Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Jeu 18 Oct 2012 - 21:14
La Suède propose officiellement de vendre 8 JAS-39 Gripen à la Croatie
18 octobre 2012 – 18:31
Citation :
Les forces aériennes croates ont un format très modeste. Lors de leur création, en décembre 1991, elles ont hérité d’avions datant, pour la plupart, de la période soviétique, dont une douzaine de MiG-21. Ces appareils servent encore à assurer des missions de police du ciel. Pour combien de temps encore?
En 2007,un appel d’offres a été lancé afin d’acquérir 12 chasseurs polyvalents. Deux avions ont alors fait figure de favoris, à savoir le JAS 39 Gripen du suédois Saab et le F-16 Block 52 de Lockheed-Martin.
Seulement, le remplacement de ces avions hors d’âge a été une nouvelle fois été différé, la crise économique étant passée par là. Seulement, il arrive un moment où il sera compliqué à Zagreb de tergiverser plus longtemps sans risquer une rupture capacitaire.
Si le dossier reste en l’état, en effet, il n’est pas impossible que la Croatie soit obligée de faire appel à l’Otan pour assurer la protection de son espace aérien, à l’instar de l’Islande et des Pays baltes.
En 2011, et afin d’apporter une solution provisoire, Berlin a proposé à Zagreb un lot de 20 F-4 Phantom, prélevé sur les stock de la Luftwaffe. Manifestement, cette offre a fait long feu.
La situation croate fait penser à celle de la Roumanie. Les deux pays, également dotés de MiG-21, ont le même problème. Et Saab a tenté de leur fournir des JAS-39. Et avec des conditions très avantageuses pour Bucarest, qui les a refusées, préférant encore des F-16 d’occasion.
Est-ce pour éviter que Zagreb en fasse de même? Toujours est-il que l’Agence suédoise pour l’exportation de matériels militaires (la FXM) a officiellement proposé à la Croatie de lui vendre 8 Gripen C/D pour un montant qui n’a pas été précisé, mais qui comprend égakement un support technique, la formation des pilotes et des techniciens, le tout avec des facilités de paiement. Les appareils auraient en outre l’avantage d’être disponibles un an après la signature du contrat.
Le Gripen “dispose d’excellentes capacités pour protéger l’espace aérien d’un pays et participer à des missions internationales. Il répond aux exigences d’interopérabilité de l’Otan. Il est l’un des avions de combat les plus en pointe dans le monde tout en étant robuste et efficace avec des coûts de cycle de vie faible,” a plaidé Peter Göthe, le directeur général adjoint de la FXM.
Reste à voir maintenant ce que feront les autorités croates. Le remplacement des MiG-21 est d’autant plus urgent que l’un d’eux a été a été perdu en juin dernier, lors d’un vol de routine.
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Lun 19 Nov 2012 - 6:49
La Suisse sera remboursée si le Gripen n'est pas livré à temps
(AWP / 19.11.2012 06h23)
Citation :
Berne (awp/ats) - Saab s'engage à livrer le Gripen dans les délais convenus avec Berne. Si son engagement n'était malgré tout pas respecté, la Suisse serait remboursée, assure dimanche le directeur du constructeur suédois Marcus Wallenberg.
Le remboursement est prévu dans le contrat entre la Suisse et la Suède, affirme M. Wallenberg dans une interview parue dans le "Zentralschweiz am Sonntag". Il répond ainsi aux critiques estimant que la Suisse prend un risque financier avec le Gripen, les premiers payements étant prévus en 2014 déjà.
Dans une réponse aux chefs de partis, le Conseil fédéral avait indiqué mercredi dernier que des négociations avec la Suède seraient nécessaires pour fixer des dédommagements si les prestations et les délais n'étaient pas respectés.
