Le dernier F-16 italien remplacé par un Eurofighter
> Brève publiée il y a 6 heures | Helen Chachaty
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C’est à présent chose faite : Le dernier F-16 de la flotte italienne a été remplacé par un Eurofighter Typhoon, à présent seul chasseur assurant la défense de l’espace aérien ...
L'Iran a évalué les possibilités pour la défense nationale à l'aide du F-16 livré par le Vénézuela
26 juin 2012
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LONDRES, 26 Juin. (ARMS-TASS). L'Iran pour évaluer la possibilité d'un système national de défense aérienne défense aérienne avec le F-16, au préalable, obtenu en provenance du Venezuela. Selon l'hebdomadaire "Weekly Jane de la Défense", la Force aérienne de l'Iran en 2006 étaient en provenance du Venezuela, Amérique du chasseur F-16 "Fighting Falcon" d'étudier les possibilités de l'impact potentiel de l'Israël de l'aviation ou les États-Unis. Un chasseur F-16 dans la vue éclatée en 2006 a été livré à l'Iran la base aérienne de Mehrabad à bord de l'avion "Boeing 707".
Actuellement, l'intérêt de l'air iranienne force dans la préparation de ce combattant pour la poursuite de son utilisation pour l'étalonnage des systèmes de défense radar et de l'air. Toutefois, les experts occidentaux sont sceptiques quant à l'idée. Il est à noter en particulier que sont disponibles dans l'avion de combat Armée de l'Air du Venezuela F-16A / B sont trop vieux et leur niveau technique ne correspond pas aux combattants, "Fighting Falcon" à partir des compositions de l'Armée de l'Air israélienne et les États-Unis.
En outre, dans le cas d'hostilités entre l'Iran, d'une part et Israël et les Etats-Unis, d'autre part, dans les tenues les derniers combats fonctionnera divers types d'aéronefs, y compris les dernières versions de F-15I, F-15E et F/A- 18E / F.
Sans accès à l'information sur les dernières versions d'avions de combat de l'Ouest de la Force aérienne de l'Iran ne peut pas compter sur la protection de la sa flotte et l'infrastructure au sol, les notes dans les journaux.
Les ingénieurs iraniens, aidés par les experts russes et chinois, ont décortiqué le F-16 et en ont tiré toutes les conclusions utiles et nécessaires pour neutraliser facilement cet avion en cas de conflit armé. Ils ont même anticipé sur les différentes versions du F-16 en faisant de simples projections technologiques.
Pour cette raison, les experts américains et israéliens évoquent le F-15 et n'utilisent jamais le F-16 dans des missions de reconnaissance ou d'espionnage au dessus de l'Iran
Cet article lève le voile sur ces questions. Tout devient clair à présent.
Lors de l’opération Harmattan, en Libye, les kits AASM (Armement Air Sol Modulaire) ont fait merveille. En effet, 225 bombes guidées par ce système de guidage ont été larguées par les avions français.
L’AASM, constitué par un kit de guidage et d’un autre d’augmentation de portée, permet de transformer des bombes classiques (125, 250, 500 et 1000 kg) en munition de précision qui peuvent être tirées à distance de sécurité.
Trois versions de l’ASSM existent actuellement : INS/GPS, INS/GPS/Infrarouge (qui permet de frapper une cible malgré d’éventuelles erreurs de coordonnées en effectuant un recalage avant impact) et INS/GPS/Laser (pour les cibles à forte mobilité).
Programmé sur coordonnées, re-programmable en vol, l’AASM offre la possibilité au Rafale à « traiter » jusqu’à 6 cibles différentes. Et, pour le moment, seuls deux pays ont commandé ce système, à savoir la France et le Maroc. Car, et c’est un frein à son exportation, il ne peut qu’être monté sur les avions conçus par Dassault Aviation…
Aussi, d’après le quotidien économique Les Echos, qui s’appuie sur des « sources concordantes », Sagem envisage d’élargir la base de clients potentiels pour l’AASM, commercialisé à l’export par MBDA sous le nom de « Hammer », en l’installant sur d’autres avions que le Rafale, comme par exemple le F-16 de Lockheed-Martin, dont 4.500 exemplaires ont été vendus dans le monde.
Plusieurs pays seraient intéressés, dont la Jordanie et le Danemark, dont les forces aériennes sont équipées de F-16, mais aussi l’Arabie Saoudite pour ses Eurofighter et ses Tornado ou encore la Malaisie, qui compte acquérir 18 nouveaux avions de combat.
