Flambée des prix des fruits et légumes ( 10/04/2010

Citation :

Alger- Les prix des fruits et légumes, ainsi que des autres produits alimentaires de large consommation, connaissent une hausse vertigineuse. L’oignons a atteint les 100 DA, le piment 140 Da et la tomate 100 DA.

Le pauvre citoyen ne va plus au marché et se contente de pomme de terre dont le prix est encore stable.

Lire la suite ici :: http://ennaharonline.com/fr/news/4367.html

L'inflation incontrôlée commence à prendre des proportions inquiétantes à la veille de ramadan.

Spéculation sur la mercuriale des fruits et légumes - 29 Avril 2010

"Même les produits de saison n’y échappent pas"

Citation :

La mercuriale des fruits et légumes, qui reste insaisissable d’un marché à l’autre, ne cesse de provoquer l’ire des consommateurs oranais, ces derniers temps. Cette colère est provoquée notamment par l’illogisme criard, qui régule les prix des produits, sans respect aucun de la loi de l’offre et de la demande.



Le malaise est d’autant plus perceptible que même les prix des produits de saison (fèves, petits pois, poireaux, fraises et nèfles) subissent le poids d’une spéculation effrénée exercée à outrance par certains mandataires, dont le premier souci est d’engranger le maximum d’argent en un temps record. A l’approche, à grands pas, du mois de ramadhan, souvent synonyme de grands dépenses pour les ménages oranais, d’aucuns espèrent vivement que les responsables du secteur pensent et en urgence à un véritable plan de bataille, qui contrerait les mauvais desseins des spéculateurs et qui aiderait les citoyens à se sortir, sans grands dommages, de cette période de jeune pourtant mois sacré de piété et de vénération.

Il est vrai que l’Etat, depuis deux années déjà, a mis en place un plan d’emmagasinement de certains produits de large consommation, notamment la pomme de terre.

Le but de ce plan est de réguler les prix sur les étals. Mais, force est de constater qu’il faudra encore quelques années pour que cette stratégie donne ses fruits.
Pour preuve, dans certains quartiers d’Oran, comme haïs Khemisti et Akid Lotfi, même les produits, pourtant bel et bien subventionnés par l’Etat, tel le lait, sont soumis à la loi de la spéculation étant cédé à 30 DA au lieu de 25 DA.

S. Makhlouf

http://www.echo-doran.com/alaune.html

Avez vous remarqué que les prix ne sont même pas affichés?

ALIMENTATION, HABILLEMENT, ÉLECTROMÉNAGER...06 Mai 2010

Les riches n’achètent pas algérien

Citation :

Une nouvelle catégorie sociale a fait son apparition, elle dépense sans compter, plus par ostentation que par nécessité. Elle incarne l’image d’un système qui a fait la part belle aux opportunistes.

http://www.lexpressiondz.com/article/8/2010-05-05/76038.html

Tous les produits sont concernés

Aucune limite pour la hausse des prix

Citation :

Les prix flambent. Ils crachent même du feu. La tendance à la hausse ne fait que s'imposer de jour en jour. Cette folie constatée sur le marché national touche aussi bien les produits de large consommation que les fruits et légumes, ainsi que les produits cosmétiques.

http://www.letempsdz.com//content/view/37628/84/

Bref, c'est l'anarchie totale

Hind-mk3 a écrit:

Bref, c'est l'anarchie totale

Les contrôleurs des prix ont une part de responsabilité dans ce qui arrive sur les étals

L’augmentation des prix de certains produits en Algérie pourrait porter un coup au pouvoir d’achat des familles aux revenus les plus modestes.

Scipion a écrit:

L’augmentation des prix de certains produits en Algérie pourrait porter un coup au pouvoir d’achat des familles aux revenus les plus modestes.

Mais il faut dire que les spéculateurs en sont responsables

Algérie: Le prix raisonnable de la viande n’est pas pour demain

Publier le 19.05.10

Citation :

En effet, le prix actuel d’un kilogramme de viande, qui oscille entre 850 DA et 1 000 DA, n’est en réalité pas ce qu’il devrait être sur les marchés pour peu que les différents intervenants de la chaîne s’organisent et se modernisent.

http://www.city-dz.com/algerie-le-prix-raisonnable-de-la-viande-n%e2%80%99est-pas-pour-demain/

Hind-mk3 a écrit:

Algérie: Le prix raisonnable de la viande n’est pas pour demain

Publier le 19.05.10

Citation :

En effet, le prix actuel d’un kilogramme de viande, qui oscille entre 850 DA et 1 000 DA, n’est en réalité pas ce qu’il devrait être sur les marchés pour peu que les différents intervenants de la chaîne s’organisent et se modernisent.

http://www.city-dz.com/algerie-le-prix-raisonnable-de-la-viande-n%e2%80%99est-pas-pour-demain/

Les spéculateurs doivent être durement sanctionnés par l'Etat, surtout que Ramadhan karim arrive à grands pas.

