Sujet: Re: Services Secrets Israéliens Dim 24 Juin 2012 - 16:50
Le Google Doodle qui fait mal à l’Iran.
Téhéran accuse la firme de Mountain View d’être au service du Mossad
Publié le 24 juin 2012
Citation :
La page facebook de Bibi mérite le détour et nous avions déjà salué l’humour du premier ministre israélien avec la vidéo de Daffy Duck en mars dernier (ici)
Une dépêche iranienne fournit un deuxième prétexte pour y revenir. L’agence iranienne Fars News titrait en effet hier que Google était au service du Mossad israélien. La preuve apportée par l’Iran semble toutefois assez mince puisqu’elle se résume à la déclaration d’Eric Schmidt lors de sa rencontre avec le premier ministre israélien :
Sujet: Re: Services Secrets Israéliens Jeu 28 Juin 2012 - 0:05
Assassinat d'un cadre militaire du Hamas en Syrie, le mossad incriminé
28/06/2012
Citation :
Un cadre militaire du Hamas basé en Syrie, Kamal Hussein Ghannajé, a été assassiné mercredi dans la banlieue de Damas, a affirmé mercredi un responsable au sein mouvement palestinien islamiste au Liban, affirmant que des soupçons pesaient sur le Mossad israélien.
"Un groupe d'individus est entré chez lui à Qoudsaya dans la province de Damas où il l'a liquidé", a indiqué à l'AFP un responsable sous couvert de l'anonymat. "Ils ont pris des dossiers de la maison".
"Selon nos informations, c'est le Mossad qui est derrière l'assassinat", a-t-il ajouté, en référence au services secrets israéliens
Selon lui, M. Ghannajé était l'un des adjoints de Mahmoud Abdel Raouf Al-Mabhouh, un cadre du Hamas retrouvé mort en janvier 2010 dans une chambre d'hôtel à Dubaï, où les enquêteurs sont persuadés que le Mossad est derrière le meurtre.
Le Hamas a reçu pendant de nombreuses années le soutien du pouvoir en Syrie face à Israël et son bureau politique est basé à Damas. Mais selon des informations de presse, le chef de ce bureau, Khaled Mechaal, et les autres responsables de l'instance ne résident plus en permanence à Damas.
Sujet: Re: Services Secrets Israéliens Jeu 28 Juin 2012 - 16:16
Rais a écrit:
Il est clair que le Mossad a profité des troubles qui perturbent la Syrie pour réaliser son oeuvre macabre.
Aucun doute à ce sujet, le contre-espionnage syrien est malheureusement très occupé à combattre les terroristes infiltrés d'où la voir libre exploitée par le Mossad.
JERUSALEM - Le ministre israélien de la Défense Ehud Barak a maintenu jeudi le flou sur une éventuelle implication de son pays dans l'assassinat la veille en Syrie d'un cadre militaire du Hamas qui a dit soupçonner le Mossad israélien.
Je ne suis pas sûr que cela soit forcément vrai, a déclaré M. Barak à la radio militaire qui l'interrogeait sur un rôle des services de renseignements israéliens dans le meurtre de Kamal Hussein Ghannajé.
Selon le ministre israélien, ce responsable du mouvement islamiste palestinien ne faisait pas partie des justes de sa génération.
Kamal Hussein Ghannajé a été assassiné mercredi dans la banlieue de Damas, avait indiqué la nuit dernière un responsable du Hamas au Liban, affirmant que des soupçons pesaient sur les services de renseignement israéliens.
Selon nos informations, c'est le Mossad qui est derrière l'assassinat, a-t-il ajouté.
D'après la même source, M. Ghannajé était l'un des adjoints de Mahmoud Abdel Raouf Al-Mabhouh, un cadre du Hamas retrouvé mort en janvier 2010 dans une chambre d'hôtel à Dubaï. La police de Dubaï a accusé le Mossad d'avoir organisé ce meurtre.
