Alger: Quatre dealers arrêtés et 20 kg de cannabis saisis - 7.09.10

Citation :

Alger – Quatre dealers ont été incarcérés en cette fin de semaine par le procureur près le tribunal de Rouiba après le démantèlement d’un réseau de trafiquants de drogue dans la capitale, a-t-on appris auprès de la cellule de communication de la sûreté de wilaya d’Alger.

Après avoir mené des investigations pendant près de 2 mois, les policiers de la BRI (Brigade des recherches et d’investigations) de la Police judiciaire de la SW d’Alger ont pu saisir 20 kg de cannabis et une voiture louée à une agence de location de véhicules.

Selon l’officier Rahmouni Ahmed de la BRI, c’est suite à un précieux renseignement que ses éléments ont ouvert une enquête qui s’est soldée par l’identification du chef du réseau : un Algérois, âgé d’une trentaine d’années, qui a été intercepté vers 4h du matin au niveau de la ville de Réghaïa à bord d’un véhicule loué. Après la fouille, les policiers ont découvert une quantité de 14 kg de cannabis destinée à la commercialisation dans la capitale. Poursuivant les investigations, les enquêteurs ont pu arrêter ses deux complices et récupérer une autre quantité de 5,6 kg dans la wilaya de Boumerdès.

Selon les premiers éléments de l’enquête qui se poursuit toujours, ces dealers s’approvisionnent en petites quantités ne dépassant pas les 60 kg des réseaux actifs dans les wilayas d’Oran et Tizi Ouzou où la BRI d’Alger a déjà localisé un poulailler qui servait de dépôt de drogue. Ils sont tous des repris de justice. “Les réseaux de drogue organisent leurs filières selon le dispositif sécuritaire afin d’échapper au contrôle routier”, précise l’officier Rahmouni.

source: Liberte

A malin, malin et demi !!!

Trafic d’héroïne à Alger: Un policier à la tête du réseau

Publier le 9.09.10

Citation :

Selon des sources proches du dossier, la semaine dernière, les éléments de la police judiciaire de l’est d’Alger ont procédé à l’arrestation d’un groupe de malfaiteurs spécialisés dans le trafic de drogue.

Ce groupe est composé de Maliens, de Nigériens, dont une femme, et 3 Algériens. Le chef du groupe est un policier, a précisé la même source.

Lors d’un contrôle effectué par la police judiciaire, les policiers ont arrêté des individus dans un véhicule en possession de près de 177 capsules contenant de l’héroïne (environ 200 g).

Présentés devant le procureur de la République près le tribunal d’El Harrach, ils ont été placés sous mandat de dépôt en attendant la poursuite de l’enquête. Lors de l’interrogatoire, les accusés ont dénoncé le reste du groupe. Suite aux informations

fournies, les policiers ont pu arrêter les autres éléments du groupe et les ont présentés devant la justice. Lors de l’instruction, il s’est avéré que l’inculpé principal et le chef de ce groupe est un policier. Il est également placé sous mandat de dépôt en attendant le jugement. Le procès se déroulera probablement le 12 septembre au tribunal d’El Harrach.

source: Le temps d’algerie

Un flic véreux : ripoux

08-09-2010 - Tlemcen

Démantèlement d'un réseau spécialisé dans le trafic de faux billets à Ghazaouet et Souahlia

Citation :

Agissant sur renseignements parvenus aux services de la sûreté de la daïra de Ghazaouet faisant état de l'existence d'un réseau spécialisé dans le trafic de faux billets, les éléments de la police judiciaire ont ouvert une enquête qui a abouti au démantèlement du groupe incriminé dans cette affaire constitué de 5 individus.

Une grande quantité de billets de 1000 DA a été saisie. Quant aux auteurs, ils ont été arrêtés et présentés devant le procureur de la république près le tribunal de Ghazaouet qui a mis trois d'entre eux sous mandat de dépôt, alors que deux autres ont été placés sous contrôle judiciaire.

L'enquête suit son cours pour remonter la filière en vue d'arrêter d'autres complices. Par ailleurs, dans la commune de Souahlia, non loin de la ville de Ghazaouet, les services de la police judiciaire ont saisi à leur tour de faux billets de 500 et 1000 DA. Là aussi, les investigations déclenchées ont permis l'arrestation des membres du réseau constitué de 3 personnes.

