Sujet: Services Secrets Saoudiens Dim 9 Jan 2011 - 0:12
Cons comme la Lune : Les services secrets saoudiens ont enfin capturé le célèbre agent « vautour » du Mossad (One Flew Over the Cuckoo’s Nest)
Citation :
Posté le Vendredi 7 janvier 2011 par sil - Les services secrets saoudiens ont capturé un vautour suspecté d’avoir été envoyé par les renseignements israéliens pour récupérer des informations, rapporte le Telegraph aujourd’hui.
Le volatile, sur lequel était fixé un GPS et une bague portant le code de l’université de Tel Aviv, a été retrouvé en train d’errer dans la campagne saoudienne la semaine dernière, selon le journal isréalien Ma’ariv.
Les habitants de la région et des journalistes locaux ont rapidement prévenu les forces de sécurité saoudiennes, suspectant un « complot sioniste ». La rumeur a ensuite enflé sur internet, où de nombreux messages relayant cette thèse ont été déposés sur des sites ou des forums en langue arabe.
Les autorités isréaliennes ont démenti ces accusations, affirmant que l’oiseau participait à un projet de recherche sur les habitudes migratoires des vautours.
L’incident survient dans un climat de méfiance exacerbé entre Israël et ses voisins. Il y a quelques semaines, un responsable égyptien a affirmé qu’un requin ayant attaqué des touristes à Charm al-Sheikh travaillait aussi pour le Mossad. (source : Le Figaro)
IRIB- Exmyner fait état des activités d’un réseau espion saoudien de 30.000 espions, au Yémen.
Les espions saoudiens, disposant d’un budget illimité, ont une grande influence, au Yémen. Selon le site web anti-war, Exmyner a annoncé l’intensification des attaques de l’armée yéménite, dans la province d’Abyane, au Sud du pays.
Cette intensification des attaques contre le Sud du Yémen, est un facteur, pour détourner l'attention de l’opinion publique de l’intervention militaire saoudienne et des opérations d’espionnages de Riyad, au Yémen.
Un chiffre très impressionnant mais une grande partie de ces agents est également rattachée à un autre service mondialement connu, à titre d'agents doubles
Bandar ben Sultan nommé à la tête des renseignements saoudiens
19/07/2012
Citation :
Le prince Bandar ben Sultan a été nommé jeudi à la tête des services de renseignements saoudiens à la place du prince Moqren ben Abdel Aziz qui a été démis de ses fonctions, selon un décret royal.
Le prince Bandar, qui garde son poste de secrétaire général du Conseil saoudien de la sécurité nationale, avait été ambassadeur à Washington de 1983 à 2005.
Le chef des services des renseignements saoudien, le ministre israélien de la Défense Ehud Barak, le chef du Mossad israélien, certains princes du Golfe persique et le prince Bandar Ben Sultan ont assisté à une réunion sécuritaire en Suisse, dimanche 29 juillet 2012. L’hôtel accueillant les participants avait été placé sous haute surveillance.
Surnommé « Bandar Bush » en raison de ses liens étroits avec l'ancien président américain George W. Bush, Bandar Ben Sultan est décrit comme l’instigateur des stratagèmes fomentés par la CIA et le Mossad contre la Syrie. Il a notamment organisé l’attentat du 18 juillet à Damas, qui a coûté la vie à quatre hauts responsables syriens.
Selon le site du journal palestinien Al-Manar, la réunion « s'était tenue entre le prince Bandar Ben Sultan et un certain nombre de responsables du renseignement des pays du Golfe et de l'Occident, quelques jours avant que celui-ci (Bandar, ndlr) n’occupe son nouveau poste de chef du renseignement saoudien ».
Les participants ont débattu « de nombreuses questions importantes dans la région, notamment de la crise syrienne » rapporte le journal, ajoutant qu’il il a été décidé « d'empêcher la nomination du prince Muqrin Ben Abdul Aziz en tant que chef du renseignement saoudien. En fin de réunion, c’est le prince Bandar qui a été nommé à la tête des services de renseignements saoudiens ».