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Ven 14 Déc 2012 - 21:42
Le Parlement suédois confirme l’avion de combat Gripen E/F
14 décembre 2012 – 17:05
Citation :
Les députés suédois ont approuvé, le 11 décembre, avec 264 voix contre 19, l’acquisition de 40 à 60 avions de combat JAS-39 Gripen E/F du constructeur Saab. Toutefois, cette décision est soumise à des conditions.
En effet, le Parlement devra être informé, chaque année, des évolutions du programme, lequel pourrait être susceptible d’être finalement annulé si au moins une vingtaine d’exemplaires de ce nouvel appareil – basé sur le Gripen C/D – ne trouvent pas preneur à l’exportation.
Cependant, le nombre d’appareils commandés sera insuffisant pour permettre aux forces aériennes suédoises d’accomplir l’ensemble de ses missions. En juillet dernier, le chef d’état-major des armées, le général Sverker Göranson avait estimé que l’idéal était de 80 Gripen E/F, le nombre de 60 étant un minimum.
Par ailleurs, le projet du Gripen E/F ne fait pas forcément l’unanimité en Suède. Certains jugent son coût – évalué au minimum à 9 milliards de couronnes (10,39 milliards d’euros) sur 30 ans – trop élevé et craignent que son financement se fasse au détriment d’autres programmes d’équipement. Et encore, il n’est pas dit que la facture ne sera pas plus lourde.
En outre, le dernier rapport du Rikrevisionen, l’équivalent suédois de la Cour des comptes, a été plutôt sévère à l’égard de la politique menée en matière de défense par Stockholm.
“Le gouvernement et les forces armées ont affirmé que les principales unités d’intervention rapide des trois branches principales peuvent être prêtes au combat en quelques jours. Cette étude montre que ce n’est pas le cas” a estimé le Rikrevisionen.
Conséquences : 40% des navires de la marine suédoise sont contraints de rester à quai et 50% des JAS Gripen C/D sont cloués au sol, à cause d’un manque de financements et de personnels qualifiés.
Pourtant, le budget suédois de la défense devrait légèrement augmenter de quelques dizaines de millons d’euros pour l’exercice 2013 et atteindre ainsi les 6 milliards. Mais les 2/3 de cette hausse serviront à financer le programme Gripen E/F.
Quant à l’exportation, le résultat de l’appel d’offres brésilien, qui concerne l’avion suédois mais aussi le Rafale et le F/A-18 Super Hornet, n’est pas près d’être connu, Brasilia ne cessant pas de reporter sa décision depuis plus de 3 ans. La Suisse reste la piste la plus sérieuse, même si le contrat envisagé par Berne et portant sur 22 appareils doit encore passer l’écueil du Parlement et d’un référendum facultatif.
Pour achever de convaincre les autorités suisses, Stockhom a consenti des conditions très avantageuses. Ainsi, les Gripen E/F destinés à l’aviation de la Confédération coûteront 15 à 30% moins chers que ceux qui équiperont les forces suédoises et leur prix unitaire serait de 82,9 millions d’euros. Qui plus est, en cas de retard dans les livraisons des appareils, Berne serait remboursé, comme l’a récemment fait savoir Marcus Wallenberg, le directeur de Saab
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Lun 31 Déc 2012 - 7:05
[Export] Le Gripen a le vent en poupe
Publié par Arnaud Lambert // 30 décembre 2012
Citation :
Seul véritable chasseur de nouvelle génération à relativement s’exporter le Gripen suédois semble désormais passer une vitesse supérieure dans ses ventes ou ses intentions de ventes à l’étranger. Seul monoréacteur face aux biréacteurs EF2000 et Rafale, le Gripen intéresse notamment des pays dont les dimensions territoriales n’imposent pas un rayon d’action énorme et/ou dont la vocation n’est pas à la projection de force. Les pattes plus courtes de l’avion scandinave sont donc devenu un argument de poids dans une guerre économique où le prix de vente est souvent un frein très fort. Dassault en a d’ailleurs fait les frais depuis quinze ans environ.