08-09-2010 - Relizane

Une femme blessée à coups de hache par son époux à Oued Rhiou

Citation :

Les habitants de la commune de Oued Rhiou ont vécu hier après-midi une scène horrible au niveau du centre-ville de la commune susmentionnée. Une jeune femme C. M., âgée de 26 ans, mariée depuis une année, a reçu plusieurs coups de hache assénés par son propre époux dénommé S. M., âgé de 36 ans.
La nouvelle s'est répandue telle une traînée de poudre. Selon des sources hospitalières, l'époux aurait interdit à sa nouvelle compagne de sortir du domicile familial sans autorisation.

Et la jeune femme, malgré l'interdiction, est sortie. L'époux, ayant appris la nouvelle, s'est emparé d'une hache et a suivi sa femme au centre-ville de Oued Rhiou, plus précisément près du cimetière Kharmacha, où fou de rage, il lui a asséné des coups au niveau des pieds et a pris la fuite, la laissant pour morte.

Avisés par des passants, la victime a été évacuée aux services des urgences médicales de l'établissement hospitalier Ahmed Francis où elle a été opérée en urgence vu la gravité de ses blessures aux mollets.

L'auteur a été arrêté par les éléments de la brigade d'intervention et de recherche (BRI) et l'enquête suit son cours au niveau des services de sécurité pour élucider ce drame qui a mis en émoi la population de Aïn Kerman à la veille de l'Aïd.

08-09-2010 - Tizi Ghennif

Il tue la femme de son frère et se suicide

Citation :

C'est un véritable drame qui vient de toucher une famille du village Meddah, dans la commune de Tizi Ghennif, au sud-ouest de Tizi Ouzou. Nous avons appris de sources locales qu'un jeune âgé de 25 ans, répondant aux initiales de D.

S., a mortellement poignardé la femme de son frère, une avocate âgée de 40 ans et répondant aux initiales de A. L. Le drame s'est produit dans la nuit de mardi à mercredi. Après son forfait, D. S. s'est donné la mort par pendaison. Nous ignorons les causes exactes de ce drame qui a endeuillé toute une famille et jeté l'émoi au sein de la communauté villageoise.

Violence en Algérie : la loi du plus fort

Publier le 13.09.10

Algérie – Il suffit de rien pour que le sang coule. Tirs d’arme à feu, agressions et menaces à l’arme blanche, utilisation d’engins explosifs, harcèlement, intimidation, violence physique et psychologique ou encore sexuel : autant de moyens utilisés par les adolescents et même les adultes dans les actes de violence. Un phénomène alarmant qui prend de plus en plus de l’ampleur dans notre société et qui entraîne souvent de graves incidents. Cette violence sous toutes les formes empoisonnent la vie quotidienne des citoyens, collégiens ou lycéens. Une situation qualifiée de “très grave” par plusieurs intervenants qui témoignent dans le cadre de cette enquête.

Citation :

Plus qu’un phénomène, la violence apparaît aujourd’hui comme un problème social très grave exigeant une attention immédiate et une vraie politique de lutte tant au niveau de la famille, de l’école que du mouvement associatif. Si ce fléau a largement retenu l’attention des médias qui en font régulièrement leur “menu”, il ne fait l’objet d’aucun débat public ni de recherche.

La violence et la peur de celle-ci sont des facteurs cruciaux qui minent la sécurité et le bien-être des citoyens. Un sentiment (sécurité) qui est essentiel au bien-être physique, intellectuel, affectif, économique et spirituel à tout individu. “Les gens ont peur de n’être pas en sécurité même dans leur foyer, dans leur milieu professionnel ou environnemental. Nous vivons cette violence au quotidien. Le problème et qu’elle n’épargne aucune catégorie”, nous révélera, Hamid, chirurgien-dentiste.

Un avis partagé par Amine, directeur commercial : “Aujourd’hui, la violence prend une multitude de formes. D’abord, verbale, ensuite agression physique. Il y a enfin la violence psychologique, qui s’exprime notamment par les menaces, l’intimidation et le harcèlement et qui provoque la peur, et dont la gravité est trop souvent minimisée, jusqu’à ce qu’elle dégénère en violence physique.” “Il est vrai que le phénomène s’aggrave.

