De plus en plus d'informateurs pour la CIA - 01 Mai 2010
Citation :
En opposition avec la politique répressive du gouvernement, de nombreux responsables et universitaires iraniens ont finalement choisi de collaborer avec les services de renseignement occidentaux.
Les Etats-Unis font du chantage dans l’affaire nucléaire iranienne, estime un responsable russe 03/05/2010
Citation :
Les Etats-Unis cherchent à faire du chantage dans les négociations avec les partenaires internationaux, autour de l’affaire nucléaire iranienne, selon le Directeur de l’Organisation russe du Désarmement nucléaire. Dans une interview, dimanche, à la chaîne Al-Alam, Alexandre Bakiev a également affirmé que la Russie ne trouvait pas les sanctions une solution adéquate au règlement des problèmes mondiaux.
Nous continuons à encourager, nos partenaires au sein du groupe 5+1, à poursuivre les négociations avec l’Iran, mais il existe malheureusement une certaine réticence ou intolérance surtout de la part du gouvernement américain, a ajouté M. Bakiev. Nous sommes pour le dialogue et le règlement négocié de l’affaire nucléaire iranienne, a précisé Alexandre Bakiev avant d’ajouter :
« C’est avec déplaisir que la Russie et la Chine vont donner leur feu vert, sur certains points, à d’éventuelles nouvelles sanctions contre l’Iran, à condition qu’elles n’aient pas d'effets négatifs sur le quotidien des citoyens iraniens et le pouvoir économique du pays», a souligné le responsable de l’Organisation russe en charge de désarmement nucléaire.
Les Etats-Unis font du chantage dans l’affaire nucléaire iranienne, estime un responsable russe 03/05/2010
Citation :
Les Etats-Unis cherchent à faire du chantage dans les négociations avec les partenaires internationaux, autour de l’affaire nucléaire iranienne, selon le Directeur de l’Organisation russe du Désarmement nucléaire. Dans une interview, dimanche, à la chaîne Al-Alam, Alexandre Bakiev a également affirmé que la Russie ne trouvait pas les sanctions une solution adéquate au règlement des problèmes mondiaux.
Nous continuons à encourager, nos partenaires au sein du groupe 5+1, à poursuivre les négociations avec l’Iran, mais il existe malheureusement une certaine réticence ou intolérance surtout de la part du gouvernement américain, a ajouté M. Bakiev. Nous sommes pour le dialogue et le règlement négocié de l’affaire nucléaire iranienne, a précisé Alexandre Bakiev avant d’ajouter :
« C’est avec déplaisir que la Russie et la Chine vont donner leur feu vert, sur certains points, à d’éventuelles nouvelles sanctions contre l’Iran, à condition qu’elles n’aient pas d'effets négatifs sur le quotidien des citoyens iraniens et le pouvoir économique du pays», a souligné le responsable de l’Organisation russe en charge de désarmement nucléaire.
L'Iran peut techniquement fabriquer une bombe atomique (Tsahal) - 05 Mai 2010
Citation :
TEL AVIV - Plus aucun obstacle technologique n'empêche l'Iran de créer une bombe atomique et son acquisition du statut de puissance nucléaire ne dépend désormais que d'une décision politique, a affirmé le général Yossi Baidatz, rapporte mercredi le service de presse de l'Armée de défense d'Israël.
"Si auparavant l'entrée de l'Iran en possession de l'arme nucléaire se heurtait à des barrières technologiques, aujourd'hui la mise au point d'une bombe atomique par les Iraniens ne dépend que de leur propre décision", a déclaré le général de brigade Baidatz, chef du Département de la recherche des Renseignements militaires, invité à prendre la parole devant la commission des Affaires étrangères et de la Défense de la Knesset.
Par ailleurs, il a confirmé l'information des médias selon laquelle la Syrie avait récemment livré des missiles de longue portée au mouvement libanais Hezbollah, ce qui contredit les résolutions appropriées du Conseil de sécurité de l'Onu.
Selon le général, "ce transfert (de missiles) n'est que le sommet de l'iceberg".
