Des villageois saccagent plusieurs bars clandestins près de Tizi Ouzou

Imene Brahimi - 26/08/2012 à 22:12

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Des centaines d'habitants de plusieurs villages d'Ath Mendès, dans la région de Boghni, à une quarantaine de kilomètres au sud de la ville de Tizi Ouzou, ont décidé ce dimanche 26 août, après avoir longtemps et vainement attendu une intervention des pouvoirs publics, de passer à l'action et de procéder à la démolition de plusieurs bars clandestins qui nuisent, disent‑ils, à leur quiétude.

C'est suite à une réunion des comités des villages relevant de la commune d’Ath Mendès que la décision a été prise d'organiser cette action qualifiée d'« opération de salubrité publique ». Les baraques de fortune servant de bars ont été démolies à l’aide d'un bulldozer, dans un climat de grande tension. Une opération qualifiée par certains propriétaires des lieux d'« offensive islamiste » initiée, selon eux, par des individus connus dans la région pour leur appartenance au courant islamiste.

Des habitants des villages concernés expliquent quant à eux leur décision par l'insécurité qui règne dans cette partie de leur localité depuis la prolifération de ces débits de boissons clandestins qui portent atteinte à la dignité des villageois et de leurs familles. Selon un membre d'un comité de village, plusieurs requêtes ont été adressées aux autorités administratives et sécuritaires mais sans susciter la moindre réaction, ce qui a alors poussé les villageois à prendre les choses en main.

http://www.tsa-algerie.com/divers/des-villageois-saccagent-plusieurs-bars-clandestins-pres-de-tizi-ouzou_21926.html

Omar est parti à l'âge de 37 ans, nous l'avons enterré hier juste après la prière du 3asr. Que Dieu l'accueille en son vaste paradis nchallah. Natif de Sidi Aich mais résidant dans le grand Alger, Omar était un musulman exemplaire, digne et très humble, qui partageait sa richesse, acquise à la sueur de son front et fruit de son dur labeur, avec les jeunes du quartier et bien d'autres encore, en les encourageant à emprunter le bon et droit chemin, notamment en les aidant financièrement à fonder un foyer. Omar était l'ami des pauvres. Ils l'ont pleuré, j'en suis témoin. Ses enfants, que Dieu les protège, l'appelaient "ya abi". Ina lillehi wa ina illeyhi radji3oun.