Il y a quelques années de cela, cette violence est restée longtemps cachée et ignorée et ne paraissait ni répandues ni graves. Mais aujourd’hui, elle est là, dans la rue, dans les bus, dans nos propres maisons et nos voitures. Nous ne savons plus quoi faire, ni a qui s’adresser. Vous savez, il y a des gens qui n’aiment pas déposer une plainte, parce qu’ils ont peur d’abord de la vengeance, ensuite, des démarches juridiques qui prennent beaucoup de temps. La personne agressée n’a que deux choix : se défendre, à ce moment, il risque sa peau, ou se laisser faire”, nous expliquera un gérant d’un restaurant. Et d’ajouter : “C’est la majorité de la population qui subit ces violences dont les séquelles sont durables et dévastatrices.”

En effet, la totalité des personnes interrogée de différentes couches sociales affirment que non seulement on parle de la violence sous toutes ses formes, mais un fait nouveau a également vu le jour dans notre société : la violence exercée par les femmes. Elle n’est plus du domaine exclusif des jeunes ou des hommes. “Un jour, j’étais dans un bus assise à côté de mon fils de 15 ans et j’ai refusé de céder la place de ce dernier à une jeune femme. Elle a commencé à m’insulter d’abord, ensuite, j’ai reçue une gifle après lui avoir répondu. Je n’ai pas trouvé de solution que de descendre du bus de peur que la situation dégénère. Le malheur dans tout cela est que personne n’a intervenu !”, témoignera Mme Leila qui n’en revient toujours pas de cet incident.

“Moi aussi j’ai vécu la même situation. C’est un homme qui en est la cause. J’étais en train de me balader avec mon compagnon à Alger quand j’ai entendu une voix de femme appeler mon ami. Il paraît que c’était une ancienne copine à lui. Cela à commencé par les mots, ensuite, les insultes à mon égard en m’accusant de lui avoir « volé » son homme. Quelques minutes après, elle saute sur moi, elle me tire des cheveux et me griffe le visage. Mon compagnon aura beau essayer de la calmer et de la raisonner, rien n’y fit. Elle m’a assené plusieurs coups à la tête, à la poitrine et aux jambes.

Sincèrement, c’était un cauchemar et personne n’a voulu intervenir, au contraire, un monde fou était là en spectateur. Je pense qu’ils étaient choqués de voir une femme agresser une autre”, témoignera Kamelia, une jeune femme de 25 ans rencontrée au port d’El-Djamila à Aïn Benian. Selon une source sûre, “si dans des pays développés, il existe des centres de prévention du crime, il n’en est rien chez nous. En principe, tout le monde est concerné. Les dispositifs sécuritaires ne peuvent faire face seuls à ce fléau. Nous avons en face de nous quotidiennement des adolescents blessés à l’arme blanche et pour des raisons futiles. Mais le plus désolant c’est quand il s’agit des mineurs âgés entre 10 à 15 ans. Dans la violence, il n’y a pas que des victimes et des bourreaux, il y a aussi ceux qui la voient au quotidien, et qui ne bougent pas ! Quelque part c’est voulu”. Quelle en est la cause ?

Les inégalités sociales en cause

“Les principaux facteurs de toutes les formes de violence dans la société algérienne sont le chômage, la pauvreté, la hogra, les conflits familiaux et les inégalités sociales”, estime la majorité des jeunes interviewés. “S’il y a la violence, c’est parce qu’il n y a pas d’égalité dans cette société, pas d’activités, l’innocent devient victime et la victime devient coupable, c’est la loi du plus fort. C’est la politique de deux poids, deux mesures”, nous révélera Tarek une jeune de 20 ans. “J’ai été agressé à 13h au marché de Aïn Benian par un jeune qui a pris toute ma recette du jour. Ce dernier a agressé le même jour cinq autres personnes. Nous avons déposé une plainte, mais rien n’a été fait et l’agresseur circule le plus normalement du monde dans le marché sans aucune crainte.” “Il n’y a pas de mesures par les pouvoirs publics et c’est pour cela que les jeunes préfèrent se venger d’eux-mêmes”, enchaînera Mourad, plombier.

