La ligue arabe : plainte à l’ONU pour annuler la décision sioniste d’expulsion



25 Avril 2010

Citation :

ligue arabe a affirmé qu’elle va présenter une plainte aux Nations unies et multiplier ses efforts au niveau des organisations internationales concernées afin de faire pression sur l’occupation israélienne et annuler sa décision n°1650 qui stipule l’expulsion des milliers de Cisjordaniens de leurs maisons.

Le secrétaire général et assistant chargé des affaires de la Palestine et des territoires arabes occupés, l’ambassadeur Mohamed Soubeih a affirmé aux journalistes que la ligue arabe a contacté plusieurs côtés intéressés, notamment les ambassadeurs arabes aux nations unies et à Genève, pour poursuivre l’affaire d’expulsion des Cisjordaniens et organiser des réunions urgentes afin d’œuvrer pour l’annulation de cette décision sioniste.

Soubeih a insisté sur le rôle de la communauté internationale et sa responsabilité directe à traiter les décisions racistes émanant du gouvernement sioniste et de son armée et considérer l’occupation sioniste comme une entité d’apartheid comme en Afrique du sud.

http://www.almanar.com.lb/NewsSite/NewsDetails.aspx?id=134869&language=fr

Installée dans l'egypte, cette ligue ne peut rien faire, elle a les mains enchainées

L’Égypte refuse de lâcher le secrétariat général de la Ligue Arabe

Citation :

Avant même la tenue du sommet de la Ligue Arabe prévu la fin du mois en Libye, l’Égypte déclare les hostilités et annonce par la voix de son ministre des affaires étrangères qu’elle ne renoncera pas au poste de secrétariat général de la Ligue à l’expiration du second mandat d’Amr Moussa. Cette réponse à la requête faite récemment par l’Algérie, rend tendue l’atmosphère et menace même le bon déroulement du sommet.

http://www.echoroukonline.com/fra/index.php?news=5972

Tentative égyptienne pour empêcher Belkhadem de prendre les rênes de la Ligue Arabe

Publier le 16.05.10

Citation :

Les autorités égyptiennes ont entamé la compétition visant à conserver le poste de secrétaire général de la Ligue Arabe qu’occupe actuellement Amr Moussa, leur ancien ministre des affaires étrangères. L’Egypte a lancé une campagne pour obtenir le soutien d’un maximum de pays arabes à ce plan.

http://www.city-dz.com/tentative-egyptienne-pour-empecher-belkhadem-de-prendre-les-renes-de-la-ligue-arabe/

L'egypte est disqualifiée à partir du moment où elle est loin de représenter les pays arabes dont la majorité n'a ni reconnu ni signé un traité de paix avec Israel comme ce pays l'a fait.

À une année de l’expiration du second mandat d’Amr Moussa - 17 mai 2010

Manœuvres autour du secrétariat général de la Ligue arabe

Citation :

L’annonce par Amr Moussa de son intention de ne pas postuler à un troisième mandat au secrétariat général de la Ligue arabe, fait bouger les choses au sein de cette institution. Les Égyptiens sont en quête d’alliance pour conserver ce poste pour lequel nombre de pays, dont l’Algérie, veulent établir un système de rotation pour en désigner le responsable.

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=135856

En egypte, tout est considére comme héritage, les egyptiens ne veulent rien lâcher

Hind-mk3 a écrit:

En egypte, tout est considére comme héritage, les egyptiens ne veulent rien lâcher

C'est à peine croyable pourtant ils sont trés loins de représenter dignement et fidélement les intérêts des pays arabes

Algérie-Egypte : coups tordus autour de la ligue arabe

Mercredi, 19 Mai 2010 11:12

Citation :

Mal aimée et déconsidérée depuis plusieurs années, la ligue arabe n’en reste pas moins un enjeu stratégique majeur lorsqu’il s’agit d’y placer l’un des siens comme secrétaire général. C’est ce que les Égyptiens ont appris à leur dépends avec l’irruption de la candidature d’Abdelaziz Belkhadem et l’émergence d’un nouveau triangle d’influence Alger-Qatar-Damas.