Et de rappeler que le Hezbollah disposait déjà de milliers de missiles de tous genres, dont certains étaient de longue portée et très précis.
Les Etats-Unis et de nombreux pays accusent l'Iran de mettre au point l'arme nucléaire sous couvert de son programme nucléaire civil. Téhéran rejette toutes les accusations en déclarant que son programme nucléaire ne sert qu'à satisfaire les besoins du pays en énergie électrique.
AHMADINEJAD À PROPOS DES MENACES CONTRE SON PAYS - 06 Mai 2010
Aucun pays n’osera attaquer l’Iran
Citation :
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a affirmé qu’aucun pays n’oserait attaquer militairement l’Iran et surtout pas Israël, dont il a minimisé la capacité de se mesurer à son pays.
«Qui veut engager une guerre avec l’Iran? Aucun Etat ne veut cela. Nous estimons que l’amitié est le meilleur moyen de parvenir au dialogue», a déclaré M.Ahmadinejad dans une interview à la chaîne satellitaire du Qatar Al Jazeera.
«Personne n’osera être responsable d’une guerre contre l’Iran», a ajouté le président iranien, qui a participé à New York à la conférence de suivi du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). Interrogé sur l’éventualité d’une attaque lancée par Israël, il a répondu:
«Pour nous, Israël ne représente rien comparé à la puissance de l’Iran. La guerre est la guerre, les sionistes ont-il le moyen de la mener contre l’Iran?», s’est-il interrogé.
Biden:l'Iran s'exposera à un isolement croissant s’il se dote de l’arme atomique
Citation :
6/05/2010 - Les Etats-Unis ont mis en garde jeudi contre le risque d'une course aux armements nucléaires au Moyen-Orient si l'Iran se dote de l'arme atomique, menaçant Téhéran de "conséquences" et d'"un isolement croissant" faute de changement dans sa politique.
"L'Iran fait face à un choix très clair, respecter les règles internationales et rejoindre la communauté des nations responsables, ce que nous espérons, ou subir de nouvelles conséquences ainsi qu'un isolement croissant", a déclaré le vice-président américain Joe Biden dans un discours devant le Parlement européen à Bruxelles.
"L'Iran avec son programme nucléaire a violé ses obligations" liées au traité international de non-prolifération "et menace de provoquer une course aux armements nucléaires au Moyen-Orient".
Biden a jugé qu'il serait "paradoxal" de voir démarrer une telle course aux armements dans cette région, "l'une des plus instables du monde", alors que l'Europe en a fini avec la sienne lors de la chute du Rideau de fer.
L'Iran prêt à négocier un endroit pour un échange de combustible - 08 Mai 2010
Citation :
Le gouvernement iranien est prêt à négocier un endroit pour un échange de combustible dans le cadre d'un accord avec l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), si cet échange est immédiat, c'est ce qu'a déclaré vendredi l'ambassadeur d'Iran au Brésil, Mohsen Shaterzadeh.
L'Iran a "posé des conditions pour enrichir de l'uranium hors du pays: que l'échange soit immédiat, sans avoir à attendre que le matériel soit enrichi et que cela se fasse en territoire iranien", a précisé M. Shaterzadeh lors d'une conférence de presse à Brasilia. "Si cette première condition est résolue, la seconde peut trouver une solution", a-t-il ajouté.
Un drone US a tenté de s’approcher de la zone des manœuvres iraniennes - 11 Mai 2010
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Selon Faresnews un drone US a tenté de s’approcher de la zone des manœuvres militaires navales iraniennes « Vilayat 89 » sauf qu’il a été forcé à rebrousser chemin suite aux avertissements très sérieux émis de la part de la défense maritime iranienne.
« Hier les forces marines iraniennes ont remarqué l’approche d’un drone US de la zone des manœuvres, mais il a vite pris la fuite après un avertissement de la défense militaire navale iranienne », a déclaré le commandant en chef de l’armée le général Ataollah Salehi lequel a annoncé le lancement avec succès des missiles de longue portée sol-mer en ce septième jour de « Vilayat 89 ». Soulignant que l'un de ces missiles était plus perfectionné que l'autre parce qu'il n'a pas besoin d’une rampe de lancement...
