Majd 2000 Sous-Lieutenant
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| Sujet: Algérie - Etats-Unis Sam 23 Nov 2013 - 22:07 | |
| L’Algérie va intégrer la station spatiale internationale de la NASAPar Lila Ghali | 23/11/2013 | 20:46 - Citation :
- L’Algérie fera son entrée prochainement à la station spatiale internationale spécialisée dans la recherche scientifique dans l’environnement spatial, a annoncé, samedi, le Premier ministre, Abdelmalek Sellal.
S’exprimant depuis la wilaya de Relizane où il était en visite de travail et d’inspection, il a annoncé que le drapeau national “flottera sur cette station aux côtés de ceux de 13 nations, alors que des chercheurs algériens travailleront aux côtés de leurs homologues étrangers”.
Sellal a, à ce propos, précisé que les détails de cette entrée seront révélés dimanche par le ministre de l’Enseignement supérieur à l’occasion d’une conférence de presse prévue au Centre de Développement des Technologies Avancées de Baba Hassan à Alger.
Il est à noter, par ailleurs, que la station spatiale internationale effectue ses recherches sous l’égide de la NASA. http://www.algerie1.com/actualite/lalgerie-va-integrer-la-station-spatiale-internationale-sous-legide-de-la-nasa/ |
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scorpion Modérateur
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| Sujet: Re: Algérie - Etats-Unis Mar 26 Nov 2013 - 12:32 | |
| Avec le projet JEM-EUSO, l’Algérie rejoint le cercle restreint des pays leaders dans la recherche spatiale (APS) lundi 25 novembre 2013 15 : 44 - Citation :
- ALGER- Entrée par la grande porte dans ’’l’ère spatiale’’, il y a 11 ans, avec le lancement de son premier satellite d’observation de la terre ’’Alsat1’’, l’Algérie va participer avec la communauté scientifique internationale à un ambitieux programme de recherche sur l’un des grands mystères de l’Univers : les particules énergétiques cosmiques.
Développé conjointement par des chercheurs japonais et ceux de 13 autres pays, dont l’Algérie, le projet ’’JEM-EUSO’’ (Extreme Universe Space Observatory onboard the Japanese Experiment Module) porte sur la réalisation d’un télescope particulier : il est destiné à étudier les particules extrêmement énergétiques du rayonnement cosmique en observant leur entrée dans l’atmosphère.
Et puis, à l’inverse d’un télescope ’’ordinaire’’ orienté vers l’espace, JEM-EUSO, qui sera réalisé avec la collaboration de scientifiques algériens, sera en fait tourné en direction de la Terre. Il sera porté par une fusée H-IIB (japonaise, NDLR) et installé sur la plateforme externe d’expérimentation du module japonais (JEM) de la station spatiale internationale (ISS). Son installation sur l’ISS sera assurée par un véhicule de transfert HTV de l’agence japonaise d’exploration spatiale (JAXA, Japan Aerospace Exploration Agency).
JEM-EUSO est un observatoire d’une nouvelle conception qui utilise de grands volumes de l’atmosphère terrestre afin de détecter les particules les plus énergétiques de l’Univers.
Parmi les objectifs de la mission de JEM-EUSO, il y a notamment celui de percer le mystère de l’origine de ces particules, considérées par les astrophysiciens comme étant les plus énergétiques jamais observées dans l’Univers et, surtout, comment elles peuvent atteindre la terre.
Une mission à laquelle participent les principaux pays ayant une très grande expérience dans le domaine de la recherche spatiale et, particulièrement, l’industrie spatiale, dont les Etats-Unis, la France, le Japon.
En outre, ’’c’est un projet qui regroupe plus de 300 chercheurs de renom de par le monde, affiliés à 80 instituts et agences prestigieuses, telles que la Nasa et l’agence japonaise Jaxa", selon le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki.
Il a précisé lors d’une conférence de presse tenue au Centre de développement des technologies avancées (CDTA) de Baba Hassen, que l’Algérie participe à ce projet avec 31 chercheurs issus des universités d’Annaba, Constantine, Tlemcen, M’sila et Jijel, et deux centres de recherche, le CDTA, son unité de Sétif et le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG, Bouzaréah).
Le CDTA sera le "point focal" du projet dans ce programme, selon le ministre qui a affirmé que la proposition de la participation financière de l’Algérie s’élevait à un million de dollars et sera destinée au déplacement des chercheurs pour l’acquisition du savoir-faire et la conception de certaines parties de ce télescope particulier.
Outre l’Algérie et le Japon, les autres pays participant à ce programme sont les Etats-Unis, la France, l’Allemagne, l’Italie, le Mexique, la République de Corée, la Russie, l’Espagne, la Slovaquie, la Suède, la Suisse, la Pologne et la Bulgarie.