Le prince Bandar Ben Sultan : Chef du renseignement saoudien au service du sionisme.
Vendredi, 03 Août 2012
Citation :
Dès 2006, Bandar s’était régulièrement rendu à Washington pour mettre au point une nouvelle stratégie au Moyen-Orient qui satisfasse à la fois les intérêts saoudiens et américains. Il avait alors assuré aux Etats-Unis un soutien politique total mais aussi financier par l’apport de millions de pétrodollars pour la réalisation d'opérations clandestines en Iran et en Syrie, avec l'appui logistique de la CIA…
La nomination de Bandar Ben Sultan au poste de chef des renseignements saoudiens est stratégique et révélatrice. Elle prépare à de nouveaux plans diaboliques dont la finalité est de stopper toute résistance à l’occupation américano-sioniste, notamment en Syrie et en Iran.
Assassinat du Prince Bandar, chef des services de renseignement de l’Arabie Saoudite (Asia Times)
Pepe ESCOBAR - 03-08-2012
Citation :
Quelques jours après la publication sur le Grand Soir de Moyen-Orient : La réorientation de la politique des Etats-Unis, voici qu’on apprend l’assassinat d’un des principaux protagonistes mentionnés dans l’article.
Le Prince « Bush » Bandar, 63 ans, fils du Prince Sultan Abdulaziz (ministre de la défense saoudien, 1963-2001), ambassadeur à Washington (1983-2005), et financier discret de la jihad, a-t-il été assassiné par un escadron de la mort syrien ?
Un silence assourdissant s’est installé dans les médias syriens, iraniens et arabes (la plupart contrôlés par les saoudiens). Il en va de même pour Al Jazeera. Voici la version quelque peu fantaisiste de Debka (en anglais) : http://www.debka.com/article/22225/Saudi-silence-on-intellig...
La chronologie ici est cruciale. Le Prince Bandar bin Sultan bin Abdulaziz Al Saud est peut-être le cerveau de l’opération « Volcan de Damas » du 18 juillet. Il a très certainement été promu chef des services de renseignement Saoudiens le 19 juillet. Et il a peut-être été assassiné par un attentat à la bombe contre le QG du Renseignement Général Saoudien à Riyad, le 22 juillet.
Une rumeur syrienne prétend que « Volcan de Damas » fut concoctée par les services saoudiens – avec l’appui logistique de la CIA. C’est très peu probable. La CIA est totalement incapable de pénétrer les cercles rapprochés d’Assad. La version la plus courante qui circule dans la capitale syrienne est qu’il s’agissait d’un coup d’état blanc.
Au fait, « Volcan de Damas » fut un échec. Les essaims de mercenaires – infiltrés via la Jordanie – qui étaient censés prendre le contrôle de la capitale se sont retirés vers le nord. A présent les médias se focalisent sur une nouvelle fausse bataille décisive – la « bataille d’Alep ».
Il y a des choses qui clochent sérieusement autour de l’affaire « Volcan de Damas ». Aucun des quatre chefs des services de renseignement militaire d’Assad n’a été tué – en fait, ce sont eux qui dirigent les (affreuses) opérations à Aleppo.
Il y a aussi de sérieux doutes sur la capacité d’un escadron de la mort syrien de frapper les cercles rapprochés du pouvoir à Riyad. Mais les services iraniens en seraient tout à fait capables. Quant à l’hypothèse de Debka selon laquelle Téhéran a pu embaucher des djihadistes d’Al Qaeda pour faire le travail, c’est du n’importe quoi.
La vérité est celle-ci : personne ne sait, parce que personne ne parle.
Ce qui est certain, c’est que la nomination de Bandar à la tête du renseignement Saoudien faisait partie de la réponse du Roi Abdhullah au printemps Arabe.
En Syrie, la stratégie saoudienne se résume à provoquer un changement de régime – et placer un gouvernement sunnite fragile et divisé à Damas qui ne serait pas aligné sur Téhéran.
