Assad : « La politique de l'Occident envers Israël est inacceptable » !
Citation :
23/05/2010 - Le président syrien Bachar al-Assad a qualifié dimanche d'inacceptable la politique occidentale qui "garde le silence sur les violations israéliennes" au Proche-Orient, lors d'un entretien à Damas avec le chef de la diplomatie française Bernard Kouchner.
"La région a changé. La politique que l'Occident mène dans la région n'est plus acceptable et garder le silence sur les violations israéliennes n'est plus acceptable", a dit M. Assad lors de cet entretien, selon l'agence officielle Sana.
"Si l'Occident souhaite que la sécurité et la stabilité s'instaurent au Proche-Orient, il est nécessaire qu'il commence à jouer un rôle efficace pour contenir Israël et mettre fin à sa politique extrémiste et dangereuse pour la sécurité et la paix", a poursuivi M. Assad.
M. Kouchner, arrivé samedi soir à Damas dans le cadre d'une tournée régionale, a transmis à M. Assad un message de Nicolas Sarkozy sur les relations entre les deux pays, selon Sana.
Dans son message, M. Sarkozy affirme "la détermination de la France à jouer un rôle efficace pour faire baisser la tension dans la région et régler les problèmes à travers le dialogue", a dit Sana.
MM. Assad et Kouchner ont évoqué également le dossier nucléaire iranien.
Le président Assad a souligné à ce propos "l'importance de l'accord" conclu entre la Turquie, le Brésil et l'Iran en vue d'un échange d'uranium.
"Les pays concernés devraient modifier leur approche concernant le programme nucléaire civil iranien, car cet accord constitue une occasion importante pour parvenir à une solution diplomatique et éviter à la région et au monde des conflits tragiques", a indiqué le président Assad à M. Kouchner, toujours selon Sana.
Pour sa part, Bernard Kouchner a plaidé pour l'apaisement entre « Israël » et ses voisins, demandant à tous de respecter la résolution 1701.
"On ne peut se résigner à un perpétuel état de tension même quand elle décroît", a indiqué M. Kouchner à des journalistes après avoir rencontré dimanche matin à Damas le président syrien Bachar al-Assad. La France appelle toutes les parties au respect de la résolution 1701, a-t-il ajouté.
Après une étape à Istanbul, M. Kouchner était arrivé samedi soir à Damas où il a eu un dîner de travail avec son homologue syrien Walid Mouallem.
Après son entretien dimanche matin avec M. Assad, il s'est rendu à Beyrouth et doit achever sa tournée lundi au Caire.
Sujet: Re: Israel - Occident Lun 24 Mai 2010 - 20:51
Le président Syrien est un homme courageux qui n'hésite pas à révéler à ses interlocuteurs européens ce qu'il pense des tensions créées et entretenues par Israel pour dominer la région.
Cependant, l'histoire récente nous enseigne sur l'attitude presque passive de l'occident à l'égard d'Israel, que ce soit dans les différentes agressions menées par ce pays ou dans les réunions du Conseil de Sécurité.
Sujet: Re: Israel - Occident Mar 25 Mai 2010 - 18:12
Scipion a écrit:
Le président Syrien est un homme courageux qui n'hésite pas à révéler à ses interlocuteurs européens ce qu'il pense des tensions créées et entretenues par Israel pour dominer la région.
Cependant, l'histoire récente nous enseigne sur l'attitude presque passive de l'occident à l'égard d'Israel, que ce soit dans les différentes agressions menées par ce pays ou dans les réunions du Conseil de Sécurité.
La politique de l'occident à l'égard d'Israel n'est pas clairement définie
Sujet: Re: Israel - Occident Mer 26 Mai 2010 - 19:08
Netanyahu en France, où la politique d'"Israël" est de plus en plus contestée
Citation :
26/05/2010 - Appels au boycottage, manifestations de militants syndicaux ou politiques, "appel à la raison" d'intellectuels juifs: l'hostilité est croissante en France, bien au-delà de l'extrême gauche, envers la politique du chef du gouvernement israélien Benjamin Netanyahu, en visite jeudi à Paris.
