Il est concurrent du projet Transgreen, appuyé par la France
Projet Desertec : Bouteflika dit oui aux Allemands
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08/12/2010 - En visite officielle en Allemagne, le président Abdelaziz Bouteflika a déclaré, mercredi 8 décembre, qu’il souhaitait coopérer avec l’Allemagne sur le projet Desertec. M. Bouteflika s’exprimait au cours d’une conférence de presse à Berlin.
« Nous travaillerons dans les énergies nouvelles à travers un projet colossal qui s'appelle projet Desertec que nous allons approfondir d'un commun accord », a déclaré M. Bouteflika. Pour sa part, la Chancelière allemande Angela Merkel a expliqué, lors de la même conférence, qu’elle souhaitait voir le projet Desertec, soutenu par son pays, devenir une réalité. Mme Merkel et M Bouteflika devaient évoquer plus à fond ce dossier lors d'un déjeuner de travail à la chancellerie en compagnie de représentants des compagnies participant au projet.
Le projet Desertec, lancé en 2009 et soutenu principalement par l’Allemagne et l’Espagne, vise à produire à grande échelle de l'électricité solaire dans le désert nord-africain via la construction d'un grand nombre de centrales solaires thermiques reliées entre elles et à l'Europe. Il est en concurrence avec Transgreen. Appuyé par la France, Transgreen, appelé également Plan solaire méditerranée, est présenté comme « un projet-phare » de l’Union pour la Médieterranée (UPM). Son objectif : collecter des fonds pour construire un réseau sous-marin de transport d'électricité solaire entre l'Afrique et l'Europe.
Cette prise de position du président de la République constitue une petite surprise. Jusqu’à présent, en effet, les responsables algériens qui se sont exprimés sur ce dossier ont évoqué des réserves sur les deux projets, allemand et français.
Dimanche dernier, le PDG de Sonelgaz, principale entreprise algérienne concernée par le projet, a réitéré ses réserves sur le dossier. « Nous divergeons sur les formes. Nous voulons être acteur dans ce projet Desertec. Il y a une différence d’appréciation. Nous sommes favorables à la création d’un marché du renouvelable en Afrique du Nord mais avec un développement technologique et industriel en Afrique du Nord », a déclaré Nourredine Bouterfa sur les ondes de la Chaîne III de la radio nationale.
M. Bouterfa a développé la même position concernant Transgreen. « Nous ne sommes pas contre les initiatives qui développent l’énergie solaire, mais, nous disons que cela doit se faire en respectant les différentes opinions et les politiques de développement des uns et des autres », a soutenu le PDG de Sonelgaz. Il a rappelé que plusieurs institutions financières, dont la Banque mondiale, travaillent pour mobiliser les fonds en vue de développer et diffuser la technologie solaire afin de réduire les coûts dans les dix années à venir.
merci les amis, le Maroc a tout fait pour implanter ce projet sur son territoire :
Nareva rejoint l'initiative Desertec
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22/04/2010 à 16h:51 Par Christelle Marot - Bien décidé à prendre le train des énergies renouvelables, le Maroc vient d’adhérer, via Nareva – branche spécialisée dans l’environnement et l’énergie du holding royal ONA –, à l’initiative industrielle privée régionale Desertec. Nareva rejoint ainsi les allemands Siemens, Solar Millennium, Munich Re, RWE et Schott Solar, les espagnols Abengoa et Red Eléctrica, le suisse ABB, l’italien Enel Green Power, le français Saint-Gobain Solar ou encore l’américain First Solar. Au total, 16 entreprises sont impliquées.
Créé en 2009, Desertec vise à exploiter les potentiels énergétiques des déserts du Moyen-Orient et d’Afrique du Nord, grâce à un vaste réseau de centrales solaires à concentration et de parcs éoliens. Objectif : assurer, d’ici à 2050, 15â % des besoins en énergie du Vieux Continent et une part de ceux des pays producteurs. Le projet est estimé à 400 milliards d’euros.
