Accident de la route dans le sud: 14 morts selon un nouveau bilan

Rédaction (avec AFP) 14 juillet 2010

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Le bilan de l'accident d'un véhicule tout terrain dans le sud du pays s'alourdit. 14 membres de deux familles ont trouvé la mort et onze ont été blessés dans cet accident qui s'est produit dans la nuit de mardi à mercredi, selon un nouveau bilan de la protection civile. Un précédent bilan faisait état de douze morts mais deux des treize blessés ont succombé à leurs blessures, a indiqué la même source à l'agence APS. Neuf membres des deux familles ont été tués sur le coup et cinq ont succombé à leurs blessures, après évacuation vers les structures sanitaires les plus proches, selon la même source.

L'accident s'est produit entre Hassi Lefhal et El Menea, à 180 km au sud de Ghardaia. Le véhicule tout-terrain transportant les deux familles dont des femmes et des enfants en provenance du sud a dérapé dans un virage avant d'effectuer plusieurs tonneaux, a précisé la même source.

ina lilahi wa ina ileyhi radji3oun (à dieu nous appartenons à lui nous retournons)

20-07-2010 Ghardaïa

32 jours de détention pour un frites-omelette

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Yacine B. et Amar, conducteurs de poids lourds, ont passé 32 jours en détention préventive au niveau de l'établissement de rééducation et de réinsertion de Ghardaïa et ce pour ne pas avoir réglé l'addition dans un restaurant.

Ainsi, ces deux camionneurs avaient pris deux plats de frites-omelette dans une gargote à Hassi Lefhel, une localité sise sur la route reliant El Menea au chef-lieu de wilaya Ghardaïa et avaient omis de payer leur repas, chacun d'eux croyant que son compagnon allait régler.

Le restaurateur a poursuivi les deux camionneurs jusqu'au barrage de gendarmerie dressé à la sortie de l'agglomération et a déposé plainte contre les deux chauffeurs qui ont été présentés au procureur qui les plaça sous mandat de dépôt. Cette version n'a été révélée que le jour de l'audience par un autre prévenu ayant assisté à leur jugement du fait que les deux conducteurs, de peur d'être la risée des autres détenus, avaient indiqué qu'ils avaient été arrêtés pour vol d'un auto-radio.

Lors de l'audience, le représentant du ministère public avait refusé de développer son réquisitoire. «Je connais le code pénal par cœur, je n'ai pas trouvé un article mentionnant le frites-omelette et c'est une honte de juger des citoyens pour ne pas avoir payé 200 DA», avait-il déclaré. Toute la salle, y compris le président de séance, avait ri ce jour-là. Finalement, les deux conducteurs ont été acquittés.

C'est la vie...

Un coup du Mossad ?

Lu sur Bivouac-ID : 24 Aout 2010

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Greffier terroriste

"Un chat enragé s’est introduit dans une Mosquée, au moment de la prière. Il a mordu 5 fidèles qui ont tout de suite été dégagés sur l’hôpital voisin dans la région de Tlemcen en Algérie.

Certains de nos lecteurs se sont émus de la situation… des chats et chiens errants porteurs de la rage. D’autres, plus “humanistes” ont voulu savoir si les morsures ont été infligées sur les postérieurs des prieurs.

D’autres aussi ont souhaité “chat Na tova” (bonne année en hébreu) aux pauvres fidèles injustement blessés par un chat sioniste.

Ça vous fait sourire ? Moi aussi…En plein jeûne et abîmés…aux fesses par la morsure d’un matou, c’est pas glorieux comme Jihad.

Mais comme ils sont bien barrés en ce moment étant donné l’état de fatigue dû au Ramadan, ça va commencer à caqueter durant ces longues heures à ne penser qu’à la grande bouffe du soir.

Il est probable que mois sacré ou pas, les chats et les chiens vont passer un sale moment en Algérie. Il y a bien un cinglé d’imam qui va prononcer une fatwa pour tirer à vue sur les bestiaux.

En attendant, on aurait vu le cat avec une kippa sur la tête tandis que d’autres auraient aperçu une Magen David sur ses coussinets.

C’est possible ! Ouaiche ! Comme il est très possible que la vidéo qui tourne en ce moment et qui fait merveille sur la toile, fait entrevoir un “ange” sur la Kaaba !"

Certainement que oui...

