Un partenariat de cette envergure se construit progressivement et doit toucher à tous les domaines.

elations algéro-britanniques : “Très fortes» et de “haute qualité”, affirme l’ambassadeur

PUBLIE LE : 17-09-2012 | 20:30

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Les relations algéro-britanniques sont «très fortes» et ont atteint un niveau de «haute qualité», a déclaré hier à Oran l’ambassadeur du Royaume-Uni en Algérie, M. Martyn Roper. «Les relations bilatérales sont marquées par des partenariats efficaces et exemplaires dans tous les domaines de coopération», a souligné M. Roper lors d’une rencontre entre les opérateurs économiques des deux pays organisée par le Conseil d’affaires algéro-britannique.

Cette rencontre intitulée «UK Day in Oran» (journée du Royaume-Uni à Oran) a permis la mise en contact d’investisseurs britanniques avec des opérateurs de la région ouest du pays en vue de mieux cerner les nombreuses opportunités d’affaires et d’investissement offertes par le marché algérien.

http://www.elmoudjahid.com/fr/flash-actu/8427

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L’ambassadeur a mis l’accent dans ce contexte sur les opportunités à saisir dans divers segments tels ceux de l’énergie, de la machinerie industrielle, de la santé, de la construction, de l’éducation, de la formation et de l’enseignement de la langue anglaise.

«Le volume des échanges commerciaux entre les deux pays connaît une croissance continue au fil de ces dernières années, plaçant l’Algérie au rang des principaux partenaires du Royaume-Uni à l’échelle du Moyen-Orient et de l’Afrique», a souligné M. Roper.

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De son côté, la présidente du Conseil d’affaires algéro-britannique, Mme Olga Maitland, a insisté sur la vocation de son organisme, à savoir l’identification des opportunités d’investissement dans les deux pays, la mise en contact des opérateurs et leur accompagnement à titre individuel ou dans le cadre des missions commerciales. Elle a également annoncé la tenue d’une rencontre sur les opportunités d’investissement en Algérie, prévue en octobre prochain à Londres.

Pourquoi la Grande-Bretagne fait des appels du pied à l'Algérie

ARTICLE | 18. SEPTEMBRE 2012 - 12:37


Le Premier ministre britannique David Cameron. D. R.

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Les relations algéro-britanniques ne sont plus ce qu’elles étaient dans les années 1990 quand en plein cœur de Londres et sous le regard bienveillant de la police, des collectes d’argent pour le GIA étaient régulièrement organisées par les islamistes, confortablement réfugiés dans ce pays.

Le temps est passé et l’heure est maintenant aux affaires.

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De ce point de vue, l'ambassadeur du Royaume-Uni en Algérie, Martyn Roper, est satisfait de l’état des relations algéro-britanniques, «très fortes», et de leur niveau «de haute qualité».

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Il estime que «les relations bilatérales sont marquées par des partenariats efficaces et exemplaires dans tous les domaines de coopération».

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C’est ce qu’il a souligné lors d'une rencontre entre les opérateurs économiques des deux pays organisée par le Conseil d'affaires algéro-britannique.

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Cette rencontre intitulée «UK Day in Oran» (journée du Royaume-Uni à Oran) a permis la mise en contact des investisseurs britanniques avec les opérateurs de la région ouest du pays en vue de mieux cerner les nombreuses opportunités d'affaires et d'investissement offertes par le marché algérien.

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L'ambassadeur a mis l'accent dans ce contexte sur les opportunités à saisir dans divers segments tels ceux de l'énergie, de la machinerie industrielle, de la santé, de la construction, de l'éducation, de la formation et de l'enseignement de la langue anglaise.

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Il constate que le volume des échanges commerciaux entre les deux pays connaît une croissance continue au fil des dernières années, plaçant l'Algérie au rang des principaux partenaires du Royaume-Uni à l'échelle du Moyen-Orient et de l'Afrique».

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Ce revirement dans l’attitude de la Grande-Bretagne s’explique par des raisons géostratégiques. Il s’agit pour ce pays de récupérer les marchés perdus par la France qui est en perte de vitesse en Algérie mais tente un retour depuis l'avènement des socialistes.

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Dans le contexte de la crise de la zone euro, la Grande-Bretagne, qui se trouve hors de cette zone de turbulences, veut faire cavalier seul en prospectant de nouveaux marchés.

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Des raisons géopolitiques aussi : l’Algérie est un partenaire idéal avec une relative stabilité politique – dans une région traversée par la violence et marquée par les incertitudes – et une manne financière qui n’est pas près de baisser, et tout indique qu’elle va aller en augmentant si on en croit les prévisions des spécialistes.

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Visiblement, la Grande-Bretagne préfère fermer les yeux sur certaines aberrations politiques et éviter de remettre en selle les islamistes avec le risque de fragiliser le pays. Comme d’autres pays occidentaux, la Grande-Bretagne ne veut pas prendre ce risque.
Lina S.

Nouvelle mission économique britannique en Algérie en novembre prochain (MEA)

(APS) vendredi 5 octobre 2012 09 : 15



http://www.aps.dz/Nouvelle-mission-economique,65391.html

LONDRES- Une nouvelle mission économique britannique composée de représentants d’entreprises de différents secteurs d’activité se rendra en Algérie au courant du mois de novembre prochain, a indiqué jeudi à Londres la Middle East Association (MEA).

En prévision de ce séjour, la MEA a organisé un déjeuner de travail en l’honneur de l’Ambassadeur d’Algérie, M. Amar Abba.

A cette occasion, le Chef de la mission diplomatique algérienne a fait une présentation des opportunités d’affaires qui s’offrent aux entreprises britanniques ainsi qu’un bref rappel des relations politiques et économiques qu’entretiennent les deux pays.

Au cours du débat qui a suivi avec les représentants de nombreuses entreprises présentes au déjeuner, M. Abba a mis l’accent sur les opportunités dont dispose le marché algérien, tant en termes de stabilité politique, de disponibilité de ressources financières et de diversité des secteurs ouverts à l’investissement, parmi lesquels les énergies renouvelables, les TIC, l’Education et la formation, la Santé, l’Agriculture (filière lait) et le Tourisme qui intéressent particulièrement les Britanniques.

Il est à noter que parmi les entreprises présentes au déjeuner, figurent notamment la "Midland Cryogenics" (Energie), McMillan (Education), HSBC (Finances) et International Hospital Group (Santé).

La Middle East Association avait organisé en juin dernier, une importante conférence sur les opportunités d’affaires en Afrique du Nord dans le but de promouvoir les échanges entre le Royaume-Uni et le Maghreb.

Un panel d’experts économiques représentant des instituts influents au Royaume Uni, ont assisté à cette rencontre.

La co-présidente du Conseil d’affaires algéro britannique (ABBC) Mme Olga Maitland, avait affirmé à cette occasion qu’en Algérie, il y avait une énergie incroyable, évoquant "un boom économique avec un énorme programme de développement pour les années à venir".

Elle a appelé les entreprises à s’engager et à prendre part dans les projets de développement en Algérie.