Paul Van Son, responsable de la société allemande DII, pilote du projet, souhaite arrêter d’ici à 2012 la répartition entre solaire et éolien, l’emplacement des installations et le financement. L’objectif est aussi d’avoir mis en route au moins un projet pilote pour prouver la faisabilité de l’initiative. Les discussions sont en cours pour implanter ce projet au Maroc.
Le RCD accuse le gouvernement d'avoir fait le mauvais choix
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Sonia lyes - 11/12/2010 - En s’engageant à côté de l’Allemagne dans le gigantesque projet Desertec estimé à quelque 400 milliards d’euros au détriment du projet concurrent de la France, l’Algérie n’a-t-elle pas compromis ses positions dans un domaine qui détermine dans une large mesure sa sécurité énergétique dans le futur ? Le RCD est formel : « plus qu’une erreur, la sortie du Chef de l’Etat à Berlin est une faute politique. Elle ne fragilise pas seulement les acteurs économiques de notre pays dans des négociations capitales, elle hypothèque ses positions dans un domaine qui conditionne le destin des générations futures », écrit-il dans un communiqué rendu public ce samedi 11 décembre au lendemain de l’engagement de Bouteflika.
Mercredi à Berlin, le président algérien avait rassuré son homologue Angela Merkel : «Nous travaillerons dans les énergies nouvelles à travers un projet colossal (...) que nous allons approfondir d'un commun accord ». Pourtant quelques jours plutôt le PDG de Sonelgaz, dont la compagnie est appelée à participer au projet en compagnie de Sonatrach et du groupe Cevital, n’avait pas dissimulé ses réserves. « Nous n’excluons rien pour l’instant. Mais, nous voulons d’abord que le cadre et la vision stratégique en matière d'énergies renouvelables soient bien implantés en Algérie pour que nous puissions nous déterminer par rapport à ces initiatives », avait déclaré, à la radio nationale, Nouredine Bouterfa.
Bien avant lui, c’est l’ancien ministre de l’énergie, Chakib Khellil qui avait rejeté d’un revers de main l’idée du projet au motif d’atteinte à la souveraineté nationale. En plus du revirement, c’est le projet Transgreen, inscrit dans le cadre du plan solaire méditerranéen, projet de l’UPM qui se trouve du coup disqualifié. Qu’est ce qui a bien pu conduire le président Bouteflika à changer d’avis en si peu de temps ? Pour le RCD, les explications sont d’ordre politique. « En s’exposant en première ligne, le chef de l’Etat laisse deviner une volonté de surpolitiser la position de notre pays ; ce qui n’est bon ni pour la crédibilité des entreprises nationales appelées à s’impliquer dans le montage de ce méga chantier ni rassurant pour des partenaires étrangers, soucieux de pouvoir gérer dans la transparence et avec des vis-à-vis prévisibles leur participation à travers, notamment, leur apport technologique et financier », note t-il.
Selon lui, «en prenant part à ce niveau et dans un contexte aussi polémique en faveur de Desertec, le pouvoir algérien se démarque implicitement de son pendant français, le Plan Solaire Méditerranéen (PSM) signifiant par là même que le récent réchauffement observé entre Paris et Alger n’était qu’une pause. Ce faisant, il délivre un message politique en vue de s’inviter dans des oppositions franco-allemandes devant lesquelles nous devons garder nos distances quand bien même ces dernières pourraient avoir un fond de réalité dans une conjoncture marquée par une crise systémique qui n’a pas fini de dévoiler toutes ses implications ».
En plus de vouloir jouer des influences, l’Algérie semble chercher quelques dividendes en perspective de rendez-vous électoraux, suggère le RCD. « Les brouilles entre la France et l’Algérie sont rythmées par des agendas politiques où la donne électorale dans les deux pays est souvent déterminante. Instrumentaliser de façon aussi opportuniste notre destin énergétique avec ce que cela suppose comme conséquences politiques, économiques et sécuritaires est pour le moins irresponsable », note-t-il. Et pour lui, cette manœuvre est vouée à l’échec. «Croire que la voix de l’Algérie, de plus en plus inaudible, serait de nature à peser sur les relations franco-allemandes participerait au mieux d’une naïveté narcissique, au pire d’une incorrigible immaturité diplomatique qui substitue la ruse au talent (…)".