En interne, la stratégie consiste à écraser sans merci les protestations chiites dans l’est du pays. On peut dire qu’il n’y a pas de printemps arabe en Arabie Saoudite parce que la monarchie saoudienne recourt soit à la corruption, soit à l’intimidation de ses citoyens.
La stratégie de choix est de « rejeter la faute sur l’Iran » ; selon cette logique, les chiites saoudiens ne sont que des marionnettes de Téhéran, à l’instar des chiites à Bahrein. L’administration Obama suit aveuglément ce mensonge en ratant l’essentiel : la royauté Soudienne déteste la démocratie parlementaire à l’occidentale autant que les Chiites – qu’ils soient iraniens ou autre.
Que s’est-il donc passé à Riyad ? Un messages spectaculaire envoyé par Téhéran à la monarchie saoudienne ? Un kamikaze indépendant ? Une guerre interne saoudienne ? La monarchie Saoudienne se tait. Et Bandar ne parle plus.
Traduction "ah ben, ça alors... à peine on fait connaissance avec Bandar qu’il nous quitte déjà" par VD pour le Grand Soir avec probablement les fautes et coquilles habituelles.
Voir aussi : Moyen-Orient : La réorientation de la politique des Etats-Unisassinat du Prince Bandar, chef des services de renseignement de l’Arabie Saoudite (Asia Times)
Pepe ESCOBAR Quelques jours après la publication sur le Grand Soir de Moyen-Orient : La réorientation de la politique des Etats-Unis, voici qu’on apprend l’assassinat d’un des principaux protagonistes mentionnés dans l’article.
Le Prince « Bush » Bandar, 63 ans, fils du Prince Sultan Abdulaziz (ministre de la défense saoudien, 1963-2001), ambassadeur à Washington (1983-2005), et financier discret de la jihad, a-t-il été assassiné par un escadron de la mort syrien ?
Un silence assourdissant s’est installé dans les médias syriens, iraniens et arabes (la plupart contrôlés par les saoudiens). Il en va de même pour Al Jazeera. Voici la version quelque peu fantaisiste de Debka (en anglais) : http://www.debka.com/article/22225/Saudi-silence-on-intellig...
La chronologie ici est cruciale. Le Prince Bandar bin Sultan bin Abdulaziz Al Saud est peut-être le cerveau de l’opération « Volcan de Damas » du 18 juillet. Il a très certainement été promu chef des services de renseignement Saoudiens le 19 juillet. Et il a peut-être été assassiné par un attentat à la bombe contre le QG du Renseignement Général Saoudien à Riyad, le 22 juillet.
Une rumeur syrienne prétend que « Volcan de Damas » fut concoctée par les services saoudiens – avec l’appui logistique de la CIA. C’est très peu probable. La CIA est totalement incapable de pénétrer les cercles rapprochés d’Assad. La version la plus courante qui circule dans la capitale syrienne est qu’il s’agissait d’un coup d’état blanc.
Au fait, « Volcan de Damas » fut un échec. Les essaims de mercenaires – infiltrés via la Jordanie – qui étaient censés prendre le contrôle de la capitale se sont retirés vers le nord. A présent les médias se focalisent sur une nouvelle fausse bataille décisive – la « bataille d’Alep ».
Il y a des choses qui clochent sérieusement autour de l’affaire « Volcan de Damas ». Aucun des quatre chefs des services de renseignement militaire d’Assad n’a été tué – en fait, ce sont eux qui dirigent les (affreuses) opérations à Aleppo.
Il y a aussi de sérieux doutes sur la capacité d’un escadron de la mort syrien de frapper les cercles rapprochés du pouvoir à Riyad. Mais les services iraniens en seraient tout à fait capables. Quant à l’hypothèse de Debka selon laquelle Téhéran a pu embaucher des djihadistes d’Al Qaeda pour faire le travail, c’est du n’importe quoi.
La vérité est celle-ci : personne ne sait, parce que personne ne parle.
Ce qui est certain, c’est que la nomination de Bandar à la tête du renseignement Saoudien faisait partie de la réponse du Roi Abdhullah au printemps Arabe.
