SÉCURITÉ AUX FRONTIÈRES : L'Algérie met les moyens
Par Ikram GHIOUA - Jeudi 19 Decembre 2013
L'Algérie a les moyens nécessaires pour sécuriser son territoire
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En permettant l'évolution de sa politique de défense, l'Algérie est désormais considérée comme l'une des premières puissances militaires en termes de forces, d'équipements, de capacités et de performances.
Elle est même citée comme étant une référence en termes de lutte antiterroriste et l'un des rares pays au monde qui a réussi à vaincre le terrorisme urbain. Sa stratégie étant l'exploitation du renseignement opérationnel, des opérations ciblées et l'adoption d'un plan d'exécution précis font de son armée un corps d'élite incontestable. De par son intelligence dans la mise en oeuvre d'une carte pour réduire le champ d'activités des groupes terroristes, l'Armée nationale populaire s'est distinguée, notamment depuis ces dernières années par un savoir-faire très professionnel. Ses compétences sont louées par les premières puissances mondiales. Aujourd'hui encore, elle fait face à de sérieuses menaces. Entourée par des pays en pleine crise sécuritaire et politique, l'Algérie affronte un danger plus intense dans la mesure où elle constitue une cible. Elle arrive cependant, du moins jusqu'à présent, à maintenir cette menace omniprésente au-delà de ses frontières par la mise en place d'un dispositif sécuritaire hermétique!
Des milliers de soldats sont en alerte continue au niveau de son tracé frontalier Sud, Est et Sud-Est, les forces aériennes et des unités spéciales mobilisées 24h/24, au même titre que les patrouilles et des unités de méharistes.
L'Algérie insiste sur la sécurité de son territoire! A combien peut-on évaluer le coût réservé à la sécurisation de ses frontières? En l'absence d'une comptabilité exhaustive, des sources très au fait du contexte avancent le chiffre de moins de 10 millions de dollars courant par an depuis 2011, soit depuis les débuts des prétendues révolutions qui offriront un nouvel élan à l'émergence des groupes terroristes.
Les dépenses militaires ont été de 8652 millions de dollars courant en 2011 et de 9325 millions de dollars courant en 2012, contre pratiquement le même montant pour l'année en cours. C'est dire que le budget militaire a été revu en hausse en raison des nouvelles donnes et des menaces, mais aussi les exigences de la conjoncture. En juin 2012, le gouvernement avait décrété une augmentation de 40% de la solde des personnels militaires, avec effet rétroactif sur trois ans. Cette hausse ne concerne pas uniquement les salaires des engagés militaires, mais aussi les moyens à mettre en place pour faire face aux risques terroristes.
Cette hausse est en toute évidence justifiée par les nouvelles acquisitions de matériel militaire depuis 2011 relativement aux soulèvements à ses frontières, la modernisation et la professionnalisation de son armée, le renouvellement de ses équipements, la formation et l'entraînement de ses troupes. En un mot, la cause principale de cette hausse est principalement justifiée par la conjoncture. Rien qu'aux frontières Est les points de contrôle ont doublé pour atteindre 80 postes de contrôle sur un tracé de 956 km, avec la création de 20 zones militaires fermées.
A cela s'ajoute le déploiement de 60 000 hommes entre unités spéciales, militaires et GGF. Les chiffres font état également de la mobilisation de 20 000 au niveau de la 4è et 6è Région militaire pour sécuriser les frontières algéro-libyennes. 30 bases militaires ont été créées dans cet objectif pour couvrir les frontières libyennes, maliennes et nigériennes, alors que 3000 militaires des forces aériennes sont en fonction en plus de ceux déjà sur place.
L'attaque de In Aménas, incitera les autorités militaires à opter pour la création d'une 7e Région militaire dont le quartier général sera établi dans la ville d'Illizi, à une centaine de kilomètres de la frontière libyenne, pour une meilleure stratégie de prévoyance et afin de contrecarrer les projets subversifs, avec aussi la construction de nouvelles installations et bases pour les forces de sécurité, à proximité des champs pétrolifères et gaziers de Ouargla, d'Illizi et d'Adrar.