En visite dans la capitale française pour l'adhésion d' « Israël » à l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), Benjamin Netanyahu fait face à des rassemblements désormais habituels dénonçant sa politique.
L'un de ces mouvements pro-palestiniens, le collectif génération-Palestine, appelle ainsi à protester contre "l'accueil des représentants du gouvernement d'extrême droite israélien", alors que "rien n'arrête la politique de judaïsation de Jérusalem".
Mais la critique s'étend aujourd'hui au-delà des milieux militants, souvent situés à la gauche de la gauche.
"La critique anti-israélienne en France déborde largement de l'extrême gauche, parce que la pensée de l'extrême gauche exerce une forte influence sur l'ensemble du corps social, avec un souci de délégitimation de l'Etat d'Israël", déplore Gilles William Goldnadel, président de l'Association France-Israël.
Sujet: Re: Israel - Occident Mer 26 Mai 2010 - 19:09
Il faut souligner que cette critique touche aussi les intellectuels français, dans le pays d'Europe qui abrite les plus importantes communautés juive et musulmane.
Montée du boycott : des députés européens alertent Peres
Le Parlement européen : « Le phénomène de boycott contre Israël gagne en dynamique »
Les membres du lobby européen pro-israélien mettent en garde : la détérioration du climat politique encourage les boycotts des produits, entreprises et hommes d’affaires israéliens ; ces membres demandent à Peres d’utiliser sa stature internationale et d’intervenir devant le Parlement européen.
Citation :
Samedi 3 Juillet 2010 Le monde entier est-il contre nous ?
Les dirigeants de EFI (European Friends of Israel - les Amis européens d’Israël), le lobby européen en faveur d’Israël et de son économie, ont mis en garde hier contre la détérioration d’un climat politique en Europe à l’encontre d’Israël, et une montée du phénomène de boycotts des produits et du monde des affaires israéliens à travers l’Europe. Ils insistent sur l’existence d’un phénomène croissant de financements d’investissements européens qui se retirent des entreprises israéliennes, les raisons invoquées étant « l’éthique des affaires ».
Ronny Bruckner, leader de ce lobby qui comprend des membres du Parlement de l’Union européenne et des hommes d’affaires européens de premier plan, a demandé hier au président Shimon Peres d’utiliser sa réputation internationale exceptionnelle et d’intervenir devant le Parlement européen. Bruckner a également demandé au président d’intensifier son activité en direction des institutions de l’UE et d’investir dans les petits Etats européens qui ont récemment rejoint l’UE.
Selon Bruckner, le développement important de la population arabe dans les grands pays européens peut pousser les organismes musulmans à se joindre aux coalitions radicales et au boycott des produits venant d’Israël, et pas seulement des produits venant de l’est de la Ligne verte. Il indique que les militants se sont déjà mis à harceler des hommes d’affaires et que, récemment, des entreprises qui se lancent dans des relations commerciales avec des entreprises israéliennes ont reçu des menaces.
Les principaux dirigeants d’EFI ont dit au président Shimon Peres qu’un mouvement s’amplifie où de plus en plus de fonds d’investissements européens annoncent leur retrait de sociétés israéliennes, avançant comme raison, « l’éthique des affaires ». Et d’après ces dirigeants, il y a à craindre que ce phénomène ne prenne encore plus d’ampleur.
Michelle Gorari, directeur général d’EFI, a dit à Asakim que le boycott économique d’Israël s’accélérait en Europe en raison des dernières évolutions politiques. Il croit que suite à des pressions croissantes, le boycott des exportations israéliennes affecte quelque 30% de ces exportations vers l’Europe. Il y a une tendance dangereuse à vouloir imposer une interdiction totale de vente des produits israéliens sur certains marchés européens.