Devant le refus d’être reçu par le maire

Un citoyen s’en prend à son véhicule

01/09/2010 Liberté

Citation :

Confronté à un niet absolu de voir le président de l'APC, un citoyen de Sougueur, une commune chef-lieu de daïra située à trente bornes au sud de Tiaret, a été pris, lundi, par une crise de nerfs l’ayant mené à s’en prendre au véhicule du maire qu'il tentait de saccager. Arrivés aussitôt sur les lieux, les éléments de la sûreté de daïra l'ont embarqué pour le présenter devant la juridiction compétente pour atteinte aux biens de l'État.

L’événement n’a pas laissé indifférente la population qui compte apporter son soutien à ce citoyen qui n’a été à l’APC, précise-t-on, que pour réclamer ses droits auprès de celui qui est censé le protéger.

Je le comprends ce mec

15-09-2010

Pour le vol d’une paire de chaussures dans une mosquée

Il risque 2 ans de prison ferme

K.S. détenu, est accusé d'avoir tenté de voler une paire de chaussures de sport (baskets) à l'intérieur d'une mosquée pendant la prière des taraouih, la première semaine du Ramadhan.
L'inculpé a été arrêté en flagrant délit par les éléments de la police en possession de la paire de chaussures à l'intérieur de son sachet. Il a été présenté hier devant le tribunal de Sidi M'hamed. Lors de l'audience, l'inculpé a nié les faits en disant qu'il est impossible de procéder au vol dans une «maison de Dieu».

Il a ajouté qu'il allait sortir de la mosquée et il a été surpris par l'arrivée des policiers qui l'ont accusé de tentative de vol. le parquet a requis une peine de 2 ans de prison ferme et 50 000 DA d'amende. Le verdict sera prononcé la semaine prochaine.

Certains énergumènes n'ont pas froid aux yeux pour dérober une paire de chaussures dans une mosquée

Echorouk revient d’Oum El Bouaghi : un père qui ligote ses enfants de fils de fer pour pouvoir rompre le jeûne avec du pain et du lait avec sa femme

2010.08.20 Nasser/Version française R.N.



L’histoire lamentable de cette famille, qui n’a jamais vu l’école, ni même le monde civilisé, commence en 1978, lorsque le père, Said, décide de se marier avec sa cousine, dans un village isolé ou l’ignorance règne. Leur première fille est née en 1981. Après quelques années, ses parents s’aperçurent qu’elle souffrait d’un grave déficit mental. Sa mère se lamente : »Alors que les mamans rêvent de marier leur fille à cet age-là, moi je ligote ma fille, pieds et mains, pour qu’elle ne me frappe pas.

Citation :

Si nous agissions pour le compte d’un média télévisuel, nous aurions pu préciser en bande-annonce ou en un point rouge que ce qui va suivre était interdit pour ceux qui ont le coeur fragile, car ce qui se passe chez la famille Annab dépasse l’entendement. Lorsque nous avions publié, il y a quelques années leur cri de détresse, loin de nous était la simple souhait de revenir les voir, tant nous étions désarmés devant l’ampleur de leur drame. Mais à la faveur de ce mois sacré du ramadan, nous avions été captés par l’envie de passer par ce hameau isolé de Bir Henchir, dans la wilaya de Oum El Bouaghi, pour revoir de plus près ce qu’était advenu ses quatre enfants qui vivaient comme des animaux dans les forets tropicales. A la différence que les animaux vivent libres, alors que les enfants Annab étaient enchaînés depuis huit ans dans la masure qui leur servait de logis.

La bicoque de la famille était noyée dans les mauvaises odeurs, car il faut bien le dire, les membres de la famille Annab vivent dans une espèce de branle-bas constant : on mange n’importe quand, n’importe quoi, on pisse et on fait ses besoins n’importe ou dans la cour de la masure. La maman dit que le ramadan n’est pour elle qu’une autre forme de privations et se lamente pourquoi le sort s’est-il ainsi acharné sur elle…

Sexagénaire, mais donnant l’air d’être centenaire, le père « Ammi Said » nous confie : »J’ai exercé toutes sortes de métiers, à mon propre compte, mais la maladie de mes enfants m’a contraint de rester à la maison. Les enfants battent leur mère, parfois, ou fuguent, et je reste souvent des jours entiers à les chercher dans la nature. Une fois j’ai trouvé mon fils Hussein avec les chacals, et son autre frère, le benjamin, Abderrachid, en train de chasser les reptiles. Ma situation m’a contraint à jeûner constamment… »

L’histoire lamentable de cette famille, qui n’a jamais vu l’école, ni même le monde civilisé, commence en 1978, lorsque le père, Said, décide de se marier avec sa cousine, dans un village isolé ou l’ignorance règne. Leur première fille est née en 1981. Après quelques années, ses parents s’aperçurent qu’elle souffrait d’un grave déficit mental. Sa mère se lamente : »Alors que les mamans rêvent de marier leur fille à cet age-là, moi je ligote ma fille, pieds et mains, pour qu’elle ne me frappe pas… »