Premier client potentiel, et non des moindres, la Bulgarie. Cet ancien allié de l’URSS cherche à remplacer ses chasseurs MiG-29 Fulcrum et ses avions d’attaque Su-25 Frogfoot datant tous de la guerre froide et dont l’espérance de vie n’est pas énorme. En outre le Fulcrum est devenu un chasseur trop gourmand pour une économie bulgare toujours en crise. Mais là le Gripen aura fort à faire face au mastodonte américain, le F-16 Fighting Falcon dont Sofia voudrait acquérir plusieurs exemplaires d’occasion, notamment les fameux F-16A et B MLU belges, des avions largement modernisés et donc tout à fait à même de jouer la transition. Cependant les Bulgares ont annoncé s’intéresser de près à l’avion de SAAB.
Deuxième client potentiel, la Croatie. Cette ancienne province yougoslave, indépendante depuis vingt ans cherche non seulement à entrer dans l’UE mais aussi à rejoindre le concert des nations, et notamment au niveau militaire. Néanmoins ses vieux Fishbed risquent fort de la contraindre à réviser ses attentes. C’est pourquoi le forcing de SAAB pour vendre huit Gripen (six monoplaces C et deux biplaces D) semble très prometteur.
Pour le troisième il faut aller le chercher hors d’Europe, en Asie. En effet la Malaisie cherche à remplacer ses vieux Tiger II par des chasseurs plus modernes. Le chiffre de 18 Gripen, des modèles C et D, a été avancé, notamment par le constructeur. Il est question que ces appareils soient d’abord loués puis acquis dans un second temps.
Trois pays, trois besoins différents, mais à chaque fois la même réponse. Et si le Gripen était le succès commercial que SAAB attend depuis si longtemps et qui ferait un bien fou à une industrie aéronautique suédoise moribonde depuis plusieurs années. De quoi aussi remettre cet avionneur dans la catégorie des géants du domaine, aux côtés de Lockheed-Martin, BAe Systems, ou encore EADS.
Le malheur des uns pourrait-il faire le bonheur des autres ? S’agissant de la bataille acharnée qui oppose actuellement Suédois avec le Gripen et Français avec le Rafale, en vue d’obtenir un bien précieux contrat avec la Suisse, cela reste tout de même à voir.
Il n’en demeure pas moins qu’un comité libéral « Non au Gripen« vient de lancer un référendum contre l’achat des 22 avions de combat du suédois Saab. Composé de membres issus du PS, des Verts et du Groupe pour une Suisse sans armée (GssA), il compte rassembler 10’000 signatures sur les 50’000 paraphes nécessaires.
Ses arguments : selon lui, l’achat du Gripen représente un mauvais investissement, de plus il est inutile à la sécurité de la Suisse.
«Pourquoi est-ce qu’on achète le Gripen? A cause des retombées économiques pour l’industrie de l’armement. Donc, on achète un avion inutile et inutilisable à cause de ses basses performances pour aider une industrie en difficulté», a résumé le conseiller national Jacques Neirynck (PDC/VD), lors d’une conférence de presse à Berne le 6 novembre dernier.
En vue de s’opposer à cet achat, la droite s’est rassemblée quant à elle sous une même bannière, portée par les Vert’libéraux. «Il est important qu’il y ait d’autres arguments que ceux de la gauche, qui sont souvent contre l’armée», a souligné à cet égard Roland Fischer, conseiller national (PVL/LU). Or, ce comité interparti le clame haut et fort : ils ne sont ni « contre l’armée, ni contre l’industrie ». Mais contre le gaspillage …Pour eux, dépenser plus de trois milliards pour l’achat du Gripen représentent un mauvais investissement. Ils souhaitent que les investissements s’orientent au contraire vers des “domaines porteurs pour la Suisse” tels que la formation, les énergies renouvelables ou la recherche. Leur crainte : que les dépenses envisagées conduisent à “réaliser des économies dans d’autres domaines ». Rendant de ce fait encore plus “inutile” l’achat d’un avion de combat supplémentaire.