Assis sur un banc, face à la mer, Yacine nous révélera que la ville d’Aïn Benian ne dispose que d’un seul stade destiné pour une certaine catégorie de jeunes. “Nous n’avons pas le droit d’y accéder. Il est fermé au grand public”, dira-t-il, révolté.

Par ailleurs, les conditions précaires de la société ont également été évoquées par ces jeunes. “Ce sont des facteurs qui nous poussent à la violence”, nous dira Mohand. “Je suis contre la violence et qu’il faut savoir pardonner parce que ça finit souvent par un meurtre”, enchaînera Djebar.

Devant, l’agression quotidienne et le sentiment d’être victime, la vengeance demeure la seule arme. “Je suis contre toute forme de violence, mais il faut bien se défendre dans une société où règne l’inégalité.” Reste l’avis de nombreux jeunes.

De leur côté, les filles ont abordé la question de la violence surtout dans le milieu scolaire. “Un élève a blessé l’enseignante avec une chaise dans notre CEM et ce genre d’incident arrive tous les jours”, nous racontera Amel, une adolescente de 15 ans qui se dit choquée par le comportement des filles qui exerce la violence.

source: Liberte

Vol de bijoux d'une valeur de 15 millions de centimes à Sfisef

L'auteur principal écroué - 12/09/2010

Citation :

A. H., une jeune mère de famille, a été victime d’un vol de bijoux d'une valeur de 15 millions de centimes, en fin semaine, dans la ville de Sfisef, située à une trentaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya, avant que l'auteur principal soit arrêté par la police judiciaire et mis sous mandat de dépôt par le parquet de Sfisef, sous le chef d'inculpation de vol qualifié avec violence, a-t-on appris à la cellule de communication. Selon cette dernière, K. A. 30 ans, le présumé, et son complice B. A. de même âge se sont introduits dans le domicile de la victime en escaladant un mur.

Les deux auteurs, les visages cagoulés, ont attaché les mains et les pieds de la jeune mère avant de lui scotcher la bouche, précise notre source. Les investigations menées par les services de sécurité ont abouti à l'arrestation de l'auteur principal, alors que son complice, qui est toujours en fuite, reste recherché par la police.

Deux dealers arrêtés pour détention de drogue

La brigade des stupéfiants de la sûreté de Sfisef, lors d'une patrouille ordinaire dans le quartier 5 Juillet, ont arrêté ce week-end vers 1h du matin deux dealers qui circulaient à bord d'une motocyclette.

Selon la cellule de communication, les deux présumés âgés de 24 et 34 ans étaient n possession de 105 grammes de kif qui serait destinés à la consommation. Les deux dealers, après avoir été présentés devant le parquet de Sfisef, ont été placés sous mandat de dépôt.

D. S.

Insécurité

Banditisme ou terrorisme à Aïn Defla ? - 12/09/2010

Citation :

Que les terroristes s’aventurent à opérer aux limites du chef-lieu de la wilaya de Aïn Defla est inconcevable au vu de l’important dispositif de sécurité mis en place durant la dernière semaine de Ramadhan, que des bandits viennent voler tout près de la brigade de gendarmerie en plein centre de la ville de Aïn Defla, c’est inouï.
Mais que des jeunes délinquants en mal d’argent de poche cambriolent leurs voisins, c’est tout à fait possible.

En effet, durant la dernière semaine du mois de ramadhan, trois appartements au niveau
des 112 logements appartenant l’un à une notaire,

un autre à une avocate et un domicile privé ainsi qu’un magasin au niveau de la cité des 300 logements ont été cambriolés par des individus dont trois ont été présentés hier au procureur de la république qui les placés sous mandat de dépôt alors que leurs acolytes sont toujours en fuite.

On apprend également que le domicile d’un citoyen résidant au quartier Sidi Mimoun aux limites sud de la ville de Aïn Defla a été investi par un groupe armé se faisant passer pour des terroristes. Les criminels ont subtilisé 50 millions de centimes à la victime ainsi que des bijoux d’une valeur estimée à 20 millions de centimes de même qu’ils ont dépouillé le père de la victime d’une somme de un million de centimes.

Selon un membre de la famille de la victime, quatre agresseurs avaient immobilisé les femmes dans la cuisine et ont mis l’intérieur sens dessus dessous alors que quatre autres criminels faisaient le guet à l’extérieur.