Le Hamas a reçu pendant de nombreuses années le soutien du pouvoir en Syrie face à Israël et son bureau politique est basé à Damas. Mais selon des informations de presse, le chef de ce bureau, Khaled Mechaal, et les autres responsables de l'instance ne résident plus en permanence à Damas.
L'assasinat du cadre du Hamas est survenu alors que les violences ont gagné en intensité en Syrie notamment près de la capitale, plus de 15 mois après le début de la révolte contre le régime du président Bachar al-Assad réprimée dans le sang. La répression et les combats entre rebelles et forces gouvernementales ont fait plusieurs centaines de morts ces deux dernières semaines.
M. Barak a laissé entendre que la Russie aurait décidé de ne pas fournir d'armes sophistiquées supplémentaires à Damas, à la suite de la visite au début de la semaine en Israël du président russe Vladimir Poutine.
J'espère que de nouvelles armes ne parviendront pas à la Syrie notamment pour renforcer les systèmes de défense anti-aérienne, a-t-il affirmé. Selon lui, le président Poutine écoute parfaitement ce que nous disons sur le dossier, qui concerne notamment la livraison de missile sol-air de type S-300 à Damas.
Jugeant inéluctable la chute du régime Assad, le ministre de la Défense israélien a néanmoins affirmé que plus le temps passe, plus il sera difficile de stabiliser la situation en Syrie face aux forces qui sèment le chaos.
Des responsables militaires israéliens ont déjà évoqué le danger de voir Al-Qaïda s'implanter en Syrie.
Israël est officiellement en état de guerre avec la Syrie.
Malgré l'occupation et l'annexion par Israël du plateau syrien du Golan, une décision non reconnue par la communauté internationale, la frontière entre les deux pays n'a connu aucun incident notable depuis la fin de la guerre israélo-arabe en octobre 1973.
Sujet: Re: Services Secrets Israéliens Sam 30 Juin 2012 - 11:26
Le Mossad ne voit que «des craquements» en Syrie
28/06/2012 à 22:44
Citation :
Confidence d'un diplomate israélien: «Nos services de renseignements ne voient que des craquements dans la hiérarchie du pouvoir à Damas. Bachar ne devrait pas tomber dans les prochains mois. Et plus l'agonie durera, plus le chaos qui suivra la chute...
Les discussions avancent mais piétinent aussi au sujet de la nouvelle loi Tal sur l’enrôlement des ultra-orthodoxes et des Arabes israéliens.
Pour le moment, le Premier ministre Benjamin Netanyahu a indiqué qu’il s’opposait à des sanctions économiques contre les ultra-orthodoxes qui étudient dans des écoles talmudiques et refusent de s’enrôler dans l’armée ou à accomplir un service national, contre les recommandations formulées par le Comité pour la promotion de l’égalité dans le partage du fardeau national, connu comme le Comité Plesner.
Netanyahu s’est également opposé à l’établissement d’un quota du nombre d’étudiants qui peuvent demeurer dans le système des yeshivot, sans enrôlement.
Le Premier ministre a tenu une série de réunions avec les dirigeants des factions ultra-orthodoxes à la Knesset, avec le président de la commission Yohanan Plesner (Kadima) et avec le vice-Premier ministre Shaul Mofaz (Kadima).
Malgré une progression marginale sur certaines questions, les parties ont indiqué que les réunions se sont conclues sur une impasse.
Le Bureau du Premier ministre a travaillé en coordination avec les chefs des partis ultra-orthodoxes, qui s’opposent à la proposition de réforme dans sa forme actuelle.
Le Comité Plesner a recommandé un certain nombre d’options de services disponibles pour enrôler les ultra-orthodoxes, y compris pour l’Agence de Sécurité d’Israël (Shin Bet) et le Mossad (agence israélienne de renseignement étranger).
Si la recommandation est adoptée dans le cadre de la nouvelle loi, il s’agira d’une première.
Les discussions ont également soulevé des enrôlements d’ultra-orthodoxes dans la police, la police des frontières, dans le Service pénitentiaire d’Israël, ou en tant que pompiers.