En dehors de son budget, l'Algérie a engagé une enveloppe pour soutenir et armer ses voisins afin de permettre l'émergence d'une coopération commune dans la lutte contre la bête immonde. La mobilisation de l'Algérie contre le terrorisme international lequel est soutenu par les narcotrafiquants, mais aussi par certains pays du Golfe à l'image de l'Arabie Saoudite et le Qatar, ne se limite nullement aux seuls moyens classiques, mais prévoit un matériel technologique sophistiqué qu'on installe progressivement tout en optant pour un système de surveillance électronique équipée de radars et de systèmes d'alarme capables de détecter les tentatives d'infiltration du territoire par les véhicules ou les personnes. Ce système est logiquement appuyé par une surveillance aérienne.
La politique de défense de l'Algérie s'est vu rehaussée d'un cran après la tentative de prise d'otages sur le site gazier de Tiguentourine à In Amenas. Ce que l'Algérie prévoyait de faire sur une durée de plusieurs mois a été fait en quelques semaines par l'adoption de sa stratégie à la situation qui prévaut pour être en conformité avec les nouvelles donnes.
Les officiels du pays qui se sont prononcé sur la situation ont tous souligné que «l'Algérie a les moyens nécessaires pour sécuriser son territoire». Sur le plan international, l'Algérie qui refuse d'impliquer son armée dans les conflits externes même en étant invitée, reste très active et engagée. Elle fournit des aides matérielles et logistiques, partage son expertise et insiste sur la coopération, notamment en ce qui concerne l'échange de renseignements.
Membres fondateurs du Forum de contre-terrorisme global (Global Counter-Terrorism Forum) lancé à New York en septembre 2011, l'Algérie est un partenaire bien considéré dans la lutte antiterroriste. Elle a son mot à dire et continue de lutter contre le versement de la rançon, source de financement des groupes armés. Malgré son adoption par l'ONU à l'initiative de l'Algérie, la criminalisation du versement de la rançon est ignorée par certains pays qui se disent lutter contre le terrorisme à l'image de la France.
ELLE EST EN ACTION EN KABYLIE, À KHENCHELA ET AU SUD DU PAYS
L'ANP multiplie les opérations de ratissage
Par Ikram GHIOUA - Dimanche 22 Decembre 2013 - Lu 2365 fois
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Dotée d'une banque de données et d'un armement sophistiqué, l'armée opère par des actions précises et ciblées.
Après d'intenses investigations et de recherches, l'Armée nationale populaire, mettant en évidence l'exploitation du renseignement déclenche des opérations militaires conséquentes, en Kabylie, à l'est du pays, plus exactement à Khenchela et notamment au Sud. Dotée d'une banque de données et d'un armement sophistiqué, elle intervient par des actions précises et ciblées. En quelques jours, pas moins de cinq terroristes, dont un émir ont été mis hors d'état de nuire entre Sétif et Béjaïa et alors qu'au Sud elle démasquait, il y a quatre jours, le complot du Mujao qui projetait des attaques contre des infrastructures étatiques prévues à Illizi. L'ANP est sur la trace d'un groupe terroriste composé d'une soixantaine de criminels à l'est du pays.
Dans cette opération, les forces de sécurité se sont positionnées au niveau de Djebel Boudakhen, Djebel El Abiodh et Oum El Kamekem. Des zones où les assaillants ont été signalés par des citoyens il y a une dizaine de jours.
Déterminée à sauvegarder une paix chèrement payée, l'ANP a mis tous les moyens pour chasser la bête immonde. De l'artillerie lourde aux forces héliportées. Ces dernières sillonnent toutes les zones citées plus haut depuis plusieurs jours avec des opérations de pilonnage visant des caches susceptibles d'abriter des terroristes, avant d'investir les lieux. Le recours aux bombardements est inévitable, du fait que ces régions sont truffées d'engins explosifs antipersonnel. Le bilan jusqu'à l'heure où nous mettons sous presse fait état de la neutralisation d'un terroriste dont l'identification est en cours, le désamorçage de plusieurs bombes antipersonnel et artisanales, ainsi que la destruction d'une dizaine de refuges. Lors de cette même opération, une quantité importante de munitions, d'armes, des produits pharmaceutiques, des médicaments, de la nourriture et de la littérature subversive ont été récupérés. Des sources concordantes confient que les éléments de l'ANP ont libéré une femme d'origine tunisienne qui aurait été enlevée par les terroristes. Le quotidien El Fadjr rapporte dans son édition d'hier qu'il s'agit de quatre jeunes filles, dont l'une est enceinte. Elles sont âgées de 19 à 30 ans. L'ANP mène des opérations similaires continues à Tébessa, El Oued et Biskra, sur la base d'informations, selon lesquelles, le groupe terroriste terré au niveau des monts de Chaâmbi en Tunisie à quelques kilomètres seulement des frontières algériennes tente de s'infiltrer dans le territoire.