19-05-2010 - Il se situe à 5,2%

Citation :

Le taux d'inflation en légère baisse
Le rythme d'inflation en glissement annuel a atteint 5,2% en avril (avril 2010 - avril 2009), un taux légèrement en baisse par rapport à celui enregistré en mars avec 5,3%, a indiqué l'Office national des statistiques (ONS).

http://www.letempsdz.com//content/view/38078/1/

C'est déjà pas mal si les autorités financières arrivent à stabiliser le taux d'inflation. Pour cela, les causes doivent être analysées avec précision

Hind-mk3 a écrit:

C'est déjà pas mal si les autorités financières arrivent à stabiliser le taux d'inflation. Pour cela, les causes doivent être analysées avec précision

C'est bien ça, il faut combattre le mal à sa racine, de façon permanente

Je me demande où sont passées les associations de protection des consommateurs ?

Tarek a écrit:

Je me demande où sont passées les associations de protection des consommateurs ?

Leur existence ne dure que l'espace d'un mois sur douze

scalp a écrit:

Tarek a écrit:

Je me demande où sont passées les associations de protection des consommateurs ?

Leur existence ne dure que l'espace d'un mois sur douze

C'est bien dommage, le pauvre consommateur demeure impuissant face aux spéculateurs

Tarek a écrit:

scalp a écrit:

Tarek a écrit:

Je me demande où sont passées les associations de protection des consommateurs ?

Leur existence ne dure que l'espace d'un mois sur douze

C'est bien dommage, le pauvre consommateur demeure impuissant face aux spéculateurs

Les nouvelles mesures vont largement protéger le consommateur

Hind-mk3 a écrit:

Tarek a écrit:

scalp a écrit:

Tarek a écrit:

Je me demande où sont passées les associations de protection des consommateurs ?

Leur existence ne dure que l'espace d'un mois sur douze

C'est bien dommage, le pauvre consommateur demeure impuissant face aux spéculateurs

Les nouvelles mesures vont largement protéger le consommateur

Encore faudrait-il que les controleurs fassent correctement leur boulot

Les produits alimentaires flambent : Qui doit réguler le marché ? - 30 mai 2010

Citation :

A deux mois du ramadhan, où les prix augmentent davantage, les consommateurs ne savent plus à quel saint se vouer.

A qui se plaindre ? Une question que le consommateur algérien se pose quotidiennement, mais à laquelle il ne trouve toujours pas de réponse.

D’autant plus que les associations de protection des droits du consommateur en Algérie n’arrivent toujours pas à s’affirmer en tant qu’interlocuteur des pouvoirs publics. Les 50 associations de protection et de défense des consommateurs répertoriées à travers le territoire national ne semblent pas être entendues.

Pourtant leur mission est bien précise : protéger la santé du consommateur, sa sécurité vis-à-vis des produits mis sur le marché ainsi que son pouvoir d’achat. Chose qui n’est pas concrétisée sur le terrain au détriment des plus démunis qui sont victimes de la cherté de la vie. Il est donc indispensable que ces associations soient dotées d’une solide formation juridique afin qu’elles puissent défendre les intérêts du consommateur.

Elles doivent élaborer des plans d’action en développant leurs activités dans le cadre des prérogatives que leur confère la législation algérienne. D’autre part, le ministère du Commerce est souvent sollicité quant à l’augmentation vertigineuse des produits alimentaires, mais aucune réponse appropriée n’a été jusque-là communiquée.

Ce dernier se contente d’entreprendre des mesures aptes à réguler le marché face à l’offre et la demande. Autrement dit, il s’occupe de la disponibilité des produits sur le marché et parfois de la qualité, mais le contrôle des prix n’est pas de son ressort.

«L’Algérie a adopté l’économie de marché. Dans ce cas-là, les prix sont libres. Le marché ne peut être régulé par le ministère du Commerce car répondant à la loi de l’offre et de la demande», ce sont généralement les réponses fournis par le premier responsable du secteur et ses collaborateurs. Le ministère du Commerce, censé réguler le marché, trouve toutefois refuge derrière ce prétexte.