Selon le comité, une aile séparée devrait être construite dans la base militaire de Tel Hashomer, la base d’enrôlement (Bakum), pour absorber les étudiants de yeshiva. Ceux qui se voient accorder un report de service devront revenir à la base une fois par an pour recevoir des options d’enrôlement différent, jusqu’à l’âge de 22 ans. Le comité n’a pas encore décidé quel est le pourcentage d’étudiants qui seront autorisés à reporter l’enrôlement, avec des chiffres variant entre 10 et 25%.
Le ministre de la Défense Ehud Barak, de son côté, a déclaré à la radio de l’armée que « l’armée israélienne, sous sa directive, coopère avec le Comité Plesner. « J’ai comparu devant le comité et les discussions tenues avec plusieurs de ses membres. Cette question doit être traitée par le dialogue. […] Nous devons arriver à un point où les gens servent l’Etat, en dehors de ceux qui ont été désignés comme des prodiges de Torah. » » Les Haredim (ultra-orthodoxes), pour leur part, s’opposent avec véhémence aux sanctions financières contre les individus qui refusent de s’enrôler.
Toutefois, au cours de réunions récentes avec Netanyahu et le président de la coalition Ze’ev Elkin (Likoud), certains accords ont été conclus, notamment en imposant des sanctions économiques sur les institutions. En d’autres termes, en vertu de la nouvelle loi, les yeshivot qui continuent à accueillir ceux qui refuseraient de s’enrôler seraient condamnées à une amende. Une telle disposition signifierait que les yeshivot recevront moins de frais de scolarité, parce que le gouvernement offre un soutien financier basé sur le nombre d’élèves par école talmudique, et paieraient de surcroît une taxe.
Les accords mentionnés ci-dessus, toutefois, ne feront probablement pas partie de la proposition du Comité de Plesner. Plesner a déclaré que « les Haredim qui ne s’enrôleront pas, s’exposeront à des sanctions pénales. » En ce qui concerne son désaccord avec Netanyahu d’imposer des sanctions contre les individus, Plesner a déclaré : « Sans faire de l’individu un responsable, nous ne serons pas en mesure de répondre aux objectifs d’enrôlement. Nous devons insister sur ce principe ».
En plus des objections des partis ultra-orthodoxes, la coalition politique actuelle pourrait connaître quelques fissures car, malgré la demande catégorique d’Yisrael Beitenu, il apparaît que la proposition de loi Plesner ne comprendra pas de disposition pour l’enrôlement obligatoire dans le secteur arabe. Selon le comité, l’omission du secteur arabe découle de la complexité de la question et du manque de temps à la disposition du comité. Des députés de droite, dont ceux d’Yisrael Beitenou, ont menacé de s’opposer à la proposition de loi si le secteur arabe n’est pas inclus. Si le Comité Plesner soumettra bientôt ses recommandations initiales, la vraie bataille pour le nouveau projet de loi d’enrôlement se livrera ensuite à la Knesset.
Kadima s’est déjà préparé à ce terrain en créant un sous-comité de la Knesset pour les Affaires étrangères et la Défense, dans le but d’adopter la loi à la Knesset. Kadima exige que le Bureau du premier ministre nomme Plesner à la tête du sous-comité, afin d’être en mesure de contrôler le processus législatif. Misha UZAN – Jforum.fr Israël
Yitzhak Shamir, le terroriste devenu président d'Israël qui joua un rôle central dans la conspiration contre JFK
mercredi 4 juillet 2012
Citation :
Dans Final Judgment: The Missing Links in the JFK Assassination Conspiracy (1994) l'auteur Michael Collins Piper accuse Yitzhak "Shamir" (Yitzhak Yezernitzky, qui a non seulement été terroriste mais premier ministre d'Israël!) d'avoir trempé dans le complot pour assassiner JFK, alors qu'il était en fonctions à la tête de l'escouade d'assassins du Mossad.