Dans leurs exercices, les forces de sécurité ont lancé dernièrement confirment nos sources, une enquête sur la trace des réseaux de recrutement, laquelle a abouti au démantèlement d'une dizaine de cellules de soutien agissant de concert avec ces réseaux et l'identification de plus de 200 nouvelles recrues. Pour des raisons évidentes relatives au droit de réserve tant que l'enquête est en cours, nos sources se contentent de limiter l'information concernant cette opération. On sait, néanmoins qu'Al Qaîda au Maghreb islamique prévoit la restructuration de son organisation. La nébuleuse reçoit des aides financières des pays du Golfe et trouve au sud de la Tunisie et la Libye un terrain fertile pour prévaloir ses ambitions. Des pays où l'intégrisme religieux et le terrorisme progressent dangereusement. Une menace qui ne laisse pas l'Algérie indifférente, laquelle n'a pas manqué de mettre en oeuvre une stratégie de prévention pour affronter les nouvelles donnes sur le terrain.
L’ANP saisit des armes et des munitions près de Bordj Badji Mokhtar
Par Kaci Haider | 08/01/2014 | 17:54
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Les éléments de l’Armée nationale populaire (ANP) relevant de la 6 ème région militaire ont saisi, hier, 4 fusils automatiques de type Kalachnikov et 1 fusil semi-automatique ainsi qu’une quantité de munitions et de chargeurs au niveau des frontières communes avec le Mali.
L’opération ayant permis de mettre la main sur ces armes a été effectuée dans la zone relevant du secteur opérationnel de Bordj Badji Mokhtar(Adrar) dans le cadre de la lutte contre le terrorisme, selon les précisions fournies par le ministère de la Défense nationale dans un communiqué diffusé ce mercredi.
Toujours selon la même source, par ailleurs, les éléments d’un détachement de l’ANP, stationné dans la région de Tin Zaouatine et relevant du même secteur militaire opérationnel précité, à l’extrême Sud du pays ont réussi, la veille, à faire avorter une tentative de faire exporter clandestinement plus de 174 tonnes de farine et autres denrées alimentaires ainsi que 111 matelas de grande dimension.
La même intervention de l’ANP a permis de neutraliser les auteurs de cette tentative de contrebande au nombre de 17 personnes interceptées à bord de 7 camions.
Algérie : cinq terroristes tués dans le sud algérien
French.china.org.cn | Mis à jour le 16-01-2014 - Source: Agence de presse Xinhua
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un total de cinq terroristes ont été tués ces deux derniers jours dans deux endroits distincts du sud algérien, a indiqué mercredi à Xinhua une source sécuritaire algérienne sous le sceau de l'anonymat.
Dans une opération menée dans la matinée de mardi au niveau du Grand Erg Occidental (700 km au sud-ouest d'Alger) par les forces de l'armée algérienne, trois terroristes ont été mis hors d'état de nuire.
Ces individus qui, selon la même source, tentaient de s'infiltrer dans la zone gazifière de Hassi R'mel, à bord d'un véhicule 4x4 ont été abattus et leur voiture détruite.
Le lendemain, ce sont deux individus qui ont perdu la vie dans la localité de Menanaa, dans la province d'El Oued (650 km au sud-est d'Alger) lorsqu'une bombe artisanale qu'ils étaient en train de fabriquer dans une maison inhabitée leur a explosé à la figure.