Les protagonistes de ce drame arabe sont restés pour le moins discrets depuis un mois, jusqu’à l’intensification des campagnes de pression de part et d’autre ces dernières semaines. En réalité, c’est la guerre sourde entre l’Algérie et l’Egypte -enclenchée, rappelons le par le football et la qualification pour la coupe du monde- qui reprend, sur fond de rivalité pour prendre le leadership de « meilleur défenseur » de la cause palestinienne. Il s’agit là d’une stratégie récurrente d’Alger depuis les années 70, consistant à déplacer son pôle de gravité diplomatique plus à l’est, afin de diversifier ses soutiens et de rallier des pays considérés comme «borderline», plus enclins à soutenir un langage musclé, tels l’Iran ou la Syrie. Bien que ne faisant pas partie de la ligue arabe, Téhéran pourrait jouer un rôle important lors de la prochaine décision pour la nomination du patron de la ligue arabe, notamment à travers ses liens avec le Hezbollah et le Hamas.

Autre allié inattendu d’Alger, le Qatar a fait son apparition sur la scène en réclamant que soit mis en place un système tournant à la tête de la ligue arabe, et que la co-décision y soit instaurée. Objectif : positionner une fois de plus le petit émirat comme acteur incontournable de la prise de décision arabe, quitte à soutenir l’Algérie aux dépends du leader historique, l’Arabie Saoudite. Mais c’était sans compter avec le sens politique du roi Abdallah, qui soutenait jusque là Amr Moussa, mais qui laisse entendre qu’il pourrait décider de lancer son propre champion en la personne du prince Saoud Al Fayçal, obligeant ainsi tous les autres candidats à se retirer devant la stature du ministre des affaires étrangères saoudien. Ce scénario semble néanmoins peu envisageable, et l’on se dirigerait plutôt vers une reconduction en 2011 du secrétaire général égyptien. Une question revient néanmoins avec insistance, pourquoi l’Algérie voudrait-elle «exiler» Abdelaziz Belkhadem, à peine reconduit comme secrétaire général du FLN, parti du Président ?

http://www.maghreb-intelligence.com/les-editos/218-algerie-egypte-coups-tordus-autour-de-la-ligue-arabe

Enfin du nouveau, certains pays arabes commencent à prendre conscience des enjeux

Le secrétaire général de la Ligue arabe prochainement à Gaza

Citation :

LE CAIRE, 7 juin - RIA Novosti - Le secrétaire général de la Ligue arabe Amr Moussa se rendra la semaine prochaine dans la bande de Gaza pour voir sur place dans quelles conditions vit la population de cette enclave palestinienne sous le blocus israélien depuis 2007, a annoncé lundi le porte-parole de la Ligue.

"Le secrétaire général visitera certains cites détruits (en hiver 2008-2009) au cours de l'opération militaire israélienne dont la reconstruction est impossible en raison du blocus", raconté le porte-oparole à l'agence égyptienne MENA.

M.Moussa doit aussi rencontrer des représentants du mouvement islamiste palestinien Hamas, au pouvoir à Gaza, et le personnel de l'Onu sur le terrain.

Ce sera la première visite d'un diplomate arabe haut placé dans l'enclave sous blocus.

Dimanche dernier, une délégation parlementaire de pays arabes, forte de 46 personnes, a visité la bande de Gaza. Les députés y ont pénétré par le point de passage de Rafah à la frontière entre l'Egypte et Gaza.

La semaine dernière M.Moussa a convoqué d'urgence une réunion des chefs de diplomatie des pays arabes qui ont appelé le Conseil de sécurité de l'Onu à se pencher sur la question de la levée du blocus de l'enclave palestinienne.

Le Hamas et le Fatah du président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas sont en conflit ouvert depuis que le mouvement islamiste, qui avait remporté les législatives de 2006, a délogé de Gaza par la force les fidèles du Fatah en juin 2007.

La situation autour de la bande de Gaza s'est brutalement aggravée il y a une semaine, suite à l'abordage du commando israélien contre la "Flottille de la liberté", composée de six navires avec au moins 600 défenseurs des droits de l'homme à bord. Ce raid s'est produit dans le contexte de la reprise après presqu'un an et demi de stagnation du dialogue entre l'Autorité palestinienne et Israël avec la médiation de Washington.

