de mettre fin à l'enquête sur son programme nucléaire
30.11.2012, 21:47, heure de Moscou
Citation :
L'Iran a demandé à l'AIEA de mettre fin à l'enquête sur son programme nucléaire en soumettant une déclaration de 50 points, qui, selon la partie iranienne, réfute l'hypothèse du développement des armes de destruction massive par Téhéran.
Selon le représentant permanent de l'Iran à l' AIEA Ali Asghar Soltaniye, le contenu du document permet de tirer la conclusion que l'enquête de l' AIEA sur le programme nucléaire de l'Iran doit être « arrêtée immédiatement ».
Sujet: Les USA menacent l'Iran ! Sam 1 Déc 2012 - 0:09
Nucléaire : les USA menacent l'Iran !
vendredi, 30 novembre 2012 03:11
Citation :
IRIB- Robert Wood, représentant des Etats Unis, auprès de l'AIEA, a menacé l'Iran d'une saisine du Conseil de sécurité, si, d'ici le mois de mars, les Iraniens "n'apaisent pas, de façon concrète, les craintes internationales, au sujet de la dimension militaire de leur nucléaire".
"Nos craintes s'amplifient, de jour en jour, et si, d'ici le mois de mars, aucune évolution n'est faite, les Etats Unis saisiront le Conseil de sécurité".
Sujet: Les revenus pétroliers bientôt bloqués à l’étranger Ven 7 Déc 2012 - 18:26
Iran : Les revenus pétroliers bientôt bloqués à l’étranger
Par Agence | 07/12/2012 | 9:56
Citation :
Les Etats-Unis ont multiplié cette année les sanctions financières pour amener l’Iran à renoncer à ses activités nucléaires sensibles, mais la mesure la plus lourde de conséquences pourrait être celle qui doit entrer en vigueur dans deux mois.
A compter du 6 février, la loi américaine interdira à Téhéran de récupérer le fruit de ses exportations de pétrole, ce qui va entraîner le gel de grosses sommes, a déclaré jeudi David Cohen, sous-secrétaire au Trésor chargé de la lutte antiterroriste et du renseignement financier.
“Les revenus pétroliers de l’Iran seront globalement bloqués dans le pays (acheteur) et ne seront utilisables que pour acheter des biens dans ce pays”, a-t-il expliqué, devant les membres de la Fondation pour la défense de la démocratie, une organisation favorable au durcissement des sanctions.
Il y a un an, le Congrès a adopté un texte qui contraint les acheteurs de brut iranien à réduire leurs commandes, faute de quoi ils s’exposent à une exclusion du système financier américain.
La disposition qui doit être appliquée le 6 février entre dans le cadre d’une nouvelle série de mesures de rétorsion approuvées en août au Capitole.
Toutes ces sanctions, couplées au boycott du pétrole iranien également en vigueur en Europe, ont réduit de moitié les exportations de brut de la République islamique, ce qui représente un manque à gagner de cinq milliards de dollars par mois, a poursuivi David Cohen.
“Nous sommes décidés à accroître la pression financière sur l’Iran aussi longtemps que nécessaire et nous allons continuer à chercher des moyens innovants pour que le gouvernement iranien subisse les conséquences financières de son comportement”, a-t-il ajouté.(Afp)
Iran: l'élection présidentielle fixée au 14 juin 2013
15.12.2012
Citation :
IRIB-Les autorites Iraniennes have fixe élection présidentielle La prochaine au 14 juin 2013, un samedi Annoncé La Chaîne iranienne Press TV, citant ACHETER le Ministre de l'Intérieur, Mostafa Mohammad Najjar.
According le ministre, l'élection du président se déroulera parallèlement aux élections de conseillers municipaux.
Sujet: On ne peut empêcher l'Iran d'enrichir son uranium Sam 15 Déc 2012 - 18:36
"On ne peut empêcher l'Iran d'enrichir son uranium "(Gary Sick)
15.12.2012
Citation :
IRIB- "Nousne pourrons jamais empêcher les Iraniens d'enrichir leur uranium; il nous faut trouver une solution pour débloquer la situation", a affirmé Sick, ancienconseiller Us et expert des questions iraniennes. "Nous le savons bien, la politique nucléaire de l'Iran actuel est bien différent de celle de l'époque du Chah.
A l'epoque les Etats Unis aidaient mëme l'Iran à installer ses réacteurs . les Etats Unis le faisaient parce que l'Iran était un allié des Etats Unis. le régime actuel en Iran applique les mêmes procédés que Chah appliquait. il construit les mêmes réacteurs et il renforce leurs capacités dans ce domaine" " mais les Iraniens ne commettront jamais la folie de fabriquer une bombe atomqiue quand bien même ils en seront capables. les Iraniens n'enrichiront pas leur uranium à 90%"...."
Il va sans dire qu'on ne pourra jamais les (ndlr: les iraniens) faire renoncer à enrichir leur uranium , ils n'oublieront jamais non plus comment enrichir. Nous pourrons toutefois faire en sorte que cet enrichissmeent se faisse à l'extérieur de l'Iran"a ajouté Sick. La RII a annoncé à mainte reprise ne pas vouloir se doter de l'arme atomique et que l'arme letale, " religieusement illicite" n'avait aucune place dans la doctrine défensive iranienne.
L'Iran va sortir du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires
16.12.2012, 19:36, heure de Moscou
Citation :
Si la pression sur l'Iran va augmenter, Téhéran va sortir du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, a déclaré le chef du comité de sécurité du parlement de l'Iran Nozar Shafi, commentant les négociations avec l'AIEA, qui viennent de s'achever à Téhéran.
Shafi a indiqué : « On nous a dit que les pourparlers ont été constructifs, mais la joie et l'optimisme doivent être limités en tenant compte de la réalité, et non pas des compliments diplomatiques ».
Selon Shafi, la question nucléaire iranienne reste irrésolue non pas en raison de son incroyable complexité, mais en raison du « manque de volonté ». L'Occident refuse de faire confiance à l'Iran complètement, que pourrait provoquer un effondrement complet des négociations.
La fermeté de la position de Téhéran semble augurer de discussions difficiles, lors de leur reprise sous peu, avec les six puissances mondiales impliquées dans la recherche d’une issue à la crise autour du programme nucléaire iranien.
«La République islamique d’Iran ne suspendra pas son programme d’enrichissement d’uranium à 20% parce que d’autres l’exigent», a déclaré Fereydoun Abbasi-Davani, cité par l’agence Isna.
L’Occident souhaite que l’Iran cesse son enrichissement à une concentration fissile de 20%, celle-ci constituant un nouveau pas vers un niveau qui pourrait permettre la fabrication de bombes nucléaires.