La loi sur la concurrence pour réprimer la hausse

Toutefois, le gouvernement a décidé de confectionner une loi qui permettrait à l’Etat d’intervenir pour stabiliser les prix. C’est la loi modifiant et complétant l’ordonnance n° 03-03 du 19 juillet 2003 relative à la concurrence, dont l’avant-projet a été approuvé en conseil des ministres récemment. A travers cette loi, l’Etat devra intervenir pour réguler les prix et fixer les marges bénéficiaires. Le but est de protéger le pouvoir d’achat et éviter les situations de monopoles et de spéculations.

Le chargé de la communication au niveau du ministère du Commerce, Farouk Tifour, avait souligné dans une précédente sollicitation du Temps d’Algérie que «la révision de cette loi permettra à l’Etat d’intervenir dans des situations de hausses de prix injustifiées, pour garantir la régulation et prévenir toute formation de monopole». Il faut savoir que la loi actuelle permet à l’Etat d’intervenir pour fixer seulement les prix de certains produits subventionnés.

Le nouveau projet devra permettre l’intervention des autorités publiques pour fixer les marges bénéficiaires sur les prix de tous les produits de consommation. Selon les termes de ce texte, le ministère du Commerce disposera de l’autorité de fixer les marges et profits réalisés sur le commerce de produits et de services.

Un décret exécutif sur la base des marges de prix suggérées par des experts en la matière et le conseil de la concurrence doit être mis en place.

http://www.algerie360.com/algerie/les-produits-alimentaires-flambent-qui-doit-reguler-le-marche/

Les pauvres citoyens algériens sont confrontés ces derniers jours à une hausse fulgurante des prix de produits de première nécessité. Qui va les aider à survivre devant une telle situation ??

Hind-mk3 a écrit:

Les pauvres citoyens algériens sont confrontés ces derniers jours à une hausse fulgurante des prix de produits de première nécessité. Qui va les aider à survivre devant une telle situation ??

Oui, c'est vrai ! tout les produits sont en hausse !

Importation de viande : Le département de Benaïssa rassureLetempsdz.comMardi

1 juin 2010 à 2:47

Toute importation de viande fraîche ou congelée par l’Algérie est sujette à l’aval de l’Organisation mondiale de la santé animale (OIE), dont l’Algérie est membre.

Citation :

La partie algérienne est représentée par le docteur Rachid Bouguedour, directeur des services vétérinaires au ministère de l’Agriculture et du Développement Rural.

Les dossiers déposés par les importateurs algériens intéressés par l’importation d’une importante quantité de viande pour le mois de Ramadhan sont remis à la direction des services vétérinaires.

Nous avons appris auprès du ministère que pour attribuer les dérogations sanitaires d’importation aux importateurs, ces derniers doivent d’abord fournir un dossier complet répondant aux critères du cahier des charges élaboré à cette fin.

Une fois le dossier déposé, les services vétérinaires consultent l’Organisation mondiale de la santé animale pour avoir des informations sur le pays d’où sera importée la viande.

L’OIE qui est une organisation intergouvernementale chargée d’améliorer la santé animale dans le monde veille à ce que les conditions sanitaires du cheptel soient réunies et que ce dernier ne présente aucune maladie. Les normes établies par l’Organisation sont reconnues comme références mondiales par l’Organisation mondiale du commerce (OMC).

A deux mois du mois de Ramadhan, le département de M. Benaïssa rassure que la viande sera disponible durant cette période et que l’opération d’importation suit son cours ; plusieurs importateurs algériens se sont manifestés. Plusieurs marchés sont ouverts pour l’importation de la viande. il s’agit entre autres de l’Argentine, l’Uruguay, la France…

L’importation de la viande et autres produits de large consommation durant le mois sacré a été décidée il y a quelques mois par un conseil interministériel pour la régulation du marché et la disponibilité des produits.

Ainsi, le gouvernement a instruit la Société de gestion des participation pour les productions animales (SGP Proda) d’importer 5000 tonnes de viande congelée ovine et bovine qu’elle va distribuer à travers ses points de ventes ou les céder à des agents agréés (commerçants de gros et de détail).

Des stocks de 4000 tonnes de viandes blanches locales seront constitués également par la SGP Proda dans le cadre de ces mesures. Il a été également autorisé aux opérateurs privés d’importer près de 10 000 tonnes de viande ovine fraîche.

Nassima Bensalem

http://www.algerie360.com/algerie/importation-de-viande-le-departement-de-benaissa-rassure/