L'incident de la flottille risque de saboter à nouveau la tentative faite par les Etats-Unis pour instaurer la paix au Proche-Orient.

Même à cinq, les Arabes n’arrivent pas à s’entendre !

Publié le Lundi 28 Juin 2010 à 18:15

Citation :

Tenu sous la Présidence du Libyen Mouammar Kadhafi, le sommet des cinq a clos ses travaux ce lundi a Tripoli, avec la participation du Président égyptien Hosni Moubarak, du Président Yéménite, Ali Abdallah Salah, du Président irakien Jalal Talabani, de l’émir du Qatar, Cheikh Hamed Ben Khalifa al-Thani, et du Secrétaire Général de la Ligue arabe, Amr Moussa, rapporte alarabonline.

Aucun compromis n’a été trouvé sur le développement de la Ligue arabe, et de ses principales institutions. Deux visions se sont affrontées lors du débat, la premier prône une révision radicale, globale et rapide en vue de la création d’une union arabe, et de la doter d’une nouvelle charte, selon une échéance bien déterminée. La deuxième soutient la progressivité, en recommandant le maintien de l’appellation ligue arabe, dans un premier temps. La création d’une union interviendrait, a posteriori, dans la foulée du parachèvement du processus de rénovation de la ligue.

Dans sa maigre déclaration finale, le sommet des cinq recommande de tenir deux sommets arabes l’an, un sommet ordinaire, et un autre consultatif, ainsi que des sommets thématiques économique, social, culturel etc.

Le comité présidentiel supérieur du sommet de Tripoli a décidé de mettre en place un conseil exécutif au niveau des chefs du gouvernement, en vue de veiller à l’application des résolutions des sommets, de superviser directement les activités et programmes des institutions spécialisées, des conseils des ministres sectoriels, et de s'acquitter de toutes les prérogatives dévolues au Conseil économique et social.

Le sommet a appelé à l’institution d’un conseil des ministres de l’économie et du commerce, ainsi que d’autres conseils ministériels sectoriels des Finances, et des investissements. Il a décidé que le SG préside aux destinées de la commission arabe, en veillant à la gestion des institutions de l’action arabe commune, en collaboration avec un nombre de commissaires chargés de différents domaines.

Le comité présidentiel a recommandé de reconstruire le conseil de la paix et de la sécurité arabe, d’en augmenter le nombre des membres, en tenant compte de l’équilibre géographique, d’en élargir les attributions, et de créer les mécanismes prévus dans ses statuts.

Il a encore appelé à précipiter l’élaboration des statuts du parlement arabe permanent, à charger les ministres des Affaires étrangères, et les ministres de la Justice de reconsidérer les statuts de la Cour Arabe de Justice, à charger le secrétariat général de préparer un échéancier dans la limite de cinq ans en vue de développer l’action arabe commune, en fixant les retombées financières d’un tel programme.

http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/meme-a-cinq-les-arabes-narrivent-pas-a-sentendre/id-menu-957.html

vous vous rendez compte ? 5 ans ? quelle foutaise !!!

Amr Moussa : Les politiques d'Obama sont ambivalentes

Citation :

10/07/2010 - Almanar - Le Secrétaire général de la Ligue arabe a fustigé la politique nucléaire des Etats-Unis, la qualifiant d'ambivalente. "Quelle est donc cette logique erronée, selon laquelle on tolère qu’un pays stocke dans ses arsenaux des armes nucléaires tandis que d'autres pays sont même privés de bénéficier de l'énergie fissile civile", s'est interrogé Amr Moussa.

Les déclarations de Moussa surviennent après les propos d'Obama qui avait réitéré mardi lors d'une rencontre avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu que pour les Etats-Unis, l'arme nucléaire est un besoin fondamental d' « Israël » pour assurer sa sécurité.

Pour Amr Moussa, il s'agit bel et bien d'un changement de cap chez le président américain :"Barack Obama doit comprendre que la sécurité a une grande importance pour tous les pays et peuples", a renchéri Amr Moussa.

Cette politique d'Obama est un mépris flagrant des peuples de la région.

