oui

La photo que j'ai postée est une illustration globale de la lutte anti sous-marine, c'est la seule que j'ai pu trouver pour illustrer le futur programme SLMAF (Système de lutte anti-mine futur)

En fait le démonstrateur est un drone porte-drone de grande taille. Ce drone de surface est du type USV (Unmanned Surface Vehicle) :

Le démonstrateur de drone de surface "Sterenn Du"


Vue du démonstrateur d'USV


Le Sterenn Du en construction


Le Sterenn Du en construction


Le Sterenn Du avant sa mise à l'eau


Les USV seront déployés depuis un bateau-mère


Le principe du SLAMF

Le SLAMF est un système génial

peut-être en attendant ses performances

Mise à l'eau du démonstrateur de drone de surface "Sterenn Du"

De nouvelles images du drone "Sterenn Du"

12/12/2010

http://www.meretmarine.com/article.cfm?id=114824

Washington prévoit de déployer un nouveau type de drone en Afghanistan

Citation :

02/01/2011 - L'armée américaine prévoit de déployer en Afghanistan un nouveau type de drone de renseignement qui permettra aux militaires de surveiller des théatres d'opérations beaucoup plus vastes qu'auparavant, rapporte dimanche le Washington Post.

Ce drone baptisé Gorgon Stare sera capable de transmettre en direct des imagés vidéo des déplacements dans une ville entière, selon la même source.

Ce nouveau type de drone embarque neuf caméras qui peuvent transmettre simultanément jusque 65 images en direct à des soldats ou à des analystes qui traquent les mouvements des « ennemis », indique le journal.

Jusqu'à présent, les drones de l'armée de l'air déployés en Afghanistan ne possède qu'une seule caméra.

"Gorgon Stare surveillera une ville entière, donc l'adversaire n'aura plus la possibilité de savoir ce que nous surveillons et nous pourrons tout voir", a commenté auprès du quotidien le général James Poss, en charge du renseignement, de la surveillance et de la reconnaissance à l'état-major de l'armée de l'air.

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=168347&language=fr

Le drone : œil volant, il voit tout - le nec plus ultra de la reconnaissance terrain

Citation :

Bonjour Bon article – simple, sans explication technologique - mettant en évidence l’intérêt des drones dans le conflit Afghan. La France à toujours été timorée dans ses nouvelles possibilités d’armes et pourtant nous avons été souvent précurseurs en la matière. Napoléon (...)
Janmary

Le drone est une véritable paire de jumelles volante montée sur un planeur à moteur. Il décolle d’à peu près n’importe où et, propulsé par un petit moteur thermique sillonne sa zone de surveillance affectée avec les yeux d’un aigle.
Jean-Marc Trappler

Piloté à distance, rien ne lui échappe, croisant à près de 8.000 mètres d’altitude, il est indétectable à l’œil nue et quasi invulnérable du sol où aucun missile portable ne peut l’atteindre, sa vulnérabilité se situant au moment du décollage et de l’atterrissage.

Dans son nez, le nec plus ultra de la technologie de surveillance. Une fois en vol, grâce à sa modeste consommation en carburant, ses 400 litres de kérosène lui permettent de voler 24 heures non stop à petite vitesse, environ 120km/h. Il permet une surveillance permanente de zones dans lesquelles il peut détecter tout mouvement humain ou mécanique suspect. Il peut être également armé et ainsi prendre en compte des objectifs terrestres (roquette air-sol voire missile de croisière pour les plus lourds).

Le drone, dans l’armée française, a fait une entrée plutôt timide alors qu’il en faudrait des escadrilles. Son trop petit nombre en service risque d’épuiser rapidement le stock de pièces de rechanges pour un maintien opérationnel des engins, c’est la crainte des militaires en charge de son développement. Pièces qui risquent d’être prélevés sur le matériel volant, affectant ainsi la capacité opérationnelle de l’unité. On a vu des Mirage cloués au sol parce qu’ils avaient été délestés de pièces au profit du peu d’appareils en capacité de voler. Pourtant le drone est infiniment moins cher que les classiques moyens de surveillance et embrasse même une plus large aire de terrain que certains satellites ; il est l’allié incontournable des fantassins en Afghanistan.