Une fois le forfait accompli, les terroristes armés d’armes de guerre ont emporté des gâteaux préparés pour l’Aïd et de la chorba qu’ils ont consommée dans la forêt pas loin du lieu du crime. Terroristes ou bandits, les citoyens ne savent plus à quel saint se vouer.

Abdou K.

Lutte contre le banditisme

Vol de véhicules à Tizi Ouzou : le gang de Bouhinoun démantelé

APS - 25/09/2010

Citation :

Un groupe de quatre malfaiteurs spécialisé dans le vol de véhicules a été arrêté à Bouhinoun près de Tizi Ouzou, a annoncé vendredi 24 septembre la police dans un communiqué. Les quatre individus répondant aux initiales de S.S, âgé de 25 ans, DJ.B, âgé de 28 ans, S.H, âgé lui aussi de 28 ans, et CH.M âgé de 36 ans, sont originaires de Bouhinoun, dans la commune de Tizi Ouzou.

Les membres de ce groupe dressaient, généralement la nuit, de faux barrages et organisaient des embuscades dans différentes localités de la wilaya en vue de subtiliser des véhicules, de l’argent et des portables aux citoyens. Les quatre individus agissaient à visages encagoulés et utilisaient des armes blanches dont des haches et des couteaux et barraient la route à chaque fois à l’aide d’objets hétéroclites, a ajouté le communiqué.

L’arrestation de ce groupe fait suite à une enquête de la brigade criminelle de la sûreté de la wilaya de Tizi Ouzou. Des armes et des véhicules volés ont été récupérés par les policiers. Présentés le jeudi 23 septembre devant le parquet, S.S et DJ.B ont été placés sous mandat de dépôt et S.H est cité à comparaître tandis que CH.M est mis sous contrôle judiciaire, a précisé le même communiqué.

Plusieurs véhicules, notamment de luxe, ont été subtilisés de force à leurs propriétaires durant le mois de Ramadhan dernier sur la route de Takhoukht et surtout sur les routes des Ouadhias et Boghni.

Commentaire déposé sur l'article :

Par AZ15 le 25/09/2010 | 10:22

Que se passe t-il chez les kabyles? Qui a arrêté ce groupe de terroristes? Sont-ils des kabyles qui agissent à armes blanches, cagoulés et font des faux barrages,ça me fait rappeler une époque de 88 à ...;Le désert est plein de HALFA à labourer,ça leur permettra de visiter cette nouvelle région pour une éventuelle exode rurale;

Un réseau de 7 membres, dont un étranger, démantelé à Oran

90 kg de kif traité, 8 véhicules et des armes saisis

24/09/2010

Citation :

Sept personnes, dont un étranger, ont été présentées jeudi au procureur de la République près le tribunal d'Oran pour répondre du délit de constitution d'association de malfaiteurs et de réseau international de trafic de drogue.

Ces individus ont été arrêtés dans le cadre de l'enquête menée depuis la saisie, en juillet dernier, d'une quantité de 8 quintaux de kif traité par les éléments de la brigade de lutte contre les stupéfiants et le trafic de drogue. Lors de l'arrestation de ces malfaiteurs, qui détenaient un pistolet et des armes blanches, les policiers ont mis la main sur une quantité de 90 kg de kif.

Ils ont également saisi dans le domicile d'un des mis en cause de faux documents administratifs et un lot de cachets officiels et 8 véhicules qui servaient aux déplacements des membres du réseau. Selon les premiers éléments de l'enquête, la marchandise, produite dans les champs de cannabis au Maroc, transitait par l'Algérie, la Tunisie, la Libye et l'Egypte pour être ensuite acheminée vers les places fortes du trafic de drogue en Europe. Ces nouvelles arrestations interviennent après celle du baron, membre du réseau, qui usait de plusieurs identités dans ses déplacements et de ses quatre complices (femmes) dont deux agents de la daïra d'Oran.