Il aurait assuré l'embauche de tireurs d'élite étrangers (grâce à un ami dans les services secrets français), pour mener ainsi à bien l'opération de camouflage de l'identité véritable des conspirateurs, qui auraient été nuls autres que: le Premier ministre israélien d'alors David "Ben-Gurion" (David Gryn), le chef de l'escouade d'assassins du Mossad Yitzhak "Shamir" (Yitzhak Yezernitsky) ainsi que leurs alliés à l'intérieur de la CIA et de la pègre chapeautée par Meyer "Lansky" (Meyer Suchowljansky).
Mort de Yasser Arafat : les services secrets israéliens, suspect numéro 1 ?
Publié le 6 juillet 2012
Citation :
La chaîne Al-Jazeera a évoqué mardi, dans un documentaire, l'hypothèse selon laquelle Yasser Arafat aurait été empoisonné au Polonium. Cette suspicion ne fait que renforcer les rumeurs selon lesquelles les services secrets israéliens auraient assassiné l'ancien leader du Fatah, symbole de la cause palestinienne.
Lady Di, assassiné : le Mossad contre la monarchie britannique?
mardi, 10 juillet 2012 15:32
IRIB- Au regard de l'importance de l'information, l'IRIB la reproduit entièrement:
Citation :
"Ce qui va suivre ici est une information à haut risque qui pourrait entraîner, prochainement, la fermeture du site, mais devant l'importance d'une telle information, notre décision ne s'est pas fait attendre ; un ancien agent du Mossad nous a adressé un témoignage capital, l'équipe de Wikistrike remercie ici cet homme, pour lever le voile, sur l'affaire de la princesse Diana et sur son supposé «accident»...
Le privilège insolent de posséder des services secrets n'est pas seulement l'apanage de quelques pays qui s'arrogent le droit de croire encore qu'ils représentent de grandes puissances, ce privilège est un droit qu'ont repris, par mimétisme stratégique, les firmes internationales. Ce n'est pas un luxe qu'elles se sont octroyé, mais bien une nécessité fondamentale, pour se prémunir de l'espionnage industriel, tout en ayant les moyens de l'appliquer, pour leur propre compte. Si bien qu'au fil du temps, ce sont devenus de véritables services de renseignement omnipotents, capables de produire.
(...)
J'ai été un de ses agents de renseignements, j'y ai perdu mon âme, et depuis pas mal d'années, maintenant, j'essaie de la regagner... La meilleure définition de l'informateur qui m'ait été donné d'entendre fut formulé par une vieille connaissance, un ancien agent secret du Mossad, Uzi Mahnaimi :
«Vous passez des jours, voire, des heures, avec lui ; suivez ses progrès pas à pas, vous l'aidez, vous l'assistez dans toutes ses démarches, vous regardez ses photos de famille, vous connaissez les prénoms et l'âge de ses enfants. Et pourtant, l'informateur n'est pas un être humain ; il ne faudra jamais le considérer comme tel. L'informateur n'est qu'une arme, le moyen d'atteindre une cible, un peu comme une Kalachnikov, point à la ligne. S'il faut l'envoyer à l'abattoir, n'y réfléchissez pas à deux fois. L'informateur n'est pas une personne. C'est un numéro».
Et si vous saviez le nombre de blaireaux qui remplissent cette fonction à la perfection...
L'espionnage est une affaire d'intelligence et de secrets partouzant derrière une porte blindée. Pour l'ouvrir, aucune balle ni aucune tête chercheuse ne suffiraient, même pendant une fusillade de mille ans. Que faut-il faire ? Réponse : savoir persuader son geôlier par le raisonnement, la flatterie manipulatoire, et, s'il le faut, par la menace.
Je regrette l'ancien temps de ma jeunesse, se tenir constamment informé des alliances politiques, bancaires, économiques, aussi mouvantes soient-elles, savoir quel marché va tomber, vendre des informations essentielles, être reçu comme un roi dans des hôtels de luxe où se côtoient négociants en armes et contacts douteux.
