Un groupe terroriste s’est retranché dans une maison

Boumerdès : l’armée encercle le quartier Sidi el Madjni à Dellys[/b]

Le quartier de Sidi el Madjni, à Dellys, à l’est de Boumerdès, est encerclé depuis le milieu de la matinée par des éléments de l’Armée nationale populaire.

Selon des sources locales, un groupe terroriste s’est retranché dans une maison de ce quartier du centre-ville de Dellys.

En début d’après-midi, les militaires n’avaient toujours pas donné l’assaut et la situation était confuse.

Un accrochage avait opposé les militaires aux terroristes plus tôt dans la matinée.

Deux militaires et deux terroristes ont été blessés,

selon un bilan provisoire obtenu de source locale.

Les terroristes se trouvaient à Sidi el Madjni pour rendre visite à leurs familles.

Les forces de sécurité soupçonnent aussi l’existence d’un lieu de repli des groupes armés dans ce quartier de Dellys.

L’offensive de Sidi Ali Bounab se poursuit

Les dessous d’une opération antiterroriste d’envergure

Citation :

Samir Allam - 29/12/010 - L’opération antiterroriste de Sidi Ali Bounab se poursuit. Elle entamera, jeudi 30 décembre, sa quatrième semaine. Au moins cinquante terroristes ont été abattus depuis le début de l’opération, selon un bilan obtenu par TSA de source sûre. Les cadavres sont en cours d’identification avec, entre autres, des tests ADN. Les services de sécurité, à travers ces analyses génétiques, cherchent notamment à savoir si des émirs importants du GSPC, voire le chef national du mouvement, Abdelmalek Droukdel, figurent parmi les terroristes tués. Le bilan des pertes parmi les militaires engagés dans l’opération s’élève à une dizaine, selon notre source. Plusieurs autres militaires ont été blessés.

A l’intérieur des maquis, les opérations sont menées par le GIS (Groupe d’intervention spéciale), une unité d’élite dépendant du DRS. Ils sont appuyés par des parachutistes de l’armée nationale qui participent directement aux combats contre les terroristes. Deux zones de bouclage ont été établies. Le premier bouclage des zones d’opérations est assuré par des unités d’infanterie de l’armée nationale. Le bouclage extérieur, notamment des routes, est confié à la gendarmerie nationale. Au total, entre 5000 et 7000 hommes participent à l’opération.

Selon nos informations, l’opération de Sidi Ali Bounab, la première de cette ampleur contre les groupes terroristes en Kabylie, a été déclenchée pour faire échouer le projet de transfert du commandement de l’ex-GSPC, devenu Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique), vers le Sahel. Le but est d’affaiblir considérablement l’organisation en la décapitant avant qu’un tel projet n’aboutisse.

Pour les militaires algériens, Aqmi au Sahel est synonyme d’une présence accrue de troupes étrangères, notamment américaines et françaises, dans cette région. Avec comme conséquence de cette ingérence étrangère, un affaiblissement du rôle de l’Algérie en matière de lutte contre le terrorisme dans la région.

L’opération, qui était prévue depuis quelques semaines, a été précipitée après l’obtention d’informations par les services de sécurité faisant état de la préparation d’une importante réunion d’Aqmi dans cette zone. Pendant plus de 15 jours, les réseaux téléphoniques des trois opérateurs mobiles (Mobilis, Djezzy et Nedjma) ont été brouillés dans les wilayas de Tizi Ouzou, Bouira et Boumerdès. But : empêcher les groupes armés d’actionner des bombes à distance pour stopper la progression des troupes au sol. Mais aussi paralyser les communications entre les éléments d’Aqmi. Depuis le début de cette offensive, le groupe terroriste observe un silence inhabituel sur ses pertes et celles de l’armée.

http://www.tsa-algerie.com/divers/les-dessous-d-une-operation-antiterroriste-d-envergure_13494.html

TERRORISME

Boumerdès : un terroriste abattu et trois autres encerclés

Citation :

01/01/2010 - Un terroriste a été abattu, vendredi 31 décembre vers 22 heures, à Benchoud, dans la commune de Baghlia, au sud-est de Boumerdès, a appris TSA de source sécuritaire locale. Une arme de type kalachnikov et un pistolet automatique ont été récupérés à l’issue de cette opération.