Il a indiqué que « les pays occidentaux ont apparemment compris notre message à travers ces manœuvres militaires, puisque déjà leurs navires qui se trouvent dans la région, se sont éloignés de la zone des manœuvres à plus de 300km : ils ont compris que la République islamique d’Iran est très sérieuse quant à la défense et la protection de ses intérêts » !
Il a ajouté que les forces navales de l'Armée s’efforcent à travers les manœuvres militaires de préserver les intérêts de la République islamique dans l'océan Indien et le golfe d'Aden. Par ailleurs, Salehi a indiqué qu’un navire commercial étranger a pris feu, signalant que les hélicoptères de l'armée sont intervenus pour sauver les blessés qui ont été emmenés vers le port de Bandar Abbas en Iran.
Nucléaire iranien : Lula "optimiste" sur un accord
dimanche 16 mai 2010
Citation :
Le président brésilien rencontre son homologue iranien pour tenter de trouver une solution de "la dernière chance" avant l’adoption de nouvelles sanctions par le Conseil de sécurité contre Téhéran.
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva demeure "optimiste" sur l’évolution des discussions en cours pour trouver un compromis dans le dossier nucléaire iranien, a déclaré dimanche 16 mai un membre de la délégation accompagnant le président Lula à Téhéran.
Les dessous de la libération de la jeune Française
Citation :
La libération de la jeune universitaire française, travaillant en Iran, Clotilde Reiss, par la justice iranienne, elle qui était accusée d'espionnage, mise en prison avant d'être mise en résidence à l'ambassade de France à Téhéran pour avoir envoyé des images et des informations aux services de renseignements de son pays sur les manifestations survenues en Iran l'été dernier, cache des dessous que les autorités françaises taisent à dessein.
Les autorités iraniennes ont négocié cette libération avec brio, avec leurs homologues français, qu'elles considèrent comme ennemis intransigeants du fait des positions tranchées de l'Iran sur Israël. Des négociations qui ont duré une dizaine de mois, le plus souvent dans le silence et le secret absolu,
les Iraniens ont tiré un maximum de bénéfices. Premier point inscrit à l'actif des autorités iraniennes, la justice iranienne a levé l'interdiction de quitter le sol iranien signifiée à la jeune Française en contrepartie du versement d'une amende évaluée à quelque 350 000 euros.
Cette levée lui a ainsi permis de regagner son pays. L'amende a été payée par l'ambassade de France à Téhéran. A ce sujet, l'opinion publique française a appris cette information en se demandant pourquoi les dirigeants français se sont murés dans un silence embarrassant sur cette question, d'autant que personne n'a expliqué qui va rembourser cette somme prélevée sur l'argent du contribuable.
Espionne «volontaire»
La jeune Reiss, 23 ans, qui paraît-il manie bien la langue iranienne, le farsi, est lectrice de français à l'université d'Ispahan. Elle a déjà eu maille à partir avec la justice iranienne en mars 2009, soit un mois seulement après son arrivée en Iran. Elle a été accusée par le ministère iranien du Travail d'avoir exercé son métier à l'université d'Ispahan au noir, lors d'un précédent séjour au pays.
Elle a été ainsi condamnée à une amende d'environ 3000 euros. En réalité, elle est pistée sans relâche par les agents iraniens, pour ses accointances avec l'opposition iranienne dans les milieux universitaires, qui lui reprochent l'intelligence avec une puissance étrangère, la France.
Ces reproches se sont vérifiés lors des manifestations de l'opposition après la réélection du président Ahmadinejad, en juin 2009. Arrêtée, elle est accusée d'avoir diffusé des photographies de manifestants prises au cours d'une émeute à Ispahan. Lors de son procès,
en compagnie d'un grand nombre d'opposants qui était diffusé par la télévision, Reiss a reconnu avoir pris part aux manifestations des 15 et 17 juin à Ispahan et d'avoir rédigé un «rapport» sur ces manifestations à l'intention du directeur de l'Institut français de recherche en Iran , qui dépend du service culturel de l'ambassade de France, selon la presse française.