Les deux personnes ont été identifiées comme étant Abdelhafid Messaoudi et Chakima Tamrane, précise la même source. F
Frontières : Alger et Bamako renforcent leur coopération militaire
par Yazid Alilat - Dimanche 9 mars 2014
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L'Algérie tient, plus que jamais, à sécuriser ses frontières sud et à y installer un dispositif de sécurité transfrontalier qui lui permette, autant de contrôler cette vaste région désertique, que de renforcer la sécurité au nord du Mali. C'est, en gros, les termes de l'accord de coopération de défense, conclu, hier, à Alger, entre les militaires des deux pays. En déplacement dans la capitale algérienne, le ministre malien de la Défense Soumeylou Boubeye Maïga, a souligné, dans une déclaration à la presse, qu'Alger et Bamako vont «relancer (notre) coopération sécuritaire, dans les zones transfrontalières qui avait été suspendue par la force des choses, parce que le Mali n'arrivait plus à contrôler ces régions». Il a précisé, après avoir rencontré le chef de la diplomatie algérienne Ramtane Lamamra, que «nous allons renforcer notre coopération, dans le domaine de la formation et des actions conjointes que nous pourrons mener, ensemble, pour mieux contrôler les différents trafics, dans ces régions». La présence, à Alger, des ministres maliens de la Défense et des Affaires étrangères, Zahabi Ould Sidi Mohamed, intervient dans le processus de renforcement des relations, en matière de sécurité entre les deux pays, à travers la tenue de la 7ème réunion de la Commission mixte algéro-malienne, chargée de la coopération militaire et technique qui s'est achevée par un accord de coopération, en matière de défense.
Les démarches actuelles déployées, notamment par l'Algérie, dans cette partie, devenue sensible, du Sahel, interviennent, par ailleurs, à la suite de l'appel des autorités maliennes pour sécuriser le nord du Mali, dégager une voie de négociations entre le pouvoir central de Bamako et les différents groupes de la rébellion, notamment touareg, et, enfin démilitariser la région, pour ouvrir la voie à la reprise du développement économique et social, dans cette partie du Mali, et particulièrement à Tombouctou et Kidal.
L'APPEL DE BAMAKO
En fait, ce sont les nouvelles autorités maliennes qui ont sollicité l'aide de l'Algérie pour leur faciliter l'organisation d'un dialogue inter-malien avec les groupes de la rébellion touareg. Selon le ministre malien de la Défense, «l'Algérie avait été sollicitée par le Mali afin d'engager des pourparlers exploratoires, par rapport à la crise du Nord Mali». L'Algérie avait, faut-il le rappeler, organisé, au mois de janvier dernier, une rencontre avec les mouvements de la rébellion malienne, à Alger. Seul le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), avait boycotté cette rencontre pour aller, à Rabat, solliciter une médiation marocaine. En recevant son homologue malien, hier samedi, le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra a affirmé, de son côté, que «la sécurité du Mali est d'une grande importance pour la sécurité de l'Algérie». La coopération bilatérale pour la recherche de solutions aux causes «profondes» de la crise malienne, nécessite la conjugaison des efforts et des moyens des deux pays frères.
«La coordination entre les deux pays intervient, conformément à ce qui a été convenu pour mener une action multilatérale, en vue d'unifier les efforts internationaux visant à trouver des solutions nécessaires à la crise malienne», a souligné M. Lamamra, selon lequel les efforts se poursuivent pour faire avancer les pourparlers exploratoires, tenus à Alger. «Un travail se fait en vue de tenir des réunions regroupant l'Algérie, le Mali, d'autres pays de la sous-région et tous les Etats membres de l'Union africaine pour contribuer au règlement de la crise dans le nord du Mali ainsi que les problèmes communs au pays du Sahel», a-t-il ajouté. Pour le ministre de la Défense malien, «le plus important, c'est de consolider, chaque fois, les acquis que nous aurons engagés et d'avancer. Je pense qu'il y a une volonté commune de travailler ensemble». Pour lui, les autorités maliennes sont conscientes «du fait que toute solution que nous devons apporter doit tenir compte des impératifs de stabilité et du Mali et de l'ensemble de nos voisins».
