Chavez : "Maudit sois-tu, Etat d’Israël !

Le leader socialiste Vénezuellien lance un véritable réquisitoire contre Israël et les Etats Unis, qualifiant Israël de criminel de guerre, et accusant les Etats-Unis d’être en guerre non pas contre le terrorisme mais seulement contre le terrorisme qu’ils ne soutiennent pas...

Par ailleurs il accuse le Mossad d’avoir des plans pour l’assassiner en opérant depuis les iles Caraïbes, mais rassure son public de "les avoir bien sous contrôle". Il s’en moque en disant "Ils ne sont pas invisibles... et ils sont maladroits la plupart du temps... Ils sont habitués à se battre contre des sans-défenses".

Au moins Chavez a le courage de s'exprimer

Commentaire déposé parun internaute sur l'article :

par bercav (xxx.xxx.xxx.50) 7 juin 16:49

Et oui, à une époque pas si lointaine, la France, sans être aussi virulente que Chavez, aurait également eu les moyens de condamner la conduite d’Israel et du terrorisme d’état portant préjudice aux Nations en voie d’émancipation.

Aujourd’hui, l’infiltration mondialiste grandement relayée par Pompidou/Rothschild, Sarkozy, Kouchner, Strauss-Kahn and Co, nous laisse pieds et poings liés face à l’hydre financière internationale. Mais toute cette engeance n’en a pas fini avec les peuples et les Nation, loin de là...

En attendant, bravo Chavez.

chavez est courageux

Venezuela - Chavez accuse un site internet "d'incitation à un coup d'Etat"

AFP | 06.06.10 | 22h11

Citation :

Le président du Venezuela Hugo Chavez a ordonné dimanche l'ouverture d'une enquête contre un site internet d'information, Noticiero Digital, qu'il accuse de diffuser des "incitations à un coup d'Etat" contre son gouvernement.

"Des incitations au coup d'Etat continuent à apparaître et ce n'est pas tolérable", a déclaré le chef de file de la gauche radicale latino-américaine, que ses détracteurs accusent régulièrement de restreindre la liberté de la presse dans le pays sud-américain.

"Il faut enquêter là-dessus à nouveau", a ajouté le chef de l'Etat vénézuélien, chassé pendant deux jours du pouvoir par un putsch en avril 2002, lors de son émission hebdomadaire radio-télévisée, "Alo Presidente" (Allo président).

En mars, Hugo Chavez avait accusé ce site internet d'avoir publié une fausse nouvelle, car il avait affirmé, à tort selon lui, que le ministre des Travaux Publics, Diosdado Cabello, avait été assassiné.

Cette fois-ci, il assure que le journaliste a écrit que "les militaires (vénézuéliens) se tiennent prêts à agir", mais n'a pas réussi à retrouver l'article incriminé dans ses documents.

Noticiero Digital affirme qu'il s'agit d'un commentaire publié sur "un de nos forums". Il s'était déjà défendu ainsi en mars, en précisant qu'il n'y avait pas de censure préalable dans ces espaces de débat.

En janvier dernier, le gouvernement avait suspendu plusieurs chaînes de télévision, pour avoir dérogé à une série de nouvelles obligations, dont celle de diffuser les discours fleuve du président Chavez.

Six mois plus tôt, l'autorité de contrôle de l'audiovisuel (Conatel) avait fait fermer une trentaine de radios sur la base d'irrégularités administratives.

Ces deux décisions avaient suscité des protestations nationales et internationales.

http://www.lemonde.fr/depeches/2010/06/06/venezuela-chavez-accuse-un-site-internet-d-incitation-a-un-coup-d-etat_3236_58_42646842.html

C'est le comble et puis c'est trop facile, Chavez a bien raison de dénoncer le site rebelle

en effet, c'est son droit et son devoir de dénoncer ce genre d'agissement clandestins

Oui surtout lorsque la démocratie est menacée par des agissements anti-démocratiques

sacré Chavez

Venezuela/pétrole: nationalisation de 11 foreuses de l'américain H&P

Citation :

24/06/2010 - almanar - Le gouvernement vénézuélien va nationaliser 11 foreuses appartenant à la société américaine de services pétroliers Helmerich & Payne (H&P), c'est ce qu'a annoncé mercredi le ministre du Pétrole Rafael Ramirez.

Selon le ministre, cette décision a été prise car l'entreprise américaine s'est refusée à négocier ses tarifs avec PDVSA, la compagnie pétrolière nationale vénézuélienne.