L'espionne «volontaire», selon un ancien sous-directeur de la DGSE, a également reconnu avoir rédigé par le passé, dans le cadre d'un stage au commissariat à l'énergie atomique de son pays où travaille son père, un rapport sur «les politiques en Iran en lien avec l'énergie nucléaire».
Elle a en revanche expliqué à sa décharge qu'elle avait utilisé «des articles et des informations qu'on trouve sur internet». En France, au lendemain de son retour, son statut d'espionne est sujet à polémique, dans les médias surtout.
Tractations silencieuses juteuses
Rapatriée dans un avion présidentiel depuis Dubaï, où cette femme à qui tout le monde attribue le qualificatif d'«otage» était arrivée sur un vol régulier de Téhéran, Reiss est reçue par Sarkozy à l'Elysée, avant d'être présentée devant la presse pour une brève déclaration qu'on lui a sifflée.
Elle est gentiment «empêchée» de répondre aux questions des journalistes sur le perron de l'Elysée par le chef de la diplomatie française, Bernard Kouchner, sans doute de crainte qu'elle révèle quelques détails sur les négociations ayant conduit à sa libération, qui risquent de compromettre les tenants du pouvoir.
Mais la bombe est lâchée par l'ancien sous-directeur de la DGSE, Pierre Siramy, de son vrai nom Maurice Dufrenne, pour qui la jeune femme était «immatriculée à la DGSE». Siramy a même affirmé que Reiss «avait travaillé sur l'Iran au profit de la France pour collecter des informations qui étaient de nature de politique intérieure et d'autres qui étaient sur la prolifération nucléaire».
L'ancien officier a révélé aussi que «Clotilde Reiss s'était présentée d'elle-même à l'ambassade, dès son arrivée en Iran. Un engagement que les autorités locales avaient découvert avant de l'arrêter en juillet 2009». Aussitôt, une avalanche de ripostes tombe dans les médias français de tout côté pour mettre en doute ces affirmations. L'homme est traité de tous les noms, ses propos sont qualifiés de «ridicules» et de «fantaisistes» et il lui est fait grief de faire la promotion de son livre sur les services secrets, en utilisant cette affaire.
Mieux encore, le ministre français de la Défense, Pierre Morin, rappelle avoir déposé une plainte contre l'ancien membre des services français, le mois dernier, à la suite de la publication du livre 25 ans dans les services secrets. Il lui est ainsi reproché d'avoir violé le secret de la défense nationale, le secret professionnel et divulgué les identités de personnes protégées.
Et si cet homme disait la vérité ?
La semaine dernière, le parquet de Paris a ordonné l'ouverture d'une enquête préliminaire, confiée à la direction centrale du renseignement intérieur, selon les médias. Ces derniers rappellent à l'ancien agent qu'en vertu de l'article 413-10 du code pénal, «la seule violation du secret de la défense nationale par toute personne dépositaire, soit par état ou profession, soit en raison d'une fonction ou d'une mission temporaire ou permanente d'un secret relatif à la défense nationale, est susceptible d'entraîner une condamnation à 7 ans de prison et à 100 000 euros d'amende».
Et si cet homme disait la vérité ? L'ancien agent qui a quitté les renseignements en 2009 dit tenir ses informations «d'amis» toujours en poste. Au sujet de Reiss, il estime qu'en divulguant son statut, c'est une manière de la féliciter et aussi «pour montrer que la DGSE n'est pas inactive et est présente sur le terrain». Cependant, à la DGSE, un démenti ferme a été apporté à ces allégations.
Second succès réalisé par l'Iran, la libération par la justice française de deux ressortissants iraniens, qui sont aujourd'hui rentrés dans leur pays. Il s'agit d'abord d'un ingénieur iranien, Majid Kakavand, arrêté à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle (Paris), le 20 mars 2009, et condamné à six mois de prison, pour ensuite être assigné à résidence à Paris. Demandé par les Etats-Unis, cet homme a pu quitter la France pour son pays, le 7 mai.