“Pourquoi acheter de nouveaux avions de combat alors que ceux-ci ne voleraient que les jours ouvrables et pendant les heures de bureaux”, s’interroge également Jacques Neirynck. Lequel considère que “faute de moyens et de personnel, la police du ciel est une illusion.”
Heiner Studer, ancien conseiller national du Parti évangéliste, ajoutant pour sa part que “des rapports de l’armée montrent que les actuels F/A-18 suffisent pour la police de l’air” précisant que le Conseil fédéral avait également confirmé l’information. Pour lui, il convient avant toute chose de mieux redéfinir les priorités et les dangers auxquels l’armée devrait pouvoir faire face.
Rappelons que fin septembre, les sénateurs helvétiques ont – au grand dam du constructeur du rafale – donner leur approbation à l’achat du Gripen, concurrent direct de l’appareil de Dassault. Le Conseil des Etats a ainsi accepté de libérer le crédit de 3,126 milliards de francs suisses (l’équivalent de 2,6 milliards d’euros) en vue d’acquérir 22 avions de combat Gripen au groupe suédois Saab. Lesquels sont destinés à remplacer les F-5 Tiger.
C’est au final, le prix qui aura permis de départager les différents concurrents, le Gripen s’avérant moins coûteux que le Typhoon, conçu par le consortium Eurofighter (BAE, Finmeccanica et EADS ), et le Rafale de Dassault Aviation.
Si l’achat lui-même ne pourra être remis en cause par un vote populaire, ayant été avalisé par le Parlement, le mécanisme de financement pourra néanmoins faire l’objet d’une contestation. Lequel se base sur un fonds alimenté par un prélèvement annuel de 300 millions de francs sur le budget de l’armée, et ce pendant une durée de dix ans.
Il n’en demeure pas moins que le Gripen avait obtenu de mauvaises notes lors de ses évaluations. Lesquelles auraient dû rester confidentielles …. mais ont été publiées par la presse, laquelle a parallèlement mis en doute le processus ayant abouti à la sélection de l’avion de Saab.
Un rapport d’une sous-commission parlementaire avait émis de sérieuses réserves au sujet du contrat Gripen, sans pour autant le remettre en cause. “Le choix de l’appareil opéré par le Conseil fédéral est celui qui comporte le plus de risques – de nature technique, commerciale, politique, financière ou en lien avec le respect du calendrier”, avait-il souligné.
Mais Saab – qui a impérativement besoin du contrat suisse pour continuer le développement de son Gripen – a su faire les concessions qu’il fallait, notamment en matière industrielle, en vue de gagner la bataille …. mais peut-être pas la guerre.
Réservons le mot de la fin à Eric Trappier, le patron de Dassault Aviation, lequel avait déclaré lors d’une audition devant les députés de la commission de la Défense que les Suisses en achetant le Gripen « admettent eux-mêmes qu’ils se déclassent en division d’honneur. Leur choix stratégique est de faire semblant d’avoir une aviation de combat tout en achetant le modèle le moins cher ». Ajoutant : « tant que l’on ne fait pas la guerre, ce n’est pas très grave”.
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Mar 11 Mar 2014 - 16:30
Saab veut rendre le Gripen plus furtif
Le 10/03/2014 à 17:40 | Par Guillaume Steuer
Le Gripen E sera plus furtif que l'actuel JAS39 C/D
Lire la suite :
Citation :
On savait qu'il devait emporter plus de carburant, plus d'armement, tout en étant doté d'un système d'armes entièrement rénové. Mais le Gripen E, dernière évolution du monoréacteur suédois JAS39 en cours de développement par Saab pour la Suède et la Suisse, devrait également être plus furtif. "Nous sommes contractuellement tenus de réduire la signature équivalente radar de l'appareil", a expliqué aujourd'hui Björn Johansson, ingénieur en chef du programme Gripen E, lors d'une conférence de presse qui s'est tenue à Linköping dans le fief de l'avionneur suédois.