De plus, le projet Desertec, soutient-il encore, est d’une telle importance qu'il aurait supposé « débat » et « concertation ». Mais mieux encore, il suffisait de faire confiance aux organismes impliqués pour mener les négociations. « Il suffisait de laisser intervenir Sonatrach et Sonelgaz, à l’instar du groupe Cevital, déjà associés au projet Desertec, pour négocier au mieux des intérêts algériens ».
Sujet: Re: Projet Desertec Sam 11 Déc 2010 - 20:01
A titre de rappel, le Maroc a déployé et déploie toujours des efforts colossaux, notamment en mobilisant le lobbyisme, dans l'espoir d'implanter le projet "Desertec" sur son territoire. Ce projet, dont la valeur estimative dépasse les 400 milliards d'euros, est le concurrent direct du projet français "Transgreen" qui s'étend sur tout l'espace méditerranéen. Compte tenu de l'aisance financière de son économie qui a su amortir la crise financière et économique mondiale, l'Allemagne est, à mon avis, un partenaire de choix capable de mener à bon terme et dans les délais l'ambitieux projet Desertec dont les effets directs et indirects sur l'emploi permanent ne sont pas du tout négligeables.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:31
Le RCD accuse le gouvernement d'avoir fait le mauvais choix
Citation :
sonia lyes - 12/12/2010 - En s’engageant à côté de l’Allemagne dans le gigantesque projet Desertec estimé à quelque 400 milliards d’euros au détriment du projet concurrent de la France, l’Algérie n’a-t-elle pas compromis ses positions dans un domaine qui détermine dans une large mesure sa sécurité énergétique dans le futur ? Le RCD est formel : « plus qu’une erreur, la sortie du Chef de l’Etat à Berlin est une faute politique. Elle ne fragilise pas seulement les acteurs économiques de notre pays dans des négociations capitales, elle hypothèque ses positions dans un domaine qui conditionne le destin des générations futures », écrit-il dans un communiqué rendu public ce samedi 11 décembre au lendemain de l’engagement de Bouteflika.
Mercredi à Berlin, le président algérien avait rassuré son homologue Angela Merkel : «Nous travaillerons dans les énergies nouvelles à travers un projet colossal (...) que nous allons approfondir d'un commun accord ». Pourtant quelques jours plutôt le PDG de Sonelgaz, dont la compagnie est appelée à participer au projet en compagnie de Sonatrach et du groupe Cevital, n’avait pas dissimulé ses réserves. « Nous n’excluons rien pour l’instant. Mais, nous voulons d’abord que le cadre et la vision stratégique en matière d'énergies renouvelables soient bien implantés en Algérie pour que nous puissions nous déterminer par rapport à ces initiatives », avait déclaré, à la radio nationale, Nouredine Bouterfa.
Bien avant lui, c’est l’ancien ministre de l’énergie, Chakib Khellil qui avait rejeté d’un revers de main l’idée du projet au motif d’atteinte à la souveraineté nationale. En plus du revirement, c’est le projet Transgreen, inscrit dans le cadre du plan solaire méditerranéen, projet de l’UPM qui se trouve du coup disqualifié. Qu’est ce qui a bien pu conduire le président Bouteflika à changer d’avis en si peu de temps ? Pour le RCD, les explications sont d’ordre politique. « En s’exposant en première ligne, le chef de l’Etat laisse deviner une volonté de surpolitiser la position de notre pays ; ce qui n’est bon ni pour la crédibilité des entreprises nationales appelées à s’impliquer dans le montage de ce méga chantier ni rassurant pour des partenaires étrangers, soucieux de pouvoir gérer dans la transparence et avec des vis-à-vis prévisibles leur participation à travers, notamment, leur apport technologique et financier », note t-il.