Le terroriste abattu faisait partie d’un groupe armé composé de quatre éléments. Les trois autres terroristes ont réussi à prendre la fuite. Samedi dans la matinée, ils étaient toujours encerclés dans la zone située entre Benchoud et Azrou qui dépend la commune de Dellys, a précisé notre source.

Une personne blessée dans l’explosion d’une bombe à Kadiria

Feriel Driss /TSA

Citation :

03-01-2010 Le chauffeur d’un camion a été grièvement blessé dans l’explosion d’une bombe artisanale actionnée à distance ce lundi 3 janvier vers 1 h 30 à Kadiria dans la wilaya de Bouira, a-t-on appris de source locale. La bombe a explosé au passage d'un camion transportant des matériaux de construction.

http://www.tsa-algerie.com/divers/une-personne-blessee-dans-l-explosion-d-une-bombe-a-kadiria_13543.html

Terrorisme
Deux gendarmes blessés dans l’explosion d’une bombe à Boumerdès

Citation :

Feriel Driss - 09/01/2011 - Deux gendarmes ont été blessés, samedi 8 janviers vers 20 heures, dans l’explosion d’une bombe artisanale à Sahel Boubrak, au sud-est de la wilaya de Boumerdès, a-t-on appris de source sûre. Les deux gendarmes ont été évacués à l’hôpital de Dellys, dans la même wilaya.

Selon notre source, la bombe a ciblé un barrage de la gendarmerie nationale dressé sur la route entre Delly et Sahel Boubrak. L’ANP a déclenché une opération de ratissage dans la région à la recherche des auteurs de cette attaque terroriste.

http://www.tsa-algerie.com/divers/deux-gendarmes-blesses-dans-l-explosion-d-une-bombe-a-boumerdes_13670.html

Bejaïa

Un quadragénaire tué « accidentellement » par l’armée à Ighil Ali

Citation :

Lyes Amara - 14/01/2011 - Un quadragénaire du village Azrou dans la commune d’Ighil Ali, à une centaine de kilomètres à l’ouest de Bejaïa, a été tué « accidentellement », mercredi dernier en fin d’après midi, par des forces de l’armée en opération de ratissage dans les maquis de la région. La victime, qui se trouvait près du secteur ratissé par l’armée, a vraisemblablement été prise pour un terroriste par les soldats de l’ANP. Marié depuis à peine une année et sans enfant, le villageois a été enterré, aujourd’hui, au cimetière de son village natal.

http://www.tsa-algerie.com/divers/un-quadragenaire-tue-accidentellement-par-l-armee-a-ighil-ali_13766.html

allah yerahmou

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RIP

Attaque terroriste près de Tizi Ouzou

Un garde communal tué et trois autres blessés

Citation :

Imene Brahimi - Un garde communal a été tué et trois autres blessés, vendredi 28 janvier vers 23 heures, dans une attaque terroriste à Assi Youcef, dans la daïra de Boghni, à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Tizi Ouzou, a appris TSA de source sécuritaire. Le groupe armé a attaqué la brigade de la garde communale à l’aide « Hab Hab » (mortier artisanal), a précisé notre source.

http://www.tsa-algerie.com/divers/un-garde-communal-tue-et-trois-autres-blesses_13995.html

RIP

Terrorisme

Deux militaires grièvement blessés par une bombe à Tébessa

Citation :

Rédaction (avec AFP) - Deux militaires ont été grièvement blessés par l'explosion d'une bombe artisanale à Mezeraa, une localité de la wilaya de Tébessa, a‑t‑on appris lundi auprès de l'hôpital régional de Tébessa. La bombe aurait explosé dimanche soir au passage d'un camion faisant partie d'un convoi de l'armée qui menait une opération de ratissage dans le Djebel Labiod, un couvert végétal situé à une soixantaine de kilomètres au sud-ouest de Tebessa.