Chez Dassault, l’on ne voit pas cette perspective d’un très bon oeil dans la mesure où cela serait de nature à nuire à l’exportation du Rafale. Mais avant toute chose, l’industriel doit obtenir l’autorisation de l’Etat pour équiper d’autres avions susceptibles de concurrencer les appareils français par l’AASM.
La Direction générale de l’armement (DGA), écrit Les Echos, « semble être revenue à un certain pragmatisme, d’autant que Dassault ne bénéficiera plus avec le gouvernement actuel de la même écoute qu’avec le précédent. »
L’armée française a payé ses AASM 350.000 euros l’unité, coût de développement inclu. Le prix export de ce système devrait être de l’ordre de 250.000 euros pièce.
Le Pentagone vient d’annoncer officiellement que la nouvelle force aérienne irakienne allait recevoir un lot de 18 chasseurs Lockheed-Martin F-16. Celui ci se décompose en douze F-16C monoplaces et six F-16D biplaces, ces derniers étant aptes à la transformation opérationnelle des futurs pilotes.
Tous seront livrés au standard « Block 60″, c’est à dire le plus évolué actuellement disponible à l’export. Il s’agit là en fait d’un contrat initié en 2010 et qui attendait l’aval politique du Congrès américain.
Le coût global de cette commande avoisine les 4,2 milliards de dollars US, dont une partie sera fournie via un plan mutualisé d’assistance militaire, permettant à l’Amérique de se renforcer dans cette partie du Moyen-Orient.
Si du temps de la dictature baasiste l’Irak s’équipait majoritairement en aéronefs auprès des Soviétiques et des Français, il en est actuellement tout autrement. En effet ce pays utilise désormais majoritairement des appareils en provenance des USA comme le Beechcraft T-6A Texan II, le Cessna 208 Caravan, le Lockheed C-130E Hercules, ou encore le drone RQ-11 Raven.
La Roumanie compte acheter des F-16 d’occasion au Portugal
1 septembre 2012 – 12:09
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En 2010, le gouvernement roumain a fait part de son intention de remplacer les 48 MiG-21 en service au sein de ses forces aériennes, qui, bien que rénovés en 1993 par la société israélienne Elbit System pour les mettre en conformité avec les standards de l’Otan, sont à présent dépassés et à bout de souffle.
Ce marché potentiel avait éveillé l’intérêt du constructeur suédois Saab, qui voyait là l’opportunité de placer 24 exemplaires neufs de son avion Gripen au prix de l’occasion et dans des conditions de financement très avantageuses, ainsi que celui du groupe européen EADS, membre du consortium Eurofighter, qui venait d’investir 45 millions d’euros en Roumanie pour ouvrir une usine de pièces destinées à l’aéronautique.
Seulement, les propositions des constructeurs européens laissèrent Bucarest de marbre, étant donné que l’idée était d’acquérir des avions F-16 de facture américaine. En effet, Washington était alors prêt à prélever 24 appareils sur la flotte de l’US Air Force pour les céder aux forces aériennes roumaines pour 1,3 milliard de dollars, la la formation des pilotes et une assistance technique pendant 5 ans étant comprises dans le prix.
Cependant, en septembre 2011, et au vu des difficultés économiques du pays, le président Traian Basescu a fait savoir que Bucarest n’avait “pas d’argent” et qu’il était pas conséquent impossible de “s’engager sur un tel contrat sans un mécanisme de financement à long terme”.
Pour autant, le gouvernement roumain n’a pas abandonné l’idée d’acquérir des F-16. Une des pistes suivies au début de cette année, puis finalement abandonnée, aurait été de reprendre des appareils ayant été mis en oeuvre par les forces aériennes néerlandaises, aux prises avec des réductions budgétaires.
Du coup, c’est vers le Portugal que Bucarest s’est tourné. Récemment, le ministère roumain de la Défense y a envoyé une délégation, qui, assistée par des experts américains, a conclu que l’état des appareils susceptibles d’être vendus va “au-delà des attentes”.
Pour le ministre roumain de la Défense, Corneliu Dobritoiu, il s’agit de la “dernière cartouche” pour Bucarest. Faute de quoi, le pays n’aura plus d’aviation de chasse d’ici 9 ans car les MiG-21 seront cloués au sol, après plus de 40 ans de service.
Cela étant, le nombre d’avions F-16 éventuellement prélevés sur la flotte portugaise (qui en compte une quarantaine d’exemplaires) ni le prix qui en serait demandé n’ont été encore précisés.