En Syrie, la stratégie saoudienne se résume à provoquer un changement de régime – et placer un gouvernement sunnite fragile et divisé à Damas qui ne serait pas aligné sur Téhéran.
En interne, la stratégie consiste à écraser sans merci les protestations chiites dans l’est du pays. On peut dire qu’il n’y a pas de printemps arabe en Arabie Saoudite parce que la monarchie saoudienne recourt soit à la corruption, soit à l’intimidation de ses citoyens.
La stratégie de choix est de « rejeter la faute sur l’Iran » ; selon cette logique, les chiites saoudiens ne sont que des marionnettes de Téhéran, à l’instar des chiites à Bahrein. L’administration Obama suit aveuglément ce mensonge en ratant l’essentiel : la royauté Soudienne déteste la démocratie parlementaire à l’occidentale autant que les Chiites – qu’ils soient iraniens ou autre.
Que s’est-il donc passé à Riyad ? Un messages spectaculaire envoyé par Téhéran à la monarchie saoudienne ? Un kamikaze indépendant ? Une guerre interne saoudienne ? La monarchie Saoudienne se tait. Et Bandar ne parle plus.
Traduction "ah ben, ça alors... à peine on fait connaissance avec Bandar qu’il nous quitte déjà" par VD pour le Grand Soir avec probablement les fautes et coquilles habituelles.
Voir aussi : Moyen-Orient : La réorientation de la politique des Etats-Unis
Arabie saoudite : Bandar Ibn Sultan, le nouveau chef de l’espionnage
04/08/2012 | 8:38
Citation :
L’ancien ambassadeur Bandar Ibn Sultan, réputé proche des Américains, prend la tête des services de renseignements saoudiens. C’est peu dire que la nomination du prince Bandar Ibn Sultan comme nouveau patron des services de renseignements saoudiens a pris tout le monde de court.
Enfin presque. Fils du prince héritier Sultan Ibn Abdelaziz – ancien ministre de la Défense décédé en 2011 -, Bandar est l’un des petits-fils du roi Abdelaziz, fondateur de la dynastie.
Alors que les provinces de l’est du royaume sont agitées par une contestation chiite, que la région est tétanisée par la nucléarisation de l’Iran et que la situation ne cesse de se dégrader en Syrie, sa nomination rassure les États-Unis, qui se débattent dans la gestion des derniers spasmes du Printemps arabe.
Le nouveau chef des espions saoudiens est une figure connue à Washington, où il a été ambassadeur durant vingt-trois ans, jusqu’à ce qu’il prenne en 2005 la tête du Conseil de sécurité nationale saoudien.
On le dit proche de la famille Bush : du père, George H. W., qu’il a connu au début des années 1980, quand ce dernier n’était que le vice-président de Ronald Reagan. Et surtout du fils, George W., un ami. Au final, Bandar aura connu quatre locataires de la Maison Blanche : Reagan, Bush père, Clinton, puis Bush fils.
Liens avec les républicains comme avec les démocrates
04/08/2012 | 8:38
Citation :
Sous la présidence de ce dernier, les visites du Saoudien au ranch familial de Crawford étaient courantes, et Bandar jouissait d’un accès direct aux plus hauts responsables : Dick Cheney, Colin Powell, Condoleezza Rice, George Tenet. Son séjour à Washington lui a permis de forger des liens avec les républicains comme avec les démocrates.
Seul accroc au parcours américain de Bandar, l’accusation portée contre son épouse Haïfa de participation au financement des attentats du 11 Septembre par des dons versés à une pseudo-organisation caritative.
Un faux pas rapidement oublié : en contact quasi quotidien avec le président Bush après l’attentat, il a su désamorcer une brouille sérieuse entre les deux États (quinze des dix-neuf terroristes étaient saoudiens). Bref, Bandar est réputé proche des Américains et sa nomination ne fait que confirmer le partenariat stratégique entre Washington et Riyad.