Un jour, je fus mêlé au destin tragique de Diana, la princesse de Galles, et de son amant, Dodi al-Fayed, playboy et fils du riche propriétaire du Ritz, Mohammed al-Fayed. Le Mossad, à l'époque, avait décidé de recruter des informateurs permanents au Ritz. C'était une équipe de professionnels, dont je faisais partie. On saisissait au vol les propos de ses hôtes, on observait leurs attitudes, notant leurs allées et venues, relevant l'identité des personnes qu'ils fréquentaient. Souvent, les paparazzis agglutinés, en permanence, devant le Ritz, pour mitrailler les prestigieux clients de l'établissement, posaient problème. Une armée d'appareils photographiques est toujours un sérieux problème. Des mesures prudentielles s'imposaient, nos visages n'existent pas et n'existeront jamais, peut importe ce qu'on doit faire pour cela.
Les jours passaient, les clients arabes et surtout saoudiens se faisaient nombreux. Je me rappelle que le personnel de l'hôtel ne les aimait pas, ils étaient grossiers, vulgaires, et claquaient du doigt, pour appeler, hurlant si le service n'était pas assez rapide à leur goût. On avait besoin de recruter un informateur non juif, on fit donc une «approche froide» ; en général, pour recruter un informateur, on dit souvent qu'on travaille pour une société désireuse de réactualiser sa banque de données et qui paye un bon prix ceux qui l'y aident. On ajouta à celui que l'on avait jugé apte que nombre de clients du Ritz détenaient des informations susceptibles d'intéresser la société que l'on représentait. L'homme mordit rapidement à l'hameçon...L'argent est roi en son royaume.
L'homme en question était fragile, on le harcelait, il noyait son angoisse dans l'alcool. On lui mettait la pression, il arriva un moment où il ne pouvait plus reculer, sinon on balançait à la direction de l'hôtel les informations confidentielles qu'il donnait aux paparazzis pour de belles petites rémunérations de fouine. On le tenait... les dossiers qu'on avait sur sa vie étaient une chose qui suffisait à rappeler à cette «chose», chef adjoint de la sécurité de l'hôtel, ce qu'on exigeait de lui.
Le dimanche 31 août 1997, à 1 heure du matin environ, un accident de voiture se produisit dans le tunnel de l'Alma : une Mercedes roulant à grande vitesse percuta un pilier de béton armé. Les morts, au nombre de trois, n'étaient autres que la princesse Diana, mère du futur roi d'Angleterre ; Dodi al-Fayed, fils de Mohammed al-Fayed, le propriétaire égyptien des magasins Harrod's et du Ritz ; et le chauffeur de la Mercedes, notre informateur, Henri Paul. Quant au garde du corps, il était, grièvement, blessé.
Très peu de gens, hors des services secrets israéliens, ont une idée du rôle joué par le Mossad dans la fin tragique de la femme la plus célèbre du monde, ainsi que dans les agences de notation, à travers le monde. La méthode est la même : vanité, arrogance, pouvoir, manipulations, secrets. Les humains sont si stupides, personne ne se pose jamais de questions, l'opinion publique a accepté la version officielle de l'accident, sans relever les incohérences monstrueuses du dossier.
Seul un homme, Mohammed al-Fayed, père de la victime, a, quant à lui, échappé à cette règle ; cet homme tenace, dont le fils a été lâchement assassiné, possède un cerveau et posa à l'époque les bonnes questions qui, bien sûr, restèrent sans réponse :
«Pourquoi a-t-il fallu une heure quarante pour conduire la princesse à l'hôpital ? Pourquoi certains photographes n'ont-ils pas restitué les photos prises sur place ? Pourquoi y a-t-il eu un cambriolage, cette nuit-là, au domicile londonien d'un des paparazzi ? Pourquoi les caméras de télévision en circuit fermé de ce quartier de Paris n'ont-elles pas produit une seule image ? Pourquoi les caméras de contrôle de la circulation n'étaient-elles pas branchées ? Pourquoi le théâtre de l'accident, au lieu d'être isolé, a-t-il été rouvert à la circulation, au bout de quelques heures ? Pourquoi, parmi les paparazzis massés à l'extérieur du Ritz, y en avait-il un dont l'équipement était celui d'un photographe d'actualités ? Et qui sont les deux hommes non identifiés qui, après s'être mêlés à la foule des badauds, se sont retrouvés plus tard au bar du Ritz ? Ils ont passé commande en anglais, sans cesser d'observer et d'écouter ce qui se passait, avec une attention soutenue».