Selon lui, «en prenant part à ce niveau et dans un contexte aussi polémique en faveur de Desertec, le pouvoir algérien se démarque implicitement de son pendant français, le Plan Solaire Méditerranéen (PSM) signifiant par là même que le récent réchauffement observé entre Paris et Alger n’était qu’une pause. Ce faisant, il délivre un message politique en vue de s’inviter dans des oppositions franco-allemandes devant lesquelles nous devons garder nos distances quand bien même ces dernières pourraient avoir un fond de réalité dans une conjoncture marquée par une crise systémique qui n’a pas fini de dévoiler toutes ses implications ».
En plus de vouloir jouer des influences, l’Algérie semble chercher quelques dividendes en perspective de rendez-vous électoraux, suggère le RCD. « Les brouilles entre la France et l’Algérie sont rythmées par des agendas politiques où la donne électorale dans les deux pays est souvent déterminante. Instrumentaliser de façon aussi opportuniste notre destin énergétique avec ce que cela suppose comme conséquences politiques, économiques et sécuritaires est pour le moins irresponsable », note-t-il. Et pour lui, cette manœuvre est vouée à l’échec. «Croire que la voix de l’Algérie, de plus en plus inaudible, serait de nature à peser sur les relations franco-allemandes participerait au mieux d’une naïveté narcissique, au pire d’une incorrigible immaturité diplomatique qui substitue la ruse au talent (…)".
De plus, le projet Desertec, soutient-il encore, est d’une telle importance qu'il aurait supposé « débat » et « concertation ». Mais mieux encore, il suffisait de faire confiance aux organismes impliqués pour mener les négociations. « Il suffisait de laisser intervenir Sonatrach et Sonelgaz, à l’instar du groupe Cevital, déjà associés au projet Desertec, pour négocier au mieux des intérêts algériens ».
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:31
A titre de rappel, le Maroc a déployé et déploie toujours des efforts colossaux, notamment en mobilisant le lobbyisme, dans l'espoir d'implanter le projet "Desertec" sur son territoire. Ce projet, dont la valeur estimative dépasse les 400 milliards d'euros, est le concurrent direct du projet français "Transgreen" qui s'étend sur tout l'espace méditerranéen. Compte tenu de l'aisance financière de son économie qui a su amortir la crise financière et économique mondiale, l'Allemagne est, à mon avis, un partenaire de choix capable de mener à bon terme et dans les délais l'ambitieux projet Desertec dont les effets directs et indirects sur l'emploi permanent ne sont pas du tout négligeables
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:32
J'ai envi de dire M... à tous ces opposants au projet Desertec. Le président je ne l'ai jamais pifré, mais pour une fois je salue son engagement dans ce projet. UN: Le solaire est l'énergie du futur sans aucun doute, le soleil brillera encore pendant 5 milliards d'années...on a le temps de crever 50 millions de fois: Deux: le photovoltaique est plus que maitrisé et est à la portée des Algériens à grande échelle (L'usine de rouiba va vous démontrer que l'on peut fabriquer ces cellules en grand nombre. 100 MW par an dans peu de temps).Trois: pour construire une centrale électrique solaire il faut peut de choses (batteries, onduleurs, armoires électriques, groupes diesel pour éventuelle hybridation..pour l'essentiel) ce qui est à portée des Algériens: Quatre: Notre désert offre plus ce qu'il n'en faut pour installer ces centrales: Cinq: L'ensoleillement du pays est presque le meilleur du monde, il est démontré que cette capacité peut couvrir 3 fois les besoins de l’Europe. Six: Il y aura je ne sais plus combien d'Algériens (des milliers surement)qui vont trouver du boulot:Et enfin Sept: On va pouvoir se passer des hydrocarbures et même vendre à l'étranger: ...dernier point: L'Allemagne est le pays le plus sérieux d'Europe.Que vous faut il de plus
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:33