Bandar aurait appuyé l’envoi de troupes pour « pacifier » le Bahreïn, mais milite pour soutenir matériellement les rebelles syriens – une approche qui reflète l’ambiguïté de l’Arabie saoudite face au Printemps arabe. Sur le dossier iranien, il a la position du faucon : comme le roi Abdallah, il veut accentuer la pression militaire sur Téhéran, quand les États-Unis, eux, cherchent à soumettre la République chiite par des sanctions économiques.
Paradoxalement, les relations entre Bandar et Abdallah sont notoirement difficiles, alors que le prince Muqrin, qu’il remplace à la tête des services de renseignements, était très proche du souverain.
Sa nomination peut s’interpréter de deux manières. Abdallah, de santé déclinante et fragilisé par les difficultés de la succession, est inquiet et rappelle un diplomate chevronné, qui saura parler à la Maison Blanche. Mais il se peut aussi que le puissant clan rival des Soudayri – lignée issue de l’épouse favorite d’Ibn Saoud, le fondateur du royaume – soit à la manœuvre.
En dépit de son parcours et de sa puissance, Bandar est exclu de la succession : Khizaran, sa mère, était une concubine « à la peau noire », de celles qui étaient esclaves il y a quelques décennies.
Un métissage qui a donné à l’Arabie saoudite l’un des plus brillants politiques de sa génération. Jeune premier de 63 ans dans la gérontocratie saoudienne, il souffre d’une mauvaise santé et de problèmes de dos, séquelles d’un accident d’avion.
Dépressif selon son biographe, amateur de cigares et de boissons fortes, il serait passé par un centre de désintoxication après 2005. Immensément riche, il possédait pendant sa période américaine un Airbus A340, une luxueuse résidence sur le Potomac et un manoir à Aspen. Bref, un prince saoudien, ami de Washington, devenu responsable de l’un des postes sécuritaires les plus stratégiques du du royaume wahhabite.
Etrange démenti saoudien à la mort prétendue du Prince Bandar, Chef des services de renseignements
Publié le 5 août 2012 dans Facebook
Citation :
Le Réseau Voltaire, qui avait lancé l’information selon laquelle le prince Bandar ben Sultan aurait été assassiné, annonce ce soir que le quotidien saoudien Arab News a démenti cette information, après 4 jours de spéculations.
Le journal saoudien affirme que le prince Bandar ben Sultan aurait au contraire participé à deux réunions officielles depuis son prétendu décès, annoncé par le réseau Voltaire et repris par de nombreux sites Internet depuis lors.
Le quotidien poursuit, sous la signature d’un journaliste « consultant en communication de crise » :
« Tous les sites internet [qui se sont intéressés au sort du prince Bandar] attendent une confirmation ou une infirmation [de la nouvelle] par le gouvernement saoudien. Mais cela n’aura pas lieu et le prince Bandar n’apparaîtra pas en public, à moins que des raisons politiques ou de sécurité le requièrent. La propagande iranienne et syrienne et leurs médias seront confondus ».
Arab News évoque l’attentat du 26 juillet et le possible décès de Mishaal Al-Qani, adjoint du prince Bandar, là encore sans confirmer, ni infirmer.
Bref, tout cela reste bien mystérieux.
Si le prince Bandar ben Sultan est en vie, la meilleure façon de démentir cette information sensationnelle qui a parcouru la planète aurait quand même été de l’interviewer en marge des réunions officielles auxquelles il est censé avoir participer.
S’il avait démenti lui-même l’annonce de sa mort, c’eût été plus convaincant qu’un démenti annonçant qu’il est vivant mais qu’on ne le verra pas.
Un Piège ? Réunion D'Urgence Des Dirigeants Musulmans Dont Ahmadinejad A La Mecque
04/08/2012
Citation :
J'espère que les Iraniens ne vont pas tomber dans ce piège grotesque peut être même sanguinaire visant au mieux à faire croire à l'opinion publique musulmane que l'Iran se range du côté des Saoudiens pour ce qui concerne la Syrie au pire pour éliminer le président iranien.
