Forum défense et géopolitique
Le Webmaster et les membres du forum vous souhaitent la bienvenue et vous invitent cordialement à les rejoindre en vous inscrivant
Hollande réclame une résolution rapide 202p_210
Hollande réclame une résolution rapide Image310
Forum créé le 1er Février 2010
Forum défense et géopolitique
Le Webmaster et les membres du forum vous souhaitent la bienvenue et vous invitent cordialement à les rejoindre en vous inscrivant
Hollande réclame une résolution rapide 202p_210
Hollande réclame une résolution rapide Image310
Forum créé le 1er Février 2010

Forum défense et géopolitique

 


AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
Le deal à ne pas rater :
Cdiscount : -30€ dès 300€ d’achat sur une sélection Apple
Voir le deal
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez|

Hollande réclame une résolution rapide

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage

Foxbat16
Foxbat16

Administrateur

Administrateur

Messages : 2892
Points actifs : 4005
Localisation : Bab El Oued
Inscription : 11/04/2010
Nationalité : Algérie

Hollande réclame une résolution rapide Empty
MessageSujet: Hollande réclame une résolution rapide Hollande réclame une résolution rapide EmptyJeu 27 Sep 2012 - 5:56

Mali : pour Hollande, une étape est franchie

Hollande réclame une résolution rapide 850f6868-07fa-11e2-bd90-0cd123800b47-493x328
Des militants islamistes armés, venant de plusieurs pays africains,
patrouillent dans Gao, la grande ville du nord du Mali, la semaine dernière.


Citation :
Le président français a réclamé une résolution rapide de l'ONU pour une intervention militaire.

Sur au moins une des «urgences» dont parlait François Hollande, les réunions auront été utiles. Si sur la question syrienne ou la menace iranienne les discussions diplomatiques en marge de l'Assemblée générale des Nations unies n'ont pas fondamentalement changé la donne, sur la crise sécuritaire au Mali le chef de l'État s'est félicité mercredi qu'une «étape importante (puisse) être franchie».

Avant de quitter New York, le président de la République a participé mercredi matin à une réunion de «haut niveau»: quarante et un participants, dont plusieurs de premier plan comme le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon, la secrétaire d'État américaine Hillary Clinton, le président du Conseil européen Herman Van Rompuy, le président du Nigeria Goodluck Jonathan, le président de l'Union africaine, le président du Bénin, des représentants du Niger, du Sénégal… et François Hollande, décidé à prendre un leadership sur ce dossier qui concerne de près la France. Une partie du Mali est aujourd'hui hors de contrôle: les groupes terroristes contrôlent le nord du pays.

«Ce qui se produit au Nord-Mali n'est pas un défi pour l'autorité de ce pays seulement, c'est une menace pour l'Afrique de l'Ouest et le Maghreb mais aussi pour l'ensemble de la communauté internationale», a affirmé François Hollande à la tribune. «Nous ne pouvons pas accepter ces mains coupées, ces femmes violées, ces enfants déplacés. Nous ne pouvons pas accepter que le terrorisme puisse se structurer sur un territoire.» Le principal obstacle à une intervention internationale a été levé. Les autorités maliennes - qui sont parvenues à s'entendre malgré leurs divergences - ont finalement saisi la Communauté des États de l'Afrique de l'Ouest (Cedeao), l'Union africaine et l'ONU pour qu'une «force de stabilisation» puisse entreprendre la reconquête du pays.

François Hollande a apporté son soutien à cette future intervention. «La France soutient pleinement cette initiative. Elle demande qu'il y ait le plus tôt possible une nouvelle réunion du Conseil de sécurité», a-t-il ajouté. L'adoption d'une résolution permettrait de donner le cadre légal indispensable à l'intervention. François Hollande a aussi approuvé l'envoi d'un émissaire spécial des Nations unies.

Toutes les difficultés ne sont pas levées pour autant. Le secrétaire général Ban Ki-moon a recommandé que «toute solution militaire pour résoudre la crise sécuritaire au Nord-Mali (soit) envisagée avec extrême prudence». «Je sais qu'il peut y avoir une tentation de mener des négociations», a commenté François Hollande. Mais «négocier avec des groupes terroristes, il ne peut en être question. Toute perte de temps, tout processus qui s'éterniserait ne pourrait faire que le jeu des terroristes». Le chef de l'État évite cependant de donner une indication sur le délai avant une intervention: question de semaines ou de mois? Il souhaiterait aller vite. Il repousse l'hypothèse d'organiser des élections dans le pays tant que le territoire n'a pas été reconquis.

La France ne maîtrise pas tous les paramètres. Le soutien de la France se limitera «au plan logistique», a insisté François Hollande en récusant officiellement l'idée d'une action militaire directe. «Ce sont les Africains qui ont la clé de la situation si nous savons les appuyer», a-t-il ajouté. La composition de la force de stabilisation est donc encore incertaine.

L'autre problème concerne la sécurité des otages français, menacés directement par Aqmi en cas d'intervention française. «On ne peut pas conditionner notre position sur le Nord-Mali par rapport à la question des otages», a expliqué le président. Le chef de l'État a pris acte d'une volonté de contact des ravisseurs. «La France fera tout pour la libération de ses ressortissants», a assuré le chef de l'État.
http://www.lefigaro.fr/international/2012/09/26/01003-20120926ARTFIG00799-mali-pour-hollande-une-etape-est-franchie.php
Revenir en haut Aller en bas

Hollande réclame une résolution rapide

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut

Sujets similaires

-
» La résolution 2085 du CS/ONU
» Force africaine d’intervention rapide
» Force US d'intervention rapide [Séville]
» La résolution du CS/ONU
» Nouvelle résolution de l'ONU sur l'autodétermination
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Forum défense et géopolitique :: Les Points Chauds :: Risque terroriste au Sahel
-