Si les moyens mis en oeuvre pour remplir cet objectif n'ont évidemment pas été exposés dans le détail, l'ingénieur a toutefois souligné que cette furtivité accrue serait obtenue "par une combinaison de modifications structurelles et de nouveaux matériaux".
Le représentant de Saab a par ailleurs rappelé que la taille réduite du Gripen par rapport à la plupart des avions de combat modernes lui conférait de facto un avantage en termes de signature équivalente radar vis-à-vis de certains de ses concurrents.
Le futur Gripen E, dont un premier prototype représentatif de la configuration de série doit voler début 2015, sera également plus discret grâce à l'intégration d'un capteur infrarouge de recherche et poursuite (IRST) développé par Selex Galileo et dont les essais en vol vont commencer dans les prochains jours à Linköping sur le démonstrateur JAS39-7, qui sert de banc d'essais pour les technologies du Gripen E. Ce dernier devrait être qualifié en 2018, à l'issue d'un programme d'essais qui impliquera trois prototypes.
Le JAS39E, dont la Suède s'est engagée à acquérir 60 exemplaires si la Suisse confirme sa commande pour 22 appareils (un référendum populaire à ce sujet se tiendra le 18 mai prochain), sera également doté d'un tout nouveau système d'autoprotection. Celui-ci incorporera notamment des contre-mesures électromagnétiques rénovées, avec l'intégration de nouvelles antennes dans les pylônes de bout d'aile et d'un brouilleur intégré sur la dérive.
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Ven 14 Mar 2014 - 20:08
Gripen E ne dépend pas de référendum suisse
Gareth Jennings, Linköping - Defence Weekly de IHS Jane - 13 Mars 2014
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Citation :
Un Gripen D vu voler à côté d'un F/A-18 Hornet des Forces aériennes suisses au cours d'une visite promotionnelle en Suisse avant le Gripen E étant sélectionné pour le programme de remplacement de chasse. Saab estime que les différentes appellations Gripen ont créé de la confusion, et donné des munitions à ceux qui s'opposent à la vente en Suisse. Source: Swiss Air Force Le gouvernement suédois est entièrement engagé dans le programme d'avion de combat Gripen de Saab E, indépendamment de l'issue d'un référendum national suisse sur le projet d'achat du type, responsables de la compagnie le 11 Mars.
S'exprimant lors de l'installation de production de Linköping de l'entreprise, près de Stockholm, leader de la campagne suisse de Saab pour le Gripen E, Richard Smith, a déclaré que le contrat signé avec le suédois Défense Materiel Administration (Försvarets materielverk - JVM) pour fournir 60 Gripen E avions de l'Armée de l'Air suédoise (Swaf) continuera quel que soit le vote suisse lors du référendum prévu pour la mi-mai.
"[S'il ya un vote 'non'], le programme suédois continue inchangée," at-il dit. Les commentaires de Smith offrent un niveau de sécurité accru pour le programme Gripen E, qui avait été à l'origine dépend de Saab assurer un partenaire stratégique pour aider au développement de fonds.
Si le vote suisse contre le Gripen (le référendum lui-même est en fait sur le droit Fonds Gripen, plutôt que sur l'avion 22 eux-mêmes), Saab peut encore garantir que partenaire stratégique à travers le Brésil, qui a choisi le Gripen E pour s'acquitter de son F-X2 exigence. Les négociations pour ce contrat de 36 avions devraient être conclue à la fin de 2014, mais Smith a suggéré que même pas que beaucoup a été maintenant nécessaire pour garantir l'ordre du Swaf.