Souffrant de graves blessures, les deux victimes ont été évacuées vers l'hôpital militaire de Constantine lundi matin. L'armée a lancé une opération de ratissage dans les wilayas de Tébessa et de Khenchela après avoir localisé les endroits où se retrancheraient des groupes armés.

http://www.tsa-algerie.com/divers/deux-militaires-grievement-blesses-par-une-bombe-a-tebessa_14045.html

La peine capitale : Paradoxe et injustice

Citation :

Par Khidr Omar | 30/01/2011 | 22:46 - Le tribunal criminel de Constantine a condamné samedi à la peine capitale six individus jugés pour un attentat revendiqué par Al-Qaïda et qui a tué à 18 gendarmes en 2009.

Régulièrement, les juges algériens prononcent des peines de mort, une condamnation que l’un de leurs consoeurs n’a pas hésité à infliger au « patriote » Mohamed Gharbi sans l’engagement duquel elle n’aurait jamais pu siéger dans un tribunal.

Ce n’est pas l’objet de ce propos…Depuis 1993, aucune condamnation à mort prononcée par une cour d’assises n’a été exécutée. Les derniers condamnés passés par les armes avaient été jugés dans un procès qui se voulait à l’époque comme celui du mouvement islamiste armé. Il y avait le fondateur des GIA, Mansouri Méliani, le seul à avoir assumé ses actes. Et les terroristes impliqués dans l’attentat contre l’aéroport d’Alger.

Devant les cours spéciales supprimées puis devant les cours criminelles ordinaires, les procès pour faits de terrorisme ne se sont jamais arrêtés et les juges n’ont jamais cessé de prononcer des condamnations qu’ils savent vouées à ne pas être exécutées.

Dans les faits, l’Algérie a aboli la peine capitale mais elle refuse inexplicablement d’assumer ce rôle qui, pourtant, peut soigner son image. Elle semble tétanisée par la peur de soulever la colère des conservateurs qui souhaitent faire de la charia la source de la législation. Outre qu’elle semble paradoxale, cette attitude est surtout injuste: à cause de la politique de réconciliation nationale.

Tout le monde sait que les milliers de « repentis » qui ont accepté de déposer les armes ne passaient pas leur temps à la cuisine ou à la corvée d’eau dans les maquis. La loi sur la concorde civile n’a jamais été appliquée à la lettre et les comités de probation n’ont jamais fonctionné.

Ils ont pour mission de vérifier que les aspirants à la concorde n’avaient pas les mains tâchées de sang. Pour ne pas assumer son rôle, le pouvoir politique a créé l’idée de « concorde civile ». Un concept juridique qui fait de la « tragédie nationale » une affaire de bisbilles entre les citoyens.

Libre à eux de s’embrasser après s’être chamaillés. Pourtant, aucune victime, aucune famille de victime n’a jamais été invitée à rencontrer le bourreau et à lui pardonner en connaissance de cause. Le pouvoir a décidé de pardonner et les citoyens n’ont pas d’autre choix que d’approuver.

Combien de criminels ont bénéficié des dispositions de la concorde ? On le le saura jamais. Seule certitude : nombre d’entre eux sont passibles de la peine de mort. Ils y ont échappé et ont échappé à toute condamnation. C’est largement suffisant pour que les juges cessent de prononcer la peine capitale.

http://www.algerie-plus.com/zoom/la-peine-capitale-paradoxe-et-injustice/

Une touriste italienne enlevée dans le sud algérien

Une touriste italienne voyageant seule avec un chauffeur et un guide a été enlevée dans le sud de l'Algérie mercredi en début de soirée,

ont indiqué vendredi des sources sécuritaires de la région contactées par l'AFP.

L'Italienne, âgée de 56 ans,