Ce dernier qui recevait la marchandise prohibée était chargé de lui assurer un transit avec le risque zéro. Lors de la saisie des 8 quintaux de drogue au mois de juillet dans la périphérie, les deux chauffeurs convoyeurs ont été interpellés. A ce jour, ce sont pas moins de 16 personnes, membres de ce réseau, qui ont été écrouées, en attendant les suites de l'enquête, rappelle-t-on.

http://www.letempsdz.com//content/view/45227/1/

Le pourvoyeur de drogue est bien le Maroc

Violence urbaine : Rapt, viol, vol et tuerie, le quotidien des Algériens

27/09/2010

Citation :

Peut-on imaginer un monde sans violence ? L'ampleur prise par le phénomène nous contraint, hélas, à répondre par la négative. Violence dans les écoles, au sein des campus universitaires, violence dans les stades, en milieu urbain, la violence est partout. La profusion des cas rapportés quotidiennement par les journaux donne froid dans le dos.

Que ce soit sur les personnes ou contre les biens, le phénomène inquiète encore plus par les nouvelles formes d'expression qu'il prend ces derniers temps.

L'enlèvement et le lâche assassinat du jeune Abderrahim à Bordj Bou Arréridj ou encore les émeutes de Diar Echams sont la preuve que la violence commande désormais le comportement des uns et des autres. Un conflit entre deux adultes peut-il expliquer qu'on s'en prenne à la vie d'un enfant ? Revendiquer son droit au logement doit-il permettre de recourir à des émeutes avec mort d'homme ?

Ces cas de violence restent certes extrêmes et épisodiques, a contrario des agressions physiques sur les paisibles citoyens en vue de les dépouiller de leurs biens, aussi bien en milieu rural que dans les grandes villes. Une situation qui met à mal la notion de sécurité dans notre société et augmente l'inquiétude de ne pouvoir mettre un terme à cette descente aux enfers, favorisée par la délinquance et le trafic de drogue.

Face à la gravité du fléau, il est navrant de constater qu'à ce jour aucune étude sociologique sérieuse n'a traité le phénomène dans toute sa composante.

Car cerner les causes de cette violence et ses auteurs est une chose, apporter les remèdes en est une autre et des plus ardues. S'il est admis que la violence se nourrit de la présence de problèmes sociaux, les remèdes se résument dès lors en le règlement de ces maux, dont en premier lieu celui du logement et de l'emploi, deux éléments à même d'assurer à l'individu une vie décente.

Les dernières opérations de relogement qui ont concerné des milliers de citoyens sont assurément une chose louable. Mais sur les lieux, force est de constater que les premières commodités de vie sociale, comme surtout des écoles pour accueillir dans les meilleures conditions les élèves et des structures de soins font malheureusement défaut.

D'où des classes surchargées, ce qui n'augure rien de bon, sachant que la violence en milieu scolaire est l'une des plus difficiles à combattre. Recourir encore à la violence pour régler un problème de surcharge de classes ? Quel dommage !

Par Zahia B. K.

http://www.letempsdz.com//content/view/45401/1/

Cette criminalité existe dans toutes les grandes métropoles du monde, mais il faut la contenir

Il est vrai que la délinquance commence à prendre des proportions alrmantes. Mais les choses vont évoluer dans le bon sens avec le nouveau patron de la DGSN.

Elle a chanté la célèbre « 1, 2, 3 Viva l’Algérie »

Chaba Nawal arrêtée dans une affaire de vol de véhicules

28/09/2010 - AFP

Citation :

La chanteuse Chaba Nawal, qui s’est distinguée avec son tube « 1, 2,3 Viva l’Algérie », a été arrêtée dans une affaire de vols de véhicules. Selon les services de la police d’Alger, qui ont tout de même refusé de prononcer son nom lors d'une conférence de presse tenue ce lundi 27 septembre au siège de la Sûreté d'Alger, c’est à la justice de déterminer l’implication ou pas de cette chanteuse, devenue en un temps record une véritable icône auprès de la jeunesse, grâce à ses chansons sur le football et l’équipe nationale.

Selon les résultats de l’enquête de la brigade de la recherche et de l’investigation (BRI) de la sûreté da la wilaya d’Alger, la chanteuse est soupçonnée d’être complice d’un réseau de vols de véhicules qui activerait sur tout le territoire national. Les enquêteurs ont obtenu des preuves selon lesquelles la chanteuse a bien loué, en compagnie du cerveau de ce réseau, une voiture auprès d’une agence de location de véhicules établie à Dar El Beida. Si le chef de ce réseau a utilisé une fausse identité, elle par contre, s’est présentée sous son vrai nom, ce qui laisse tout de même des interrogations sur son degré d’implication dans cette affaire.