Goari souligne que le lobby pro-israélien a réussi à contrecarrer un courant qui émergeait et qui montrait que le Parlement européen envisageait de ne pas ratifier un nouvel accord dans le domaine aéronautique entre Israël et l’UE. EFI a multiplié les efforts pour obtenir un soutien à Israël, et l’accord a finalement été approuvé par une majorité de 465 voix contre 65. EFI se demande actuellement si c’est le bon moment pour solliciter du Parlement européen son approbation à un accord sur l’harmonisation des normes entre Israël et l’UE, car il est à craindre, étant donné l’atmosphère anti-Israël actuelle, qu’il soit difficile d’atteindre une majorité pour l’obtenir.
Sujet: Re: Israel - Occident Sam 10 Juil 2010 - 20:22
Grande Bretagne: les syndicats ouvriers appellent à boycotter « Israël »
10/07/2010 - Almanar - Asten Hardy, membre des syndicaux ouvriers en Grande Bretagne estime qu'il est grand temps de boycotter « Israël ».
Citation :
" Les pressions exercées sur Israël de la part de la communauté internationale ne semblent pas suffisantes et ce laxisme exhorte Israël à pousser toujours plus loin les limites de l'abject, a-t-il lancé en pleine manifestation syndicale à Londres.
"Notre gouvernement ne fait rien pour arrêter les actes scandaleux de Tel-Aviv, ce qui rend plus que jamais nécessaire une intervention directe des syndicats et des collectifs ouvriers britanniques, a-t-il ajouté.
Sujet: Re: Israel - Occident Mar 3 Aoû 2010 - 0:17
Défense : Israël s'est "glissée" dans l'Union européenne sans que personne s'en aperçoive,
par Robert FISK - 02 Aout 2010
Citation :
The death of five Israeli servicemen in a helicopter crash in Romania this week raised scarcely a headline.
There was a Nato-Israeli exercise in progress. Well, that's OK then. Now imagine the death of five Hamas fighters in a helicopter crash in Romania this week. We'd still be investigating this extraordinary phenomenon. Now mark you, I'm not comparing Israel and Hamas. Israel is the country that justifiably slaughtered more than 1,300 Palestinians in Gaza 19 months ago – more than 300 of them children – while the vicious, blood-sucking and terrorist Hamas killed 13 Israelis (three of them soldiers who actually shot each other by mistake).
But there is one parallel. Judge Richard Goldstone, the eminent Jewish South African judge, decided in his 575-page UN inquiry into the Gaza bloodbath that both sides had committed war crimes – he was, of course, quite rightly called "evil" by all kinds of justifiably outraged supporters of Israel in the US, his excellent report rejected by seven EU governments – and so a question presents itself. What is Nato doing when it plays war games with an army accused of war crimes?
Or, more to the point, what on earth is the EU doing when it cosies up to the Israelis? In a remarkable, detailed – if slightly over-infuriated – book to be published in November, the indefatigable David Cronin is going to present a microscopic analysis of "our" relations with Israel. I have just finished reading the manuscript. It leaves me breathless. As he says in his preface, "Israel has developed such strong political and economic ties to the EU over the past decade that it has become a member state of the union in all but name." Indeed, it was Javier Solana, the grubby top dog of the EU's foreign policy (formerly Nato secretary general), who actually said last year that "Israel, allow me to say, is a member of the European Union without being a member of the institution".
Pardon me? Did we know this? Did we vote for this? Who allowed this to happen? Does David Cameron – now so forcefully marketing Turkish entry to the EU – agree with this? Probably yes, since he goes on calling himself a "friend of Israel" after that country produced an excellent set of forged British passports for its murderers in Dubai. As Cronin says, "the EU's cowardice towards Israel is in stark contrast to the robust position it has taken when major atrocities have occurred in other conflicts". After the Russia-Georgia war in 2008, for example, the EU tasked an independent mission to find out if international law had been flouted, and demanded an international inquiry into human rights abuses after Sri Lanka's war against the Tamil Tigers. Cronin does not duck Europe's responsibility for the Jewish Holocaust and agrees that there will always be a "moral duty" on our governments to ensure it never happens again – though I did notice that Cameron forgot to mention the 1915 Armenian Holocaust when he was sucking up to the Turks this week.