Les Saoudiens sont prêts à tout pour sauver leur trône et leur dictature monarchique y compris provoquer une guerre régionale.
Ils peuvent toujours mettre sur le compte d'Al Qaeda - dont les terroristes sont recrutés financés par eux - un attentat contre le président iranien.
Derrière l'attentat terroriste qui a coûté la vie à 4 dirigeants du gouvernement syrien de Bashar al Assad il y a les renseignements saoudiens la CIA le Mossad et consorts.
Selon Mohammad Sheikhan responsable du Centre d'Information et de Communication d'Iran l'ambassadeur saoudien à Téhéran a remis une lettre d'invitation pour le président iranien Ahmadinejad pour une réunion d'urgence le 14 et 15 Août à la Mecque des dirigeants musulmans pour discuter des risques de "sédition" menaçant les pays musulmans.
Cela rentre dans les activités Ubuesques menées dernièrement par l'Arabie Saoudite dont la Résolution de l'Assemblée Générale de l'ONU proposée par l'Arabie Saoudite alors que l'AGONU est sous présidence du Qatar condamnant le gouvernement syrien de Bashar al Assad. Tout le monde sait - apparemment pas les parasites scotchés à leur siège à l'AG- que ce sont ces deux pays qui fournissent armes et pétro dollars aux mercenaires de la soit disant ASL.
Cette convocation rentre dans ce genre d'activité délirante ou alors il y a comme on dit anguille sous roche.
On ne sait toujours pas- l'Arabie Saoudite est restée muette sur le sujet- si le chef des services secrets saoudien, Bandar Bush, a bel et bien été éliminé lors d'un attentat il y a deux semaines comme l'information a circulé sur internet.
Alors un acte de vengeance par cette tribu des Saoud est-il en préparation ?
En tous les cas les Iraniens feraient bien de se méfier de leur voisin saoudien grand ami de l'Axe Washington Tel Aviv. Tous les 3 complotent dans les hôtels de luxe en Suisse les prochains assassinats et les prochaines guerres.
A côté de ces comploteurs américano sionistes et saoudiens feu les Borgia font figures de novices.
Sujet: Re: Services Secrets Saoudiens Ven 5 Oct 2012 - 22:03
Le numéro deux du Renseignement saoudien limogé par le roi
05/10/2012
Citation :
Le numéro deux des services de renseignements saoudiens, le prince Abdel Aziz ben Bandar ben Abdel Aziz, a été limogé par décret royal, a annoncé vendredi l'agence officielle SPA.
Le prince Abdel Aziz a été démis de ses fonctions "à sa demande" et le roi Abdallah a nommé le général Youssef ben Ali al-Idrissi pour le remplacer, a ajouté l'agence sans préciser les raisons exactes du départ du prince saoudien.
En juillet dernier, le prince Bandar ben Sultan ben Abdel Aziz avait succédé au prince Moqren ben Abdel Aziz à la tête des services de renseignements, cumulant ses nouvelles fonctions avec celles de secrétaire général du Conseil saoudien de sécurité nationale.
En 2005, l'Arabie saoudite, alors engagée dans une lutte contre le terrorisme après une série d'attentats d'Al-Qaïda, avait annoncé la création d'un Conseil de sécurité nationale, dirigé par le prince Bandar.
Le prince Bandar, fils du prince héritier décédé en 2011 Sultan ben Abdel Aziz, a été ambassadeur d'Arabie saoudite à Washington pendant 22 ans, de 1983 à 2005, avant de démissionner pour, officiellement, "des raisons personnelles".
Il a été, en outre, impliqué dans des missions diplomatiques de médiation menées par son pays notamment dans la crise syro-libanaise après l'assassinat en 2005 de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri.
Le chef des renseignements saoudiens le prince Bandar ben Sultan a dit: “Le Qatar n’est pas un véritable pays… c’est un rassemblement de 300 personnes et d’une chaine de télévision et ceci ne fait pas de lui un pays» !