MondeLa stratégie de partenariat arabo-africain au menu du sommet de Syrte

12:45 10/10/2010© RIA Novosti.

Citation :

La stratégie de partenariat arabo-africain et élaboration d'un plan d'action conjoint sont au menu du deuxième sommet arabo-africain qui a débuté dimanche à Syrte, en Libye, a indiqué le porte-parole de la diplomatie égyptienne Houssam Zaki avant la rencontre.

Le partenariat stratégique entre las pays arabes et africains permettra de résoudre toute une série de problèmes d'ordre politique, économique et social, a-t-il indiqué.

Les participants au sommet tenteront d'élaborer "un plan d'action conjoint dans de nombreuse sphères, dont le tourisme, l'agriculture, le commerce et l'écologie", a ajouté le haut diplomate.

En outre, les leaders arabes et africains discuteront de la situation dans les "points chauds" et de l'influence des conflits armés sur le développement des régions.

Cette rencontre doit déboucher sur la signature d'une stratégie commune, d'une déclaration politique et d'un plan d'action.

Le premier sommet arabo-africain s'est tenu en mars 1977 au Caire, en Egypte. A bon entendeur...

"Tohu-bohu" à Syrte : Kadhafi monopolise les décisions

Publié le Lundi 11 Octobre 2010 à 12:18

Citation :

Des sources de haut niveau ont confié au journal koweitien al-Qabas qu’une situation de tohu-bohu a dominé les réunions nocturnes tenues samedi dernier en marge du sommet arabe de Syrte. "Les choses ont atteint un tel laxisme au point que Mouammar Kadhafi, Président du Sommet, ait empêché les représentants des différentes délégations de commenter les points de désaccord, dont en prime, la proposition "piège" d’Amr Moussa, SG de la Ligue arabe, de créer la ligue de voisinage ( alliance entre pays arabes et pays voisins), ainsi que le développement de l’action arabe commune et la transformation de la Ligue arabe en Union arabe".

Cet agissement, ajoutent les mêmes sources, a poussé le chef de la délégation saoudienne, Saoud al-Fayçal, ainsi que d’autres ministres des affaires étrangères du Golfe et d’autres pays arabes, de refuser les manières de la présidence, ayant monopolisé des décisions qui devraient faire l’objet d’une unanimité. A en croire des sources arabes, "le colonel libyen a balayé d’un revers de main toutes les réserves arabes et des pays du Golfe en décidant de renvoyer les questions relatives au développement de l’action arabe commune, et la création de la ligue de voisinage à "la commission de rédaction", ce qui constitue une violation manifeste de l’action arabe commune".

Et partant, des réunions parallèles de coordination se sont poursuivies jusqu’à l’aube dans la nuit du samedi à dimanche, ayant débouché sur la distribution d’un mémorandum marquant l’opposition de sept pays, dont le Koweït et l’Arabie Saoudite, sur les décisions prises lors du sommet, et les considérant comme non contraignantes.

Les mêmes sources affirment que les pays du Conseil de Coopération du Golfe (CCG) appuient avec force l’action arabe commune, appelant à une étude circonspecte des mécanismes de son développement. Ils suggèrent également "de trouver des solutions préliminaires aux problèmes en suspens notamment avec l’Iran qui occupe des terres arabes, avant de s’engager dans la création d’une ligue de voisinage".

Les sources ont résumé les résultats du sommet en ces termes, "nous avons œuvré à garantir un minimum d’entente, mais les pratiques ayant présidé à ce sommet l’ont malheureusement fait voler en éclats, et ont amené l’action arabe à son plus bas niveau".

http://www.gnet.tn/revue-de-presse-internationale/tohu-bohu-a-syrte-kadhafi-monopolise-les-decisions/id-menu-957.html

Le secrétaire général de la Ligue arabe, Amr Moussa, a exhorté les leaders des pays arabes

à se pencher davantage sur les problèmes économiques et sociaux

qui ont provoqué le soulèvement politique en Tunisie,

a annoncé mercredi le correspondant de RIA Novosti.

"Ce qui s'est passé en Tunisie est directement lié aux problèmes dont nous discutons lors de ce sommet.