Pour un "parti politique" minoritaire, exiger un débat sur un projet d'envergure internationale tel que Desertec, c'est ce qu'il y a de plus normal. Mais de là à dire que: "En s’engageant à côté de l’Allemagne au détriment du projet concurrent de la France..." ça devient suspect. Car il est clair qu'il est beaucoup plus reproché à Boutef le choix de l'Allemagne au détriment de la France que de l'intérêt de l'Algérie. A moins que François Léotard que S.Sadi aime dire que: "c'est mon ami" y est pour quelque chose. Il aurait été plus sage voire plus sensé de nous éclairer sur les performances de l'Allemagne, de la France ainsi que d'autres pays développés dans le domaine et de nous laisser faire la part des choses. En usant et abusant de la langue de bois, le RCD ressemble de plus en plus aux autres partis. C'est dommage pour ses militants qui à l'instar de ceux des autres partis, n'ont pas les dirigeants qu'ils méritent.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:50
Merci pour ta question yacine75, je te salue et m'empresse de te répondre: L'Allemagne est le leader incontesté dans le domaine du solaire. Les pays scandinaves (suéde, danemark surtout) sont les plus avancés dans le renouvelable (combustion de la biomasse en générale) et le brésil dans les centrales à bois. Donc l'Algérie a fait pour une fois le bon choix de mettre de côté le Transgreen à la noix de l'UPM et s'allier aux allemands dans ce projet grandiose tout à fait réalisable.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:51
.On se souvient des cris d'orfraie suscités par l'apathie de nos autorités face à ce projet du millénaire porté par l'Allemagne...Notre participation à présent acquise, d'autres voix qui s'élèvent maintenant disant que nous faisons fausse route en emboîtant le pas aux Allemands dans cette aventure prometteuse...Si j'ai bien compris l'esprit de cet article, il s'agit impérieusement de ne pas déplaire à l'ancienne puissance coloniale au motif que nos relations en pâtiraient...Je ne partage pas du tout cette approche politique qui nous condamne à n'être que la chasse gardée de l'ancienne puissance coloniale dont il faut indéfiniment renouveler le bail...L'Algérie comme CEVITAL ont fait le bon choix.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:52
Et comme mon ami, de mémoire de forum, nous n'avons jamais été aussi proche toi et moi...Nous avons pour une fois fait abstraction de nos " référents existentiels " pour défendre notre commun intérêt...Je crois que tu en sais plus d'un chapitre sur l'aspect technologique, logistique et humain, mais je pressents qu'il faut prendre part à cette " épopée du millénaire " pour toutes les raisons que tu as citées, au premières desquelles la réduction de notre dépendance aux hydrocarbures...Ce qui a forcément le don...d'irriter. Amicalement.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:53
Tout le monde sait que le RCD, est le bébé de la sécurité militaire, d’ailleurs ces derniers possèdent tous des villas huppé sur la Côte d’Azur, et j’en connais personnellement. Comment peut on êtres contre ce projet, alors que la France n’as jamais appuyé une de nos revendications, l’adhésion a l’OMC par exemple, même si nos reins sont pas solide pour faire concurrence au grandes puissances. La dernière en date, la réduction de notre quota de pêche “thons“ a cause d’un simple visa, que la le consulat de France a Alger, n’as pas délivrer a tant. God save Algerman and German.
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:57
Merci d'enfoncer le clou, en ramenant à sa juste mesure le niveau de nos relations avec la France, qui ne vaut guère plus qu'une centaine de tonnes de thons rouges...Il faut dire que du côté de l'Elysée on ne fait rien qui invite à la détente...Je suis surpris par la sortie de Saïd Saâdi...
Sujet: Re: Projet Desertec Dim 12 Déc 2010 - 14:58
ça restera toujours une belle histoire et heureusement d'ailleurs. Tes convictions et les miennes ne sont pas si éloignées que ça même si l'on remonte toute l'histoire de l'humanité et même de notre satané univers. Mais sur celui là, on tient tous les deux le même bout...laissons les autres tirer de l'autre côté ils finiront par laisser leurs bras...n'est ce pas?