Le ministre malien de la Défense, sans l'avouer, reconnaît que le dialogue avec l'opposition du Nord, dont les touaregs, est actuellement chahuté par des parties aux intérêts différents des pays sahéliens. D'autant que certains groupes de l'opposition tentent de trouver d'autres sources de médiation dans la crise malienne, notamment à Rabat dont l'agenda, selon des diplomates, n'est pas celui d'encourager un dialogue entre les autorités légitimes à Bamako et l'opposition. Mais plutôt d'encourager une partie contre l'autre, dans un conflit qui dure depuis plus d'une dizaine d'années, et que ni la France, encore moins les pays africains, dont le Burkina Faso, qui ont été sollicités pour une médiation entre les différentes factions maliennes, n'ont pu résoudre. D'autant que le Maroc, qui veut s'ingérer dans la crise malienne, en soutenant des mouvements de l'opposition d'origine touareg, n'a d'autres objectifs que de chahuter le processus de paix enclenché par l'Algérie au nord du Mali.
Par ailleurs, l'affaire des diplomates algériens enlevés au nord du Mali, en 2012, constitue une question «constamment à l'ordre du jour» dans les discussions algéro-maliennes, a assuré le chef de la diplomatie algérienne. «C'est une question, constamment, à l'ordre du jour dans nos discussions avec les frères maliens et également avec d'autres acteurs régionaux et internationaux», a-t-il dit.
Stabilité au Sahel : le Japon veut coopérer avec l’Algérie
LUNDI 10 MARS 2014 / PAR FOUÂD HARIT
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Le Japon a exprimé dimanche sa volonté de vouloir coopérer avec l’Algérie dans sa lutte en pour la stabilité au Sahel.
En visite à Alger ce dimanche, le ministre délégué auprès du ministre japonais des Affaires étrangères, Nobuo Kishi, a exprimé la volonté de son pays de collaborer « étroitement » avec l’Algérie pour le maintien de la stabilité dans la région du Sahel.
« Nous avons fait une évaluation de la situation au Sahel, et le Japon souhaite coopérer étroitement avec l’Algérie pour le maintien de la paix et la stabilité dans cette région », a souligné le ministre, chargé du Moyen-Orient, de l’Europe et de l’Amérique, rapporte l’agence PAS.
M. Kishi a évoqué l’attaque en janvier 2013 contre le site gazier d’in Amenas. Il a « félicité » l’Algérie pour la manière dont les forces de sécurité à Toumentin étaient parvenues à maîtriser les jihadistes. Situé à 1300 kilomètres au sud-est d’Alger, l’attaque avait fait une quarantaine de morts, dont dis japonais de l’entreprise JGC.
Le ministre a enfin souligné que le « Japon continuera à travailler et à coopérer avec l’Algérie ».
Le ministère de la Défense confirme : neuf terroristes tués par l’armée à Tamanrasset (Actualisé)
Actualité - le 5 mai 2014 à 19 h 39 min - Riyad Hamadi.
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Neuf terroristes ont été abattus, ce lundi 5 mai, par l’armée dans la région de Touendart, située à 80 à l’ouest de Tin-Zaouatine, dans la wilaya de Tamanrasset, rapporte le site arabophone alhadath-dz.com.
Selon une source militaire de haut niveau citée par le site, huit armes de type Kalachnikov et un lance-roquette RPG7 ont été récupérés à l’issue de cette opération menée par une unité dépendant de la sixième région militaire. Une source militaire a confirmé cette information à TSA. Le ministère de la Défense nationale a de son côté confirmé cette opération dans un communiqué. « Un détachement des forces combinées de l’Armée Nationale Populaire a mis hors d’état de nuire un groupe terroriste de neuf criminels près de Tin-Zaouatine, wilaya de Tamanrasset/ 6ème Région militaire », indique le MDN.
Cette opération a eu lieu ce lundi 5 mai vers 17h20 au niveau de la zone frontalière dite Taoundert, à 80 km à l’ouest de Tin-Zaouatine, suite à un accrochage qui a permis la récupération de huit fusils automatiques de type Kalachnikov, un lance-roquette RPG-7, des moyens de liaison et une quantité importante de munitions, précise le MDN. « Cette opération qualitative intervient grâce à l’exploitation efficace d’informations sur les mouvements suspects d’un groupe terroriste, réaffirme encore la détermination de l’Armée Nationale Populaire à poursuivre et anéantir ces bandes criminelles où qu’elles se trouvent à travers le territoire national », explique le MDN.