Même si, Saab va être désespéré pour signer la Suisse comme le premier client à l'exportation pour le Gripen E lorsque les électeurs votent le 18 mai. Le programme de remplacement suisse Fighter a été un processus long et étiré, et qui Saab n'a pas trouvé facile malgré apparaît comme le candidat gagnant en Novembre 2011.
"La campagne a été assez montagnes russes d'un tour", a noté Smith. "Le Gripen a été appelé le combattant IKEA en Suisse - c'est drôle, mais tous ces petits coups peut vous blesser et vous forcer à être réactif tout le temps que prend l'énergie et des ressources.».
Lorsque la compétition a commencé en 2007, Saab à l'époque a présenté son Gripen C / D pour concurrencer le Boeing F/A-18E/F Super Hornet (qui a abandonné en 2008), Dassault Rafale et l'Eurofighter Typhoon. En 2009, Saab a lancé le développement Gripen NG (qui deviendra plus tard Gripen E) dans le mélange, ce qui lui a offert le long de la Gripen C / D. La compétition a décroché en 2010, mais a été ressuscité à la mi-2011, après un intense lobbying de l'industrie suisse, qui prévoit avec impatience le paquet compenser 100% de valeur de quelque (USD2.5 milliards) CHF2.2 milliards.
Selon Smith, cette offre de deux avions différemment désigné embrouillé les un peu et a conduit à la confusion dans l'esprit de beaucoup en Suisse et au-delà. "L'image de marque de Gripen E nous a mis dans une position difficile, avec des gens capables de l'accuser d'être un« avion de papier "," at-il dit. "La même chose peut être dite pour la Tranche 3 Typhoon ou le lot 2 ou lot 3 Rafale, mais personne n'a jamais fait. Si nous venions appelé Gripen, je pense que nous aurions pu impunément un grand nombre de problèmes que nous avons été avoir dans les médias. Nous avons donné le «non» des munitions de côté pour les utiliser contre nous ".
En dépit d'être largement anticipé à perdre soit le Rafale ou Typhoon, le Gripen E a finalement été choisi par la Suisse avec des livraisons de 22 avions prévues pour fonctionner à partir de 2018 jusqu'à 2021 (en plus, une solution provisoire de huit Gripen C et trois Gripen D avions devaient être livrés en 2016).
Pour la plupart des concours, sous réserve de négociations contractuelles cela aurait été la fin de l'histoire. Toutefois, la Suisse dispose d'un système dans lequel, si 50 000 citoyens signent une pétition, le gouvernement doit tenir un référendum, et c'est précisément ce qui s'est passé avec l'acquisition Gripen E. Comme Smith a noté que, les Suisses sont particulièrement soucieux de la sécurité (tel que démontré par le vote de près de 70% pour conserver la conscription dans un récent référendum), et si un vote sur la question n'a pas besoin d'être une si mauvaise chose.
Malheureusement pour Saab, le Gripen s'est heurtée à une tentative concertée pour contrecarrer la passation des marchés, comme en témoigne une série de malheurs qui se sont abattus sur la campagne «oui» récemment, et datant d'avant même si le référendum a été organisé.
Comme Smith a expliqué:.. "Un rapport d'évaluation de la Force aérienne suisse critique qui a été divulgué en Février 2012 n'a certainement pas aidé Le problème était que l'avion dans le rapport était un Gripen [at] MS 18 [norme] L'avion Gripen C intérimaire seront de MS 20, et le Gripen Es sera MS 21. Les médias ont commencé à faire des comparaisons mixtes-up. Le rapport avait 98 points d'amélioration, dont certains étaient très mineur et dont beaucoup ont été réglées dans MS 19 et mis en œuvre dans MS 20. Les 46% restants seraient inclus dans MS 21 ".