"Ils se sont refusés à négocier leurs tarifs avec PDVSA et ils ont préféré garder leurs équipements inutilisés pendant un an", a ajouté M. Ramirez, via un communiqué de PDVSA.

Le ministre a précisé qu'une demande de déclaration d'utilité publique de ces équipements avait été déposée auprès de l'Assemblée nationale.

Chavez menace de fermer le robinet pétrolier aux USA

Citation :

27/07/2010 - Almanar - Le président Hugo Chavez a menace de couper le robinet pétrolier à son premier client, les Etats-Unis, s'ils soutenaient une attaque colombienne hypothétique contre le Venezuela. Le président vénézuélien, chef de file de la gauche radicale régionale, a lancé cet avertissement dimanche, trois jours après avoir rompu ses relations diplomatiques avec la Colombie, en réponse aux accusations de Bogota d'héberger 1.500 guérilleros et des dizaines de campements rebelles colombiens.

"S'il y avait une agression armée contre le Venezuela à partir du territoire colombien ou d'un autre endroit, soutenue par l'empire yankee, nous suspendrions l'envoi de pétrole aux Etats-Unis, même si nous devions manger des pierres", a lancé dimanche Chavez, qui dirige le 9e producteur mondial de brut.

Washington, qui a assuré lundi ne "pas avoir l'intention d'entamer une action militaire contre le Venezuela" et désirer "poursuivre" "une relation énergétique profitable aux deux parties", est de loin le premier client du premier producteur de brut sud-américain.

En avril, le Venezuela exportait 950.000 barils par jour (bp/j) vers les Etats-Unis, sur une production comprise entre 2,32 millions de bp/j selon l'Opep et 3,1 millions de bp/j selon les autorités, rappelle l'économiste Jesus Cacique.

Les USA n'ont qu'à bien se tenir !!!

L’ex-président colombien Alvaro Uribe considérait les liens du président vénézuélien Hugo Chavez avec les Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) comme une menace pour la région et a envisagé l’envoi de son armée au Venezuela, révèle le site Wikileaks.

"Hugo Chavez essaie d’utiliser les Farc comme force paramilitaire contre le gouvernement colombien, et je suis prêt à envoyer nos troupes sur le territoire vénézuélien pour capturer les guérilleros qui s’y sont retranchés et les remettre entre les mains de la justice colombienne", a déclaré M.Uribe, citée dans une note diplomatique de l’ambassade US à Bogota, révélée par Wikileaks.

Cette note confidentielle en date du 17 janvier 2008 relate le contenu d’une rencontre entre l’ancien président colombien et le chef d’état-major interarmées américain, Michael Mullen.
Le document prouve également que M.Uribe a recommandé aux Etats-Unis de se mettre à la tête d’une vaste campagne de dénigrement du président Chavez et du Venezuela.

Le document prouve également que M.Uribe a recommandé aux Etats-Unis de se mettre à la tête d’une vaste campagne de dénigrement du président Chavez et du Venezuela.

Le 29 novembre dernier, le site a rendu public plus de 250.000 messages confidentiels de la diplomatie américaine, qui décrivent en des termes peu flatteurs différents leaders mondiaux, ce qui a provoqué la colère de Washington et l’embarras de plusieurs gouvernements

Coup d'envoi de la campagne officielle pour la présidentielle au Venezuela

Publiée le 2 juil. 2012 par euronewsfr

Venezuela : une démocratie malade du pétrole

Par Patrick Bèle le 6 octobre 2012 18h29

Citation :

Hugo Chavez et Henrique Capriles Radonski, qui s’affrontent pour la présidentielle ce dimanche 7 octobre 2012, ont au moins deux mensonges en commun : Ils affirment vouloir doubler la production de pétrole et ils cachent qu’une dévaluation va être inévitable dans les mois qui viennent.

http://blog.lefigaro.fr/amerique-latine/2012/10/venezuela-une-democratie-malade-du-petrole.html

Il est impossible de doubler la production pétrolière à moyen terme car les infrastructures pétrolières sont en très mauvais état.

La production de brut n’a cessé de baisser depuis 2000.

Elle dépassait les 3 millions de barils jour ; elle n’est plus que de 2,2 à 2,5 millions.

La compagnie nationale PDVSA ne s’est toujours pas remise de la grève insurrectionnelle de 2002 et du licenciement par Hugo Chavez de 20 000 salariés, dont de très nombreux cadres.

L’entreprise manque de compétences.