En 1986, Mohamed vient au monde. En 1986, vient Hussein, puis Abderrachid, et tous, sans exception, montrent des tares psychologiques graves. Les mêmes symptômes, et les mêmes dispositions agressifs. Au début, leur père leur laissat la liberté, mais devant les agressions qui se répétaient, il décida un jour de les ligoter, surtout au moment des repas. Les gens du hameau les fuient, car à plusieurs reprises ils ont tenté de les tuer, et les habitants durent fuir, certains même ont préféré plier bagage et partir…

Livrés à eux-mêmes, ces enfants vivent « dans la nature », comme des animaux ? Non, pire, parce que les animaux ont des balises de conduite à observer. Deux des quatre enfants ont séjourné dans des asiles pour aliénés, lesquels ont vite fait rappeler le père pour lui demander de reprendre ses enfants, qui constituaient une menace pour les autres pensionnaires…

http://www.echoroukonline.com/fra/levenement_de_la_semaine/6710-echorouk-revient-d’oum-el-bouaghi-:-un-père-qui-ligote-ses-enfants-de-fils-de-fer-pour-pouvoir-rompre-le-jeûne-avec-du-pain-et-du-lait-avec-sa-femme.html

Azzazga (Tizi Ouzou)

Découverte d’un insolite nid de guêpes

RADAR (Jeudi 30 Septembre 2010)

Citation :

Insolite découverte d’un enseignant du lycée Sahoui de la ville d’Azzazga, (Tizi Ouzou). Il s’agit d’un nid de guêpes accroché à un mur de parpaings.

Il reste insolite en raison de la grandeur de sa taille, qui mesure 35 centimètres de longueur et 25 centimètres de largeur. Sa forme est semblable à la carte géographique du continent africain. M. Bemelat, connaisseur en la matière, nous a fait savoir que le nid est construit en fibres végétales mâchées et mélangées à de la salive produite par les guêpes elles-mêmes.

Contrairement aux nids de guêpes ordinaires, connus dans la région, qui sont de petites dimensions, entre 5 et 8 centimètres, celui découvert récemment est bien plus grand.
Il contient des centaines, voire des milliers, de guêpes en pleine et intenses activités de production. S’agit-il d’un autre génie de la nature ?

Un peu exgéré non ?

RELIZANE

La femme qui se faisait passer pour un cadre de l'armée écrouée

Citation :

06/12/2010 - Le procureur de la République près le tribunal de Relizane vient d'écrouer en fin de semaine une femme qui se faisait passer pour un cadre de l'armée pour les chefs d'inculpation d'usurpation de fonction et d'escroquerie.

Les faits de l'affaire remontent à fin novembre lorsque neuf personnes ont été victimes de cette dernière qui se faisait passer pour un faux commandant, en leur promettant du travail et des logements contre des sommes colossales.

La jeune femme en question fut arrêtée par la brigade d'intervention et de recherche dans son domicile, à la cité populaire d'El Graba, où le butin récupéré est évalué à 90 millions de centimes.

http://www.letempsdz.com//content/view/49210/1/

quel toupet alors...

tu as vu ça, se faire passer pour un commandant...pfff

cette connasse va le payer très cher, mais je suis sur que quelqu'un lui a soufflé l'idée?

14-12-2010
OUADHIAS

Un ex-étudiant arrêté pour détention et vente de drogue

Le parquet de Draa El Mizan a traité, hier, l’affaire d’un ex-étudiant fraîchement diplômé de l’école internationale de gestion, fils d’un notable de la région, et qui a été arrêté récemment par les services de sécurité aux Ouadhias pour détention et vente de drogue. Durant les plaidoiries, le jeune accusé T.M.A. a nié les griefs retenus contre lui.

Selon le procès-verbal établi par les policiers, au moment de l’arrestation, les policiers ont trouvé dans les poches de l’accusé 0,3 g de drogue traitée, un petit carnet dans lequel sont inscrits les noms de ses clients et une pièce de 100 DA.

Les policiers ont pu découvrir près du lieu de l’arrestation une boite à cigarettes dans laquelle il y avait 13 g de drogue traitée.

Le procureur de la république a requis dix ans de prison ferme à l’encontre de T.M.A. Le verdict final sera prononcé la semaine prochaine.

14-12-2010
CHÉRAGA

Vingt-cinq grammes et mille...

En entendant la quantité de drogue trouvée sur l’inculpé, la jeune avocate sifflota.