But that's not quite the point. In 1999, Britain's arms sales to Israel – a country occupying the West Bank (and Gaza, too) and building illegal colonies for Jews and Jews only on Arab land – were worth £11.5m; within two years, this had almost doubled to £22.5m. This included small arms, grenade-making kits and equipment for fighter jets and tanks. There were a few refusals after Israel used modified Centurion tanks against the Palestinians in 2002, but in 2006, the year in which Israel slaughtered another 1,300 Lebanese, almost all of them civilians, in another crusade against Hizbollah's "world terror", Britain granted over 200 weapons licences.
Some British equipment, of course, heads for Israel via the US. In 2002, Britain gave "head-up displays" manufactured by BAE Systems for Lockheed Martin which promptly installed them in F-16 fighter-bombers destined for Israel. The EU did not object. In the same year, it should be added, the British admitted to training 13 members of the Israeli military. US planes transporting weapons to Israel at the time of the 2006 Lebanon war were refuelled at British airports (and, alas, it appears at Irish airports too). In the first three months of 2008, we gave licenses for another £20m of weapons for Israel – just in time for Israel's onslaught on Gaza. Apache helicopters used against Palestinians, says Cronin, contain parts made by SPS Aerostructures in Nottinghamshire, Smiths Industries in Cheltenham, Page Aerospace in Middlesex and Meggit Avionics in Hampshire.
Need I go on? Israel, by the way, has been praised for its "logistics" help to Nato in Afghanistan – where we are annually killing even more Afghans than the Israelis usually kill Palestinians – which is not surprising since Israel military boss Gabi Ashkenazi has visited Nat o headquarters in Brussels to argue for closer ties with Nato. And Cronin convincingly argues an extraordinary – almost obscenely beautiful – financial arrangement in "Palestine". The EU funds millions of pounds' worth of projects in Gaza. These are regularly destroyed by Israel's American-made weaponry. So it goes like this. European taxpayers fork out for the projects. US taxpayers fork out for the weapons which Israel uses to destroy them. Then EU taxpayers fork out for the whole lot to be rebuilt. And then US taxpayers... Well, you've got the point. Israel, by the way, already has an "individual co-operation programme" with Nato, locking Israel into Nato's computer networks.
All in all, it's good to have such a stout ally as Israel on our side, even if its army is a rabble and some of its men war criminals. Come to that, why don't we ask Hizbollah to join Nato as well – just imagine how its guerrilla tactics would benefit our chaps in Helmand. And since Israel's Apache helicopters often kill Lebanese civilians – a whole ambulance of women and children in 1996, for example, blown to pieces by a Boeing Hellfire AGM 114C air-to-ground missile – let's hope the Lebanese can still send a friendly greeting to the people of Nottinghamshire, Middlesex, Hampshire and, of course, Cheltenham.
Sujet: Re: Israel - Occident Mar 21 Sep 2010 - 23:19
L’UE refuse de consolider les relations avec "Israel"
21/09/2010 - almanar
Citation :
Sous le titre « Netanyahu boudé par Bruxelles », le magazine allemand, Der Spiegel, va publier dans un article, à paraitre mercredi, que l’Union Européenne a affiché une fin de non recevoir à la demande du gouvernement israélien de consolider les relations entre les deux parties aux niveaux économiques et politiques, ajoutant que la campagne diplomatique israélienne dans ce sens a été vouée à l’échec.
Le magazine a imputé l’échec des tentatives israéliennes à un faux calcul de la part du gouvernement de Netanyahu qui a cru que l’Union européenne va le récompenser pour avoir repris les négociations israélo-palestiniennes, dont l’UE doute de leur succès.
Selon Der Spiegel, l’union européenne réclame un progrès concret dans le processus de paix, et n’accorde pas d’importance aux gestes symboliques.