La vérité est que c'est moi qui ais pris le contrôle à distance du système électronique de la Mercedes. Ensuite, cela fut un véritable jeu d'enfants, comme diriger une voiture téléguidée, de faire en sorte que...d'un seul coup...
Le Prince Philip l'a tué, avec l'aide du M16
L'assassinat de Lady Diana a été commandité par la Couronne d'Angleterre, et, plus particulièrement, par le prince Philip, duc d'Edimbourg, et le contrat a été donné au MI6, service de renseignement extérieur du Royaume-Uni et au Mossad. La famille royale d'Angleterre ne voulait pas d'un prétendant au trône d'origine arabe, voir, même musulman...
Je demande pardon à Mohammed al-Fayed pour ce crime, ce que je faisais, c'était pour l'argent et pour rien d'autre ; je sais que mes excuses ne valent rien, mais j'espère me racheter aux yeux de Dieu en révélant ce que je sais, et n'oubliez jamais ceci :Le racisme n'est pas un défaut, c'est une maladie.
Tout ce qui est écrit ici est la pure vérité, cela a été confirmé par Thomas Gordon, journaliste d'investigation gallois, spécialiste des services secrets du monde entier, il a publié une quarantaine de livres, dans ce domaine, ainsi que par beaucoup d'autres journalistes spécialisés, et aussi par un membre de la gendarmerie nationale travaillant pour le Mossad.
L'équipe de Wikistrike est fier d'appartenir à un des derniers sites internet où la vérité survit, et nous tenons à remercier ici Mr Karl Weizmann d'avoir contacté le site Wikistrike en reconnaissance de notre travail et de notre dévouement, malgré les menaces perpétuelles dont nous faisons l'objet. Et nous vous donnons ici des informations capitales sur le Mossad, peut-être plus anecdotiques :
Karl Weizmann réside, aujourd'hui, à Ashdod, en Israël, sous une nouvelle identité. Il a arrêté ses activités de renseignement et se consacre, aujourd'hui, à l'écriture. Le nom de K. Weizmann est évidemment un pseudonyme utilisé pour des raisons de sécurité. Wikistrike demande la réouverture du dossier Lady Diana, compte tenu des nouveaux éléments apportés à l'opinion publique. Nous tenons à apporter ici notre affection et notre soutien à Mr Mohammed al-Fayed, qui s'est battu avec ténacité pour la vérité sur la mort de Lady Diana et de son fils Dodi al-Fayed.
"Unlawful Killing", film-documentaire, financé par Mohamed Al Fayed, le père milliardaire de l'amant de Diana, censé dévoiler une supposée vérité sur la mort tragique de la princesse Diana et de Dodi Al-Fayed, a été, définitivement, mis au placard par les producteurs. La raison ? L'impossibilité pour eux d'obtenir les assurances qui les auraient protégés, en cas de poursuites judiciaires sur le contenu du film.
Trop risqué
"Unlawful Killing" devait sortir en salles, aux Etats-Unis et dans de nombreux autres pays, le 31 août prochain, pour marquer le 15ème anniversaire de la mort de Diana. Réalisé par le Britannique Keith Allen, le documentaire n'a pas pu trouver de distributeur, en raison de son contenu polémique. Selon le président de la société de production de Mohamed Al Fayed, aucun assureur n'a souhaité prendre le risque de couvrir le film, pour le Royaume-Uni ou la France, par exemple, alors que le film ne devait même pas, dans un premier temps, sortir dans ces pays.