Le réseau qui a été démantelé est composé de cinq éléments dont l'un, le receleur, reste toujours en fuite. Le chef du réseau est un récidiviste bien connu des services de sécurité. Il a été arrêté à Barrouaghia, dans la wilaya de Médéa, suite au lancement d’un mandat d’arrêt national. Ce réseau a déjà fait des victimes dans les wilayas d’Alger, d’Oran, de Béjaïa et de Ouargla.

Sale fric !

29/09/2010

Citation :

Des entreprises et des institutions sont affectées par ce fléau qui a connu une hausse fulgurante mettant en cause jusqu’à la crédibilité de l’État malgré la multiplication des instruments des dispositifs de prévention et de lutte. Et aucun secteur ne semble échapper à cette “nouvelle” règle où le maître mot est la “tchipa” et la “chkara”.

Citation :

Le parfum sulfureux des scandales de la corruption semble s’installer pour longtemps dans l’hémisphère médiatique national ; seul territoire pour l’instant à en faire un étalage régulier.

Plusieurs affaires sont révélées, des responsables mis en prison en attendant leur jugement. Mais, force est de voir que les mécanismes de lutte mis en place n’ont pas eu beaucoup à faire dans la majorité des cas instruits jusque-là. Dilapidation, enrichissement, usage de faux, vols… occupent régulièrement la une de l’actualité à tel point que qu’il y a confusion des genres. On ne se retrouve plus dans la foule de scandales entre l’abus de biens sociaux, trafic d’influence, délit d’initié, dilapidation ou corruption, cette dernière étant accentuée par ses caractères passif et actif. L’irruption des affaires et son lot de managers mis en examen ou sous mandat de dépôt ont créé un climat de repli chez les dirigeants figés dans une incapacité à prendre le moindre risque.

Des entreprises et des institutions sont affectées par ce fléau qui a connu une hausse fulgurante mettant en cause jusqu’à la crédibilité de l’État malgré la multiplication des instruments des dispositifs de prévention et de lutte. Et aucun secteur ne semble échapper à cette “nouvelle” règle où le maître mot est la “tchipa” et la “chkara” qui ont remplacé la compétence et la transparence.

Hormis l’exception des managers et responsables de banque, qui pourraient dans des circonstances judiciaires normales bénéficier d’une marge “risque” pour leurs actions, les autres cas relèvent du pénal. Ce qui n’est, apparemment, pas perçu de la même manière, étant donné la réticence des pouvoirs publics à répondre à la doléance de dépénalisation du délit économique. C’est-à-dire, le délit de gestion.

À la confusion générale est venue s’ajouter la déclaration du président de l’APN pour justifier son rejet d’une commission d’enquête parlementaire sur la corruption enlevant un autre pan des prérogatives de contrôle des élus.

En définitive, ce combat qui tarde, véritablement, à s’amorcer souffre non pas de mécanismes ou d’instruments mais plutôt du manque d’une forte volonté politique.
Et les relents de l’argent sale continueront à polluer le ciel algérien.

http://www.liberte-algerie.com/edit.php?id=143336

Scipion a écrit:

Sale fric !

Rien de plus vrai malheureusement.

Le crime s’est passé au lac de Réghaïa

Un maquignon assassiné par son ami pour 100 millions de centimes

Liberté - 03/10/2010

Citation :

Trois individus ont été écroués en fin de semaine par le procureur près le tribunal de Rouiba pour homicide volontaire avec préméditation dont a été victime un maquignon. Selon notre source, la victime, S. M., âgée de 26 ans et natif de Zéralda, maquignon de son état, a été retrouvée tuée à l’arme blanche au niveau du lac de Réghaïa. l’enquête diligentée par les éléments de la gendarmerie a permis l’identification et l’arrestation de l’auteur principal de ce crime qui n’est autre que l’ami de la victime.

