les mauritaniens ne sont pas vos voisins du sud, selon les cartes geografics des nations unies, il n’a pas des frontierres entre le maroc et la mauritanie..entre les duex pays il y’a le sahara occidental…les mauritaniens oficielement sont contre l’ocupation du sahara occidental, ils ne veulent pas des frontieres avec le maroc, parce qu’ils ne veulent pas des problemes, tous les pays qu’ont des frontieres avec le maroc ont des problemes ,sans exception !!alors l’interét des mauritaniens c’est d’avoir un sahara occidental independant pour que la fenétre des problemes soit fermé une fois pour toute, pour eux !!et c’est pour cette position politic que le maroc,peut etre derriere cette tentative d’assasinat, j’en suis sur, le regime alauite a une longue experience dans ce genre d’affaires…
Commentaire déposé par "anti-abrutis" 14 novembre 2012 - 18 h 26 min
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Ce sont les délires d’Allal Fassi sur son Grand Maroc qui incluait la Mauritanie qui est à l’origine des problèmes.En plus ,malgré l’indépendance de ce pays, proclamée en 1960 et son admission juste après au sein de l’ONU et de l’OUA,Hassan II ne l’a reconnue qu’en 1969 lors d’un sommet de l’Union des Etats Arabes.Par ailleurs le Maroc officiel a toujours regardé la Mauritanie d’en haut,comme si c’etait un etat vassal et a semble-t-il eté impliqué dans le renversement des Présidents qui ne lui etaient pas favorables sur l’affaire du Sahara Occidental.Cette attitude d’Allal Fassi et de HassanII de considerer que la Mauritanie fait partie du Maroc a rendu un mauvais service à ce dernier ,le faisant passer pour un pays expansionniste aux yeux de la communauté internationale.Pour rappel,je me demande pourquoi Allal Fassi n’a pas inclus l »Espagne dans le Grand Maroc,car elle était à l’époque sous la domination des Amoravides et des Almohades .Voila comment les erreurs du passé se paient aujourd’hui au prix fort
Sujet: La presse mauritanienne accuse le Maroc Dim 18 Nov 2012 - 19:15
Tirs contre Ould Abdelaziz : La presse mauritanienne accuse le Maroc
Par Kaci Haider | 18/11/2012 | 18:37
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La Mauritanie aurait fait savoir à un pays “ami” qu’elle accuse le Maroc d’implication dans une tentative d’assassinat contre le président Mohamed Ould Abdelaziz et tout en dénonçant les exactions commises par le royaume au Sahara Occidental occupé.
La Mauritanie aurait officiellement communiqué à ce pays que l’incident du 13 octobre était en vérité une “tentative d’assassinat” qui visait le président mauritanien et que le Maroc “est indexé” dans l’incident, et ce contrairement à la version officielle selon laquelle Mohamed Ould Abdelaziz a été victime de tirs par “erreur”.
Ces graves accusations à l’encontre du Royaume chérifien sont rapportées par l’agence mauritanienne Al Akhabar à l’instar de plusieurs autres titres de la presse mauritanienne contestant ainsi la thèse d’un accident. Certains titres impliquent aussi le Qatar dans cette affaire de tentative d’assassinat.
Selon le site mauritanien Aqlame, le président Mohamed Ould Abdelaziz, en convalescence dans un hôpital parisien après qu’il ait été blessé par balles à Nouakchott dans d’étranges circonstances, a refusé de recevoir un émissaire du roi Mohamed VI, Riad Ramzi, qui fait office de chargé d’affaires de l’ambassade du Maroc à Paris, venu lui souhaiter un prompt rétablissement.
Toujours selon la même source ce refus créditerait bien cette thèse de l’implication du Royaume dans l’attaque contre le président mauritanien.
Les motivations d’une telle entreprise, selon la presse mauritanienne, serait la position mauritanienne sur le dossier du Sahara occidental favorable à l’indépendance de ces territoires occupés, même si les relations entre Rabat et Nouakchott n’ont jamais été au beau fixe, bien avant l’arrivée au pouvoir Ould Abdelaziz.
La Mauritanie obtient 800 millions de dollars de financements auprès de quatre institutions financières arabes
2014-01-28 17:18:59 xinhua
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Le gouvernement mauritanien a signé, lundi à Nouakchott, cinq conventions de financement d'une valeur globale de 800 millions de dollars avec quatre institutions financières arabes, a-t-on appris de source officielle. Ces conventions, qui concernent le Fonds saoudien de développement, le Collectif Rajihi, le Fonds arabe de développement économique et social (FADES) et l'Autorité arabe pour le développement agricole, ont été signées en marge des travaux du Forum de l'investissement en Mauritanie ouvert depuis dimanche à Nouakchott.
Ces financements sont destinés à des projets dans les secteurs de la pêche, du développement rural et des banques, indique-t-on de même source sans autres précisions sur les montants attribués par chacune des institutions financières.
Les conventions de financement ont été signées, côté mauritanien, par les ministres des Affaires économiques, des Pêches et du Développement rural ainsi que par le gouverneur de la Banque centrale de Mauritanie.
Un mort et plusieurs blessés dans une manifestation contre la profanation du Coran à Nouakchott
03/03/2014
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Les forces de l'ordre mauritaniennes ont réprimé violemment, lundi, à Nouakchott des manifestations contre la profanation du saint Coran par des inconnus, faisant un mort et plusieurs blessés dans les rangs des manifestants, a-t-on appris de source hospitalière.
La victime est "un jeune homme dont le boubou avait pris feu et qui avait été évacué en urgence au Centre hospitalier national où il a succombé à ses blessures", affirme une source médicale.
Le nombre de blessés n'a pas été précisé.
Des milliers de manifestants ont convergé vers la présidence de la République ce lundi pour exprimer leur colère contre les images de profanation du Coran diffusées, dans la soirée du dimanche à lundi, par la chaîne qatarie Al Jazeera, captée en Mauritanie.
Dans ces images vidéo, des téléspectateurs affirment avoir vu des inconnus investir une mosquée dans un quartier du nord de la capitale mauritanienne, déchirer des exemplaires du Coran et jeter d'autres livres saints dans une fosse sceptique.
"Ces inconnus enturbannés, venus à bord d'une voiture aux couleurs sombres, ont déchiré le Coran et même introduit certains exemplaires dans les toilettes", témoigne une journaliste qui habite le quartier où les faits ont eu lieu.
Les manifestants protestaient contre "cet acte de profanation" du Coran et exigeaient du gouvernement "l'application de la charia (loi islamique) à l'encontre de ses auteurs".
Des unités de la police ont dispersé la manifestation à coups de grenades lacrymogènes et matraques, auxquels les manifestants ont répondu en dressant des barricades avec des pneus brulés et en jetant des pierres aux policiers.
Les manifestants, pour la plupart des jeunes, ont exprimé leur colère contre le régime qu'ils accusent " d'afficher un froid face au cas de profanation et d'hérésie devenus de plus en plus fréquents".
En janvier dernier, des milliers de Mauritaniens avaient manifesté pour protester contre un article jugé "blasphématoire" portant atteinte au prophète Mohamed, exigeant la peine de mort contre son auteur.
L'auteur de cet article, un jeune Mauritanien de 28 ans, accusé d'"apostasie", fait actuellement l'objet d'une instruction judiciaire.