Sujet: Re: Sûreté Nationale [DGSN] Lun 18 Nov 2013 - 19:09
Algérie : Le DGSN prendra part mardi à Paris au salon mondial de la sécurité intérieure
(APS) lundi 18 novembre 2013 17 : 39
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Le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Abdelghani Hamel, prendra part mardi au 18e salon mondial de la sécurité intérieure (Milpol Paris 2013) qui se tiendra du 19 au 22 novembre, indique lundi un communiqué de la DGSN.
Cet espace mondial qui verra la participation d’un nombre important de hauts responsables de la sécurité permettra aux participants de “tirer profit des expériences et des expertises régionales et internationales et de s’enquérir des techniques modernes, des programmes et des systèmes développés en matière d’équipements et de matériels de sécurité”.
Le général-major Abdelghani Hamel, aura, en marge de ce salon, des entretiens avec son homologue français Claude Baland sur “les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale et d’échanger les expériences et l’expertise entre les polices des deux pays”, selon le communiqué.
Le général-major Abdelghani Hamel rencontrera également en marge de sa participation au Milpol 2013 le directeur de l’Institut national des hautes études de la sécurité et de la justice et le directeur de l’école nationale de la magistrature en France. (Aps)
Sujet: Re: Sûreté Nationale [DGSN] Jeu 21 Nov 2013 - 13:26
L’Algérie, un partenaire "incontournable" pour les questions de sécurité en Afrique
(APS) mercredi 20 novembre 2013 16 : 26
André-Michel Ventre - Directeur INHESJ
Citation :
PARIS - L’Algérie est un partenaire "incontournable" notamment en ce qui concerne les questions de sécurité en Afrique et la coopération avec sa police nationale est "très importante", a affirmé mercredi à Paris le directeur de l’Institut français des hautes études de sécurité et de justice (INHESJ), André-Michel Ventre.
"La coopération avec l’Algérie est très importante en qualité (à) et le pays est un partenaire incontournable notamment pour ce qui concerne toutes les questions de sécurité en Afrique, et là nous avons beaucoup de choses à faire ensemble", a déclaré M.Ventre, à l’issue d’entretiens avec le directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), le général-major Abdelghani Hamel.
Revenant au chapitre précis de formation et des échanges que l’INHESJ entretient avec des auditeurs de la DGSN, il a relevé "la très haute qualité"de ces derniers. "En plus du fait que ces auditeurs n’ont aucune difficulté à suivre nos formations, ils nous apportent des informations et des savoirs qui nous sont extrêmement utiles pour améliore notre projet pédagogique", a-t-il reconnu.
Commentant la récente élection de l’Algérie au Comité exécutif de l’Organisation internationale de police criminelle (Interpol) pour la région Afrique, M. Ventre a estimé que cette élection "n’est qu’un témoignage de plus de cette évolution" et réaffirme que "l’Algérie est un partenaire incontournable en matière de sécurité et même de défense nationale pour la France".
Il a considéré que l’expertise de l’INHESJ sur la gestion des crises, sur les menaces criminelles, sur la protection des entreprises ainsi qu’en matière d’intelligence économique peut servir de "contenu" à la coopération future avec l’Algérie.
De son côté, le DGSN a affirmé que ses services £uvrent présentement à "relever ce niveau de coopération à un échange d’expertises et d’expériences, ainsi que par l’organisation de rencontres thématiques à Alger".
M.Hamel se trouve depuis mardi à Paris où il a participé, en compagnie du commandant de la Gendarmerie nationale, le général-major Ahmed Boustila, et le directeur général de la Protection civile, le Colonel Mustapha Lahbiri, à l’ouverture du 18e salon mondial de la sécurité intérieure (Milipol Paris 2013).
Il aura jeudi des entretiens avec son homologue français, Claude Baland sur les voies et moyens de renforcer la coopération bilatérale et d’échanger les expériences et l’expertise entre les polices des deux pays, avant de s’entretenir, le lendemain, avec le directeur de l’école nationale de la magistrature en France.
Sujet: Re: Sûreté Nationale [DGSN] Sam 29 Mar 2014 - 21:03
La police reste attachée au devoir de protection des droits de l’Homme (DGSN)
Mardi 25 mars à 15:26 - APS
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La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a assuré lundi que “la police reste attachée au devoir de protection des droits de l’Homme avec un sens de responsabilité élevé”.
La DGSN a souligné, dans un communiqué, qu’elle a réalisé de “grands pas” dans la concrétisation des objectifs arrêtés en matière de respect et de protection des droits de l’Homme, mettant en exergue son “attachement à l’application rigoureuse de ces principes sacrés”.
Etant une institution pionnière en matière de protection des droits de l’Homme, la DGSN a réalisé un bond qualitatif dans ce sens, notamment ces dernières années en renforçant les mécanismes de formation et l’introduction d’un module sur les droits de l’Homme dans le système de formation de la police, ajoute la même source.
La DGSN a rappelé avoir mis en application “une série de mesures afin d’assurer une meilleure prise en charge des conditions de détention en offrant les fournitures d’usage quotidien et un environnement conforme aux standards internationaux en vigueur”.
Par ailleurs, elle a démenti les informations publiées dimanche par certains médias portant des accusations “infondées sur de prétendus dépassements en matière des droits de l’Homme au sein des postes de police”.
Selon le communiqué, il s’agit d”allégations infondées”. “Il n’existe aucun cas de torture au sein des postes de la Sûreté nationale et aucune plainte à ce sujet, verbale ou écrite, n’a été formulée sur ces prétendus cas”, a-t-on souligné de même source.
La DGSN a, en outre, rappelé que ses services, en l’occurrence l’inspection générale, les inspections régionales ainsi que les 48 brigades d’inspection et de contrôle, veillaient à l’application du plan annuel d’inspection qui a pour “priorité l’ouverture d’enquêtes immédiates en cas de plainte contre un agent de la Sûreté nationale. Une fois les résultats des investigations publiés et dans le cas où une infraction à la loi est avérée, le concerné est présenté devant les instances compétentes”, a-t-elle affirmé.
Les services compétents examinent les “conditions de détention dans les locaux destinés à la garde à vue au sein des postes de la Sûreté nationale et font le point sur l’application rigoureuse des instructions du général major, directeur général de la Sûreté nationale pour assurer le respect des normes en matière de droits de l’Homme dans le traitement de la personne arrêtée, des conditions permettant de préserver sa santé, de s’assurer que le détenu connaît ses droits garantis par le loi, tel le droit de contacter sa famille et celui de l’examen médical…”.
Les investigations ont “prouvé que les rares cas enregistrés par les services de la police concernant certaines fautes relatives à l’éthique de la profession, liées à un mauvais traitement de citoyens, à l’image des trois cas relevés dernièrement à Ghardaïa, ne sont que des actes isolés qui font exception à la règle générale adoptée par la DGSN en matière de protection du citoyen et de ses biens. Ce genre d’actes est passible de sanctions sévères”, conclut le communiqué.