Deux jours plus tôt, la cour d'appel de Paris venait de refuser son extradition vers les Etats-Unis, qui avaient lancé contre lui un mandat d'arrêt international. Il faut rappeler que cet ingénieur iranien est accusé par la justice américaine d'avoir enfreint les sanctions économiques et commerciales infligées à son pays.
Son affaire est simple. «Le département de la justice des Etats-Unis reproche à ce technicien d'avoir, entre 2006 et 2008, acheté du matériel électronique à des sociétés américaines par une de ses sociétés en Malaisie, contournant ainsi l'embargo décrété sur l'Iran. Réexportés ensuite vers l'Iran, ces équipements auraient pu servir à perfectionner des missiles», selon la version diffusée par les médias. Il est en quelque sorte victime de son patriotisme, ce qui n'est pas un crime, bien au contraire, quand il s'agit des ressortissants occidentaux.
Mardi dernier, la France «expulse» vers l'Iran Ali Vakili Rad, condamné en 1991 à perpétuité assortie d'une peine de sûreté de 18 ans, pour l'assassinat de Chapour Bakhtiar, ex-Premier ministre du shah d'Iran. Pour cela, il a fallu que le ministre français de l'Intérieur signe un arrêté d'expulsion permettant à la justice d'entériner sa libération conditionnelle, lui qui l'avait demandée quelques mois auparavant en pleines tractations entre les diplomaties française et iranienne sur ces affaires.
Victoire sur le dossier du nucléaire
Enfin, l'autre victoire obtenue par l'Iran a trait à son dossier nucléaire. Alors que les puissances occidentales ont réagi à l'accord tripartite signé entre l'Iran, le Brésil et la Turquie, au sujet de l'échange d'uranium, soit par des réserves soit en continuant les pressions contre Téhéran, l'Elysée y voit «des signes positifs».
Il faut rappeler que la France est l'un des pays les plus virulents avec Israël, à l'égard du dossier nucléaire iranien. La sortie française à ce sujet devrait être «confirmée» lors du vote prochain de sanctions par le Conseil de sécurité contre les dirigeants iraniens.
Il faut rappeler aussi que l'enrichissement des 120 kg d'uranium à 20%, qui devraient, en vertu de l'accord tripartite Iran-Brésil-Turquie, revenir à Téhéran, sur les 1200 kg prévus, qui seront remis à la Turquie, va rapporter des profits à la France. C'est que ce pays a été choisi pour cette mission bien juteuse.
A présent que les médias français et internationaux évoquent des tractations secrètes entre Paris et Téhéran, l'important pour Sarkozy est de faire remonter sa cote de popularité dans les sondages et de tirer profit pour son pays au bord de la crise économique et financière sans précédent, de ces «marchandages» juteux.
Dans les conflits d'aujourd'hui, moi je perçois les bases de futurs alliances stratégiques
Foxbat16
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Sujet: Re: Iran Jeu 3 Juin 2010 - 17:07
Iran : Les USA espèrent un vote à l’ONU sur des sanctions d’ici le 21 juin
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Les Etats-Unis espèrent que le Conseil de sécurité de l’ONU se prononcera sur une résolution infligeant de nouvelles sanctions contre l’Iran au plus tard le 21 juin, a indiqué hier le porte-parole du département d’Etat, Philip Crowley. « Le président (Barack Obama) a dit qu’il voulait que cela soit fait avant la fin du printemps », a-t-il déclaré : « Est-ce le 20, ou le 21 ? Ce sera donc entre aujourd’hui et cette date ». Le Conseil poursuit l’examen des annexes du projet qui a été soumis par les Etats-Unis en vue de sanctionner les activités nucléaires de l’Iran. L’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA) vient de se dire « inquiète de la possibilité d’existence en Iran d’activités cachées liées au nucléaire, passées ou actuelles, impliquant des organisations liées à l’armée ».