Le magazine a rapporté que le conseil des affaires générales et relations extérieures de l’Union européenne a réclamé, lors de sa réunion à Bruxelles, jeudi dernier, d’Israel de proroger le moratoire sur le gel de la colonisation en Cisjordanie qui expire le 26 septembre. Une demande refutée par le gouvernement de Netanyahu.
Rappelons qu’un rehaussement des relations entre les deux parties avait été de facto interrompue à l’issue de l’offensive israélienne contre la bande de Gaza de décembre et janvier (2008-2009).
Sujet: Re: Israel - Occident Mar 21 Sep 2010 - 23:21
"Israël" appréhende les retombées du boycott hollandais
21/09/2010 - almanar
Citation :
Selon un expert israélien dans les affaires européennes , « le refus de l'Association des municipalités néerlandaises d'organiser une visite aux Pays-Bas d'une délégation de représentants locaux israéliens car des représentants venant de Cisjordanie en font partie, n'est que le début d'une vaste campagne européenne de boycott contre Israël ». Un professeur à l'université Ben Gourion de Beersheba, dans le sud de l'entité sioniste, Sharon Verdo a déclaré dans le quotidien Yedioth Ahronoth qu'Israël devrait s’inquiéter de la décision néerlandaise !
Et d’ajouter : «Il y a ici un gappe moral entre les deux societés et un sentiment d'hostilité contre l'État d'Israël, la position d'Israël est très difficile en Europe, il n'est pas considéré comme légitime aussi longtemps qu'il est consideré comme un Etat occupant ! ». Il a précisé que «les Pays-Bas sont un membre fondateur de l'Union européenne et cette décision refléte la perception réelle du public en Europe à l’égrad de l’occupation qui n'est pas juste à leurs yeux ».
Verdo : «je n’accorde pas d’attention à la politique, mais je n’inquiète des peuples de l'Europe, car ils considèrent Israël un Eta violant et occupant qui ne s'intéresse pas à un processus de paix et enn fin de compte les dirigeants seront amenés à se soumettre aux désirs de leur peuple».
Par ailleurs, le ministre d'extrême droite des affaires étrangères, Lieberman a déclaré que c'était une "pratique inefficace et dépassée" ajoutant "nous espérons que cette décision ne restera pas le fin mot de l'histoire." Plus radicale dans ses propos, Aryeh Eldad, un député d'extrême droite à la Knesset (Assemblée israélienne) va jusqu'à dire que "cette soumission hollandaise aux Arabes reflète la soumission à la minorité musulmane qui grossit progressivement aux Pays-Bas, qui est elle même le reflet de la soumission de Netanyahou à Obama en ce qui concerne le gel de la colonisation."
Le président de l'association à l'origine du voyage, Shlomo Buhbut, se dit étonné de cette décision, lui qui a déjà effectuer ce genre de rencontre en France, en Chine ou encore au Danemark. Il ajoute que cette décision "nuit aux chances de favoriser la paix" dans le conflit israélo-palestinien.
Côté néerlandais, la décision est pleinement justifiée !
Arjen Konijnenberg, porte parole de la VNG a déclaré à l'AFP que "la Cisjordanie ne fait pas officiellement partie d'Israël. Or, des négociations sont en cours entre Israéliens et Palestiniens sur la Cisjordanie. La VNG ne veut pas donner l'impression de favoriser une des parties en organisant cette visite."
La décision a été prise en commun par la VNG (l’agence de coopération internationale de l’Association des communes néerlandaises) et le ministère des affaires étrangères.
Rappelons au passage que, toutes les colonies israéliennes de Cisjordanie sont considérées dans le droit international comme illégales, et les frontières d'Israël se limitent aux territoires d'avant 1967. Israël n'a donc aucun droit de s'approprier des territoires de Cisjordanie. Et, rappelons aussi que Netanyahou a refusé de prolonger le gel de la colonisation au delà du 26 septembre, contrairement aux affirmations de Aryeh Eldad.