Au Royaume-Uni, "Unlawful Killing" n'avait pas obtenu l'autorisation d'être projeté au cinéma, sans la mise en place de 87 coupes, afin de se plier aux lois sur la diffamation du pays. Car le film critique la famille royale et remet en question une enquête de 2007, qui avait conclu que la mort de Lady Di et Mohamed Al-Fayed était le résultat de la négligence du chauffeur de leur voiture et du comportement dangereux des paparazzis. Selon le réalisateur, qui a suivi le déroulement de l'enquête, une conspiration serait au coeur de l'affaire et les médias britanniques s'en seraient rendus complices.
Il y a 40 ans, le mossad assassinait le grand écrivain Ghassan Kanafani
Date de mise en ligne : lundi 9 juillet 2012
Citation :
Le 8 juillet 1972, ce grand romancier et journaliste Palestinien mourait à l'âge de 36 ans, en même temps que sa nièce de 15 ans, assassiné par une charge de dynamite placée sous sa voiture, à Beyrouth, par les services secrets israéliens.
Ghassan Kanafani, porte-parole du Front Populaire de Liberation de la Palestine, redacteur en chef de l'hebdomadaire « Al Hadaf », était romancier, auteur de plusieurs pieces de theâtre et journaliste, dont l'oeuvre est profondément enracinée dans la culture arabe palestinienne. Il a inspiré une génération entière de son vivant jusqu'à aujourd'hui, par ses actes et ses écrits.*
Le Mossad, artisan de l’assassinat des scientifiques atomistes iraniens
mardi, 10 juillet 2012 04:18
Citation :
IRIB- Le Mossad est l’artisan de l’assassinat des savants atomistes iraniens, a indiqué le membre de la direction de la Commission de la sécurité nationale et de la politique étrangère du Majlis islamique, Baqer Hosseini.
"Les crimes commis par le régime sioniste pourront être poursuivis, auprès des instances internationales", a souligné Baqer Hosseini.
Le Mossad impliqué dans l'arrestation d'un terroriste à Chypre
15.07.2012
Citation :
Les medias chypriotes ont indiqué que des agents du Mossad ont été impliqués dans l'arrestation ou l'interrogatoire d'un homme libanais arrêté pour suspicion d'avoir planifié des attaques terroristes contre des israéliens.
Il a en outre été indiqué que le suspect avait utilisé un passeport suédois, contrairement aux rapports précédents qui indiquaient qu'il était titulaire d'un passeport saoudien. Selon les sites d'information chypriotes, les autorités israéliennes et locales cherchent à savoir si le suspect a des liens à l'intérieur et à l'extérieur de Chypre.
Un site d'information a indiqué que le suspect est membre du Hezbollah alors que la radio CyBC a rapporté que des documents et des photographies ont été trouvés en sa possession détaillant des mouvements d'israéliens sur l'île.
Un porte-parole de la police a annoncé samedi que les autorités chypriotes ont arrêté un homme suspecté de préparer des attaques terroristes. Un rapport de la radio locale a déclaré que le suspect prévoyait de frapper des cibles israéliennes.
Le porte-parole a refusé de divulguer l'identité du suspect, son implication dans le complot et les cibles prévues.
"C'est une question sécuritaire que nous prenons très au sérieux et nous ne pouvons pas commenter davantage," a indiqué le porte-parole à l'AFP.
Le suspect a vu sa garde à vue prolongée de sept jours.
Selon Sigmalive, l'homme est arrivé sur l'île pour planifier et orchestrer l'explosion d'un avion ou d'un bus. Le quotidien local Phileleftheros a déclaré que des notes avec des détails sur des avions israéliens avaient été retrouvées en sa possession.
La radio d'état a déclaré que le suspect séjournait dans la station côtière de Limassol dans le sud et avait pris des photographies d'intérêts israéliens.
Selon un autre rapport, la police de Limassol a reçu une alerte d'une agence de renseignement étrangère et a arrêté le suspect dans sa chambre d'hôtel où ont été retrouvés des documents de voyage du Liban et d'Arabie Saoudite.