Il l’a poignardée à mort pour lui subtiliser une somme d’argent de 100 millions de centimes. Selon les faits, la victime a été contactée par l’auteur pour une transaction d’achat des bovins au haouch El-Mekhfi. En toute confiance, il s’est rendu à ce rendez-vous à bord de son camion avec une somme de 100 millions de centimes sans savoir que son “ami” lui préparait un guet-apens avec la complicité de deux autres personnes qui devraient toucher chacun 10 millions de centimes. Une fois arrivé sur les lieux, son “ami” lui a demandé de le conduire jusqu’au lac de Réghaïa où il l’a poignardé de plusieurs coups à l’arme blanche avant de prendre la fuite avec l’argent. L’auteur H. Y. et ses deux complices, B. H. et K. Y., ont été arrêtés et écroués pour association de malfaiteurs, vol et assassinat prémédité.

La victime a été trahie par son meilleur ami en qui elle avait confiance.

Algérie Poste: Des employés détournent des milliards

Publier le 3.10.10

Algérie Poste | Le rythme des détournements d’argent des bureaux d’Algérie Poste devient inquiétant. Des millions, voire des milliards de centimes constituent le montant des trous financiers régulièrement découverts au niveau des agences postales, à travers le pays.

Citation :

Outre les petits escrocs qui vident les comptes CCP des simples usagers, des responsables de bureaux de poste frappent fort et détournent des sommes astronomiques. Profitant de la défaillance, si ce n’est de l’inexistence, d’un système de contrôle vigoureux des retraits, des receveurs et simples employés ont trouvé chez Algérie poste la poule aux œufs d’or. Plusieurs scandales ont été enregistrés ces derniers temps, mais de nouvelles malversations continuent d’éclater et d’éclabousser cette institution financière publique.

Le dernier en date remonte à la semaine passée. Un trou financier de 1 milliard 600 millions de centimes a été découvert à la Grande poste de la wilaya d’Oran. Après enquête, les services de sécurité ont arrêté le comptable principal. La piste d’éventuelles complicités n’est pas à écarter, d’autant que la somme remportée est faramineuse.

Il y a quelques semaines, c’était le receveur principal de la poste d’Ouled Dahmane, dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj, qui a pris la fuite après avoir détourné 1 milliard 700 millions de centimes. Ce n’est qu’après deux mois que des éléments de la Gendarmerie nationale sont parvenus à mettre la main sur cet employé. Il a été retrouvé ligoté dans un lieu isolé, probablement pour faire semblant d’avoir été kidnappé par les voleurs. N’empêche que tous les soupçons pèsent sur lui. On croit savoir que, suite à cette affaire, des responsables d’Algérie Poste dans cette wilaya ont été suspendus de leurs fonctions. D’autres détournements qui se chiffrent en millions ont été opérés.

Il y a quelques jours, le tribunal de Merouana à Batna a prononcé une peine de trois ans de prison ferme à l’encontre du receveur du bureau de poste accusé de détournement de 500 millions de centimes. A Laghouat, un trou financier de 130 millions de centimes a été découvert dans une agence postale de Hassi Delaa. Bien d’autres affaires de détournement ont été rapportées par la presse nationale ou traitées par la justice durant ces dernières semaines. Le point commun entre toutes ces affaires de malversations est l’implication des employés de la poste. Cependant, il reste toujours difficile de contrôler les sommes retirées, même illégalement, par les caissiers de la poste. Et des détournements avérés ne sont découverts que tardivement.

Ce qui fait craindre que la série de malversations qui vise Algérie Poste ne se poursuive indéfiniment en l’absence de mesures, appropriées pour arrêter l’hémorragie des fonds publics. Par le passé, les responsables du secteur avaient tenu à rassurer que les sommes volées sont insignifiantes. Mais depuis, d’autres milliards ont été soutirés, que ce soit pas les employés, les groupes armés qui s’attaquent aux agences postales ou par les escrocs qui n’épargnent pas les comptes courants des simples citoyens.

Dernièrement, le nouveau ministre de la Poste et des TIC, Moussa Benhamadi a annoncé la création d’une police de la poste chargée de veiller sur le bon accueil des usagers. Le ministre n’a cependant rien prévu pour arrêter le feuilleton des détournements. Hier, nos tentatives d’entrer en contact avec le chargé de la communication d’Algérie Poste se sont avérées vaines.

source: Le jour d’algerie

Quel gâchis...

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