Avec sa jeune expérience dans le domaine spatiale, l’Algérie est en fait le seul pays ’’arabe, musulman et africain à être admis dans ce cercle de recherche, après deux années d’évaluation par des experts internationaux, des potentialités scientifiques et technologiques algériennes", s’est par ailleurs félicité le ministre.
Sur le plan technique, ce télescope, d’un diamètre de 2,65 m, est très rapide et offre un grand champ de vue (60 degrés, soit une surface au sol d’environ 250 km de rayon). Installé sur l’ISS à une altitude d’environ 400km, JEM-EUSO fera le tour de la Terre en 90 minutes.
Déjà, onze ans après Alsat1
L’intégration de l’Algérie dans le cercle restreint des pays dont la recherche est très avancée dans le domaine spatial, est en fait le couronnement des efforts des scientifiques et des travailleurs de l’Agence spatiale algérienne (ASAL).
Et cela fait, presque jour pour jour, 11 ans que l’Algérie a réussi à mettre sur orbite son premier satellite d’observation de la terre, Alsat1, lancé le 28 novembre 2002 à partir de la base spatiale russe de Plesetsk.
Depuis, l’Algérie a mis au point, réalisé et lancé dans le cadre de la coopération scientifique algéro-indienne un second satellite d’observation de la Terre avec une haute résolution, Alsat2A, mis sur orbite le 12 juillet 2010 à partir par un lanceur indien.
Ce second satellite algérien renforce la ’’présence de l’Algérie dans l’espace’’, avait alors annoncé le directeur de l’ASAL), Azzeddine Oussedik.
Le programme spatial algérien, qui couvre la période 2006-2020, doté d’un financement de quelque 82 milliards de dinars, porte sur le développement de la recherche spatiale, la formation d’ingénieurs nationaux et la construction de satellites d’observation.
Plusieurs projets de satellites d’observation de la Terre sont déjà sur leur ’’rampe de lancement’’, selon des sources proches de l’ASAL. http://www.aps.dz/Avec-le-projet-JEM-EUSO-l-Algerie.html |
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oksana Colonel
Messages : 2036 Points actifs : 2648 Localisation : Alger Inscription : 06/05/2010 Nationalité :
| Sujet: Re: Algérie - Etats-Unis Dim 29 Déc 2013 - 17:38 | |
| Des scientifiques algériennes invitées à la Silicon ValleyARTICLE | 29. DÉCEMBRE 2013 - 10:50 - M. Sassi Ce programme est destiné à appuyer la communauté scientifique féminine. D. R. - Citation :
- Un nouveau programme américain intitulé «TechWomen» (technologie et femmes) sera lancé prochainement pour mettre en relation des femmes scientifiques du pôle des industries de pointe de Silicon Valley avec 42 de leurs homologues d’Algérie, ainsi que de plusieurs pays arabes et africains.
Se servant de technologies innovatrices, d’applications de pointe et d’outils de réseautique sociale, et de mise en relation et d’échanges, ce programme de cinq semaines est destiné, selon les organisateurs, à encourager et appuyer la communauté scientifique féminine «qui jouera le rôle de chef de file dans le domaine de la technologie, et ce, en lui fournissant l’accès et les possibilités nécessaires pour poursuivre des carrières technologiques».
Les critères d’admission à ce projet exigent des candidates d'avoir notamment deux à cinq ans d’expérience professionnelle à plein temps dans un secteur technique et un diplôme du premier cycle d’études supérieures et résider en permanence en Algérie.
Ce programme devrait contribuer selon les objectifs qui lui sont assignés à renforcer les capacités techniques des professionnelles et les partenariats et à accroître la compréhension mutuelle entre les principaux groupes professionnels des Etats- Unis et du Moyen-Orient et Afrique du Nord (Mena).
Parmi les firmes américaines qui ont manifesté leur intérêt pour le programme, figurent notamment IBM, Microsoft Corporation, Mozilla, Cisco, ISSI (solutions scientifiques intégrées), Facebook, Google, Twitter, Yahoo, Hewlett-Packard Laboratories, et le Fonds Mayfield.
Le programme TechWomen est financé par le département d'Etat américain et géré par l’Institute of International Education (IIE) et mis en œuvre en partenariat avec l’Institute Anita Borg for Women in Technology (ABI).
Il faut savoir que les critères d’éligibilité incluent au minimum un diplôme universitaire dans les filières techniques, deux ans d'expérience professionnelle dans les secteurs technologiques, ou une carrière qui exige une grande expertise, une connaissance de la technologie et l'application innovante de ces compétences.
Le suivi du programme nécessite par ailleurs une très bonne connaissance de l'anglais écrit et parlé. La préférence sera donnée par les organisateurs à celles qui ont «des qualités de leaders dans le domaine de la technologie».
La date limite de soumission des demandes en ligne est arrêtée au 10 février 2014 sur le site de l’ambassade américaine à Alger. http://www.algeriepatriotique.com/article/des-scientifiques-algeriennes-invitees-la-silicon-valley |
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