Un ânier, quelque part sur une piste afghane, accompagné d’apparemment deux paysans, arrête sa petite troupe, fait boire ses bêtes, s’éloigne de quelques mètres de la fontaine, un objet à la main. Zoom de la caméra du drone : c’est une pelle. Zoom sur l’ânier : il creuse. Un paysan sort un paquet de dessous le chargement d’un des ânes. Zoom : le paquet change de mains, la pelle est posée, le paquet est enfoui, une pelletée de sable sur l’ensemble : la caméra du drone vient d’enregistrer une scène d’enfouissement d’un engin explosif responsable de 70% de la mort des soldats de l’OTAN en Afghanistan. Les coordonnées sont relevées, un hélicoptère décolle, une nouvelle mission commence… La surveillance du terrain est primordiale et l’usage du drone trouve toute son utilité dans l’accompagnement, du ciel, de convois et de patrouilles, fournissant une foultitude de détails utiles aux missions. L’activité humaine suspecte y est détectée, par exemple lors de la surveillance d’un village étape pour nos fantassins, les caméras pourront enregistrer tout détail prémonitoire à une action terroriste : mouvements inhabituels de foule, de véhicules ou d’individus. Présences suspectes le long et aux côtés d’axes que doivent emprunter nos militaires. Tous ces renseignements sont coupés, recoupés avec d’autres sources et permettent de déjouer, bon nombre d’actions hostiles et de repérer les aires de replis des insurgés qui ne voient pas qu’ils sont observés du ciel. Une embuscade nécessite une mise en place, elle peut être repérée par le drone. Une embuscade a eu lieu, les insurgés éclatent vers leurs bases arrière où repaires dans des villages amis le jour, ennemis la nuit ; ils sont suivi par l’œil implacable du drone qui désignera ainsi les cibles pour les autres vecteurs de l’ISAF.

Les applications ne sont pas uniquement militaires. Elles pourraient, et elles ne le sont pas encore, être sécuritaires, dans le cadre de la surveillance de foules rassemblées pour toute occasion. Dans l’armée française, l’expérience du drone est concluante, les équipes sont formées, plus de 200.000 heures de vol l’année dernière le démontrent.

http://www.armees.com/Le-drone-oeil-volant-il-voit-tout-le-nec-plus-ultra-de-la-reconnaissance-terrain,34511.html

Suite aux accords de coopération en matière de défense signés en novembre 2010 par la France et la Grande-Bretagne, il est question de développer en commun un drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) pour entrée en service prévue à l’horizon 2020.

Les groupes Dassault Aviation et BAE Systems comptent soumettre une offre, basée sur le démonstrateur Mantis, qui, après avoir effectué son premier vol en 2009, reste cloué au sol faute de financement.

De son côté, EADS a déjà investi plusieurs dizaines de millions d’euros pour développer le Talarion, destiné initialement à la France et à l’Allemagne.

Mais comme Paris regarde vers Londres et que Berlin n’a pas les moyens de se l’offrir, ce drone risque de ne jamais voir le jour.

A moins de faire cause commune avec le duo formé par Dassault et BAE Systems.

Comme l’a rappelé le président d’EADS, Louis Gallois, lors de ses voeux à la presse, cela éviterait de ne pas refaire les erreurs du passé avec le Rafale et l’Eurofighter, c’est à dire en produisant deux avions de combat destinés au même segment de marché.

Dans un sens, et alors que les budgets européens de défense se réduisent comme peau de chagrin au nom de la lutte contre les déficits (et aussi, il faut bien le dire, d’une hiérarchisation des priorités) et que le mot « rationalisation » est devenu très à la mode, l’idée de faire cause commune pour concevoir un drone se défend, à condition que le fait qu’il n’y ait qu’une seule offre sur le Vieux Continent ne se traduise pas par un blanc-seing pour faire exploser les coups de développement.

Seulement voilà, chez Dassault, on ne veut pas travailler avec EADS.

Pour autant, Louis Gallois persiste à penser que le « Talarion n’est pas mort ».

Pour l’instant, l’appel d’offres n’est pas encore lancé.

Aussi, le groupe européen chercherait des alliances avec des entreprises britanniques.

L’une d’entre elles pourrait être la compagnie Cobham, qui vient d’annoncer la réorganisation de ses implantations en France et qui, selon le Daily Telegraph, aurait l’intention de déposer une offre avec l’américain General Atomics.

Drones : Dassault ne veut pas d’EADS

Citation :

17 janvier 2011 – 17:20 - Suite aux accords de coopération en matière de défense signés en novembre 2010 par la France et la Grande-Bretagne, il est question de développer en commun un drone MALE (Moyenne Altitude Longue Endurance) pour entrée en service prévue à l’horizon 2020.

Les groupes Dassault Aviation et BAE Systems comptent soumettre une offre, basée sur le démonstrateur Mantis, qui, après avoir effectué son premier vol en 2009, reste cloué au sol faute de financement.

http://www.opex360.com/2011/01/17/drones-dassault-ne-veut-pas-deads/

ah bon ?