Cité par le Wall street journal, Bandar s’exprimait dans une réunion de coordination pour l’envoi d’armes aux groupes rebelles en Syrie en été dernier.
Ces propos surviennent alors que le roi saoudien Abdallah a multiplié les missions et les charges de son neveu Bandar, qui a été nommé président du bureau de la sécurité nationale, tout en supervisant encore les renseignements généraux saoudiens.
Plusieurs princes de la deuxième génération se sont vus octroyés des postes sensibles au royaume dont Mohammad ben Nayef (dossier interne), Meteeb ben Abdallah (ministre de la garde nationale) et Salmane ben Sultan (vice-ministre de la défense).
Sujet: Re: Services Secrets Saoudiens Mar 22 Oct 2013 - 22:39
Bandar Sultan boude les américains !!!
mardi, 22 octobre 2013 10:07
Bandar Ben Sultan
Citation :
IRIB-le chef du renseignement saoudien, Bandar Ben Sultan annonce vouloir réduire ses coopérations avec les Etats Unis!! Surnommé Bandar Bush pour ses liens privilégiés avec les Etats Unis, Bandar cité par wall Street Journal aurait affirmé aux diplomates européens son intention de limiter ses coopérations avec les Etats Unis en terme de contrats d'armements, de formations militaires spéciales à prodiguer "aux rebelles syriens".
Depuis deux ans les terroristes takfiris sont formés par la CIA près des frontières syriennes en Jordanie, terrroristes recrutés et financés par Riyad. Bandar aurait dit aussi que cette décision avait été prise en signe de protestation contre les politiques américaines dans la région (entente avec l'Iran, refus d'attaquer la Syrie,....).
Selon les analystes, cette décision du chef du rensiegnement saoudien n'ira pas sans élargir les divergences et les tensions entre les Etats Unis et l'Arabie saoudite dont les liens sont extrémement tendus dans les dossiers tels que la Syrie, l'Egypte ou encore l'Iran.
Signe d'extrême colère de Riyad, ce dernier a refusé la semaine dernière de sièger au Conseil de sécurité, position à laquelle il avait travaillé depuis un an. l'Arabie saoudite a accusé le Conseil de sécurité d'être inefficace dans le dossier palestinien ainsi que dans celui de la Syrie. au cours d'une rencontre lundi à Paris avec son homologue saoudien, Kerry a demandé à Riyad de revoir son refus d'adhérer à titre de membre non permanent au sein du CS .
Au cours de cette rencontre Saoud al fayçal n'a soufflé mot au sujet des inquiétudes qui sont celles du chef du renseignement saoudien, ce qui selon les analystes reflètes les divergences au sein de la classe politique saoudienne au sujet de l'attitude à adopter vis à vis des Etats Unis . les commentateurs estiment que l'ire saoudien fait écho aux inquiétudes de Riyad quant à une possible normalisation Iran/USA, ce qui pourrait sonner le glas à l'influence saoudienne dans la région.
Sujet: Re: Services Secrets Saoudiens Sam 26 Oct 2013 - 16:55
Egypte : Riyad tente d'acheter à nouveau Poutine !!
samedi, 26 octobre 2013 08:21
Citation :
IRIB- Selon les sources bien informées, l'Arabie saoudite vient tout juste de faire une alléchante proposition à Poutine : une offre de 15 milliards de dollars en échange d'une visite de Poutine en Egypte , d'une rencontre de ce dernier avec le ministre de la Défense Al Sissi et d'une légitimisation du coup d'état anti Frères musulmans !!
Selon Russia Today qui rapporte cette information, le chef du renseignement saoudien, Bandar Ben Sultan aurait formulé une proposition en ce sens au cours de sa visite récente à Moscou. selon cette information, cette somme de 15 milliards de dollars auraient dû être payé sous forme de contrat d'armement à signer entre la Russie et l'Egypte . de nouveaux contacts semblent avoir eu lieu entre la partie saoudienne et la partie russe en ce sens, affirment les sources officieuses. Riyad est-il en train de préparer sa riposte anti américaine?