Ce rapport a été divulgué suivie d'une analyse Saab des intentions de vote parlementaires probables sur le Gripen qui a été divulgué aux médias suisses. Une telle analyse est une chose normale à faire, a déclaré Smith, mais il a été tourné dans les rapports des médias à être quelque chose de tout à fait plus sinistre. En Février 2014, un rapport de l'ambassadeur de Suède à la Suisse, par Thoresson, concernant les plans d'influencer le vote national sur le Gripen a de nouveau été divulgué, ce qui aggrave encore les problèmes déjà rencontrés par l'équipe Gripen Saab et forçant à se retirer de toute promotion du Gripen en Suisse durant la période précédant le vote.
Comme l'a souligné Smith, ces événements ne sont pas tout ce qui importe en eux-mêmes, mais ont alimenté la «goutte-à-goutte» de la négativité entourant le programme dans une partie des médias suisses. "Malgré cela cependant, le Parlement suisse a béni l'acquisition globale avec une énorme majorité [de] 113 à 68 voix. Le vote sur le relèvement du plafond de dépenses de s'engager à CHF3.126 milliards [de la valeur totale du contrat] adoptée par 114 pour 70 votes, et le Gripen loi sur les fonds [qui est ce que le référendum aura lieu le] nouveau passé avec une majorité de 118 à 67. "
Cette reluisant de l'acquisition Gripen E de la classe dirigeante de la Suisse, Smith prévoit, être effectuée par le référendum et le résultat à obtenir la Swiss Air Force le bon avion pour ses besoins.
"Le Gripen offre le juste équilibre - c'est un avion très capable, mais avec des coûts d'approvisionnement en ligne avec le budget suisse de la défense," at-il dit. Peut-être plus avantageux pour la Suisse est le paquet de décalage qui accompagnera l'affaire, doit-il être signé. "Le paquet industrielle a joué un rôle important [dans la sélection initiale de la Gripen], que l'industrie suisse a été le véritable moteur de cette.
"En Décembre 2013, Saab a livré CHF330 millions (plus de 500 contrats) dans les affaires pour les entreprises suisses," Smith a noté, ajoutant: "Il est important pour les entreprises suisses une fois qu'ils sont dans la chaîne d'approvisionnement, il ouvre la possibilité d'être un partenaire à long terme avec Saab.
«Nous voulons mettre le cône arrière, freins à air, l'arrière du fuselage, et les pylônes en Suisse. En Février 2014, nous avons placé un contrat de millions de CHF68 avec Ruag pour le développement et la production de Gripen E pylônes."
Saab espoir et s'attendre à ce que la combinaison de l'aptitude du Gripen pour la Force aérienne suisse et les avantages qu'il offre pour l'industrie suisse portera le référendum en sa faveur. Si cela ne se produise, puis de travailler sur le contrat peut commencer pour de bon. "Si c'est un oui, tous les accords sont tous mis en place et en place et il est directement à contracter. C'est alors que l'entreprise commence vraiment», a déclaré Smith.
Sujet: Re: Saab Gripen E / NG Dim 4 Mai 2014 - 7:27
Une majorité de Suisses opposés aux avions de combat (sondage)
(ats / 04.05.2014 06h37)
Lire la suite :
Citation :
La majorité des Suisses demeurent opposés à l'achat du Gripen, d'après un sondage du "SonntagsBlick". Si le peuple devait se prononcer cette fin de semaine, 52% des Suisses diraient "non" aux avions de combat suédois, alors que 40% voteraient pour, les autres restant indécis.
Ce sondage, mené deux semaines avant les votations auprès de 1098 citoyens, a été réalisé par l'institut Léger (anciennement Isopublic) sous mandat du journal alémanique. Par rapport à la dernière enquête du "SonntagsBlick" à la mi-mars, la part des défenseurs du Gripen a progressé de 8%.
Le dernier sondage de Léger rejoint celui de la SSR, réalisé par l'institut gfs.bern à la mi-avril. Selon cette enquête, 52% des Suisses rejetteraient les avions de combat contre 42% et 6% d'indécis. Claude Longchamp, directeur de l'institut, estimait qu'un renversement de vapeur avant le 18 mai n'était pas à exclure.