Le MAE de Russie voit comme fâcheuse la décision de la chambre basse du Congrès des Etats-Unis d’interdire des contrats commerciaux avec « Rosoboronexport ». Une telle démarche est directement liée au veto russe touchant le projet de résolution occidentale au CS de l’ONU, a-t-on déclaré au ministère.
Précédemment la chambre des représentants a approuvé des amendements respectifs au budget des Etats-Unis, en les expliquant par le fait que la Russie fournit des armes à Damas. La décision des membres du Congrès tournera en pertes pour le Pentagone, estiment des experts.
Les Etats-Unis ne peuvent pas acheter du matériel à la société russe, qui est impliquée dans le massacre des citoyens syriens, considère le républicain Jim Moran, auteur de l’amendement apporté au budget des Etats-Unis. Jeudi l’interdit de conclure des contrats avec « Rosoboronexport » a été voté par la chambre des représentants du Congrès américain. Il l’a fait immédiatement après que la Russie eut imposé son veto au projet occidental de la résolution sur la Syrie. Moscou ne considère pas cette coïncidence comme fortuite et insiste que toutes les livraisons d’armes se font conformément au droit international, a déclaré le porte-parole officiel du MAE de Russie Alexandre Loukachevitch :
« C’est un événement bien fâcheux. Et cela a été fait immédiatement après que la Russie eut été obligée d’opposer son veto au projet de résolution, ouvrant la voie à une ingérence militaire étrangère en Syrie. Une telle démarche peut être appelée entre guillemets tentative de se venger sur la Russie. L’aspiration des Etats-Unis à réagir à tout propos avec des sanctions inspire de la répulsion ».
Le MAE remarque que les membres du Congrès ne tiennent pas compte de la coopération de « Rosoboronexport » avec le Pentagone sur l’Afghanistan. En effet, le département militaire américain a acheté précédemment à la Russie 21 hélicoptères Mi-17 dans le cadre de renforcement des forces nationales de sécurité d’Afghanistan. Le 18 juillet a été conclu un contrat sur la livraison d’encore 10 appareils.
L’intérêt du Pentagone précisément pour des hélicoptères russes est compréhensible, car ils conviennent mieux aux conditions de leur exploitation en Afghanistan, expliquent les experts. La décision des membres du Congrès frappe directement le Pentagone et les plans des Etats-Unis de réduire leurs dépenses militaires, note Rouslan Poukhov, qui dirige le Centre de l’analyse des stratégies et des technologies :
« Les Américains achetaient ces hélicoptères pour des raisons bien pragmatiques. Parce qu’il reste encore en Afghanistan un certain nombre de ceux qui étaient pilotes ou techniciens sous le régime de Najibullah. Il est plus facile de leur apprendre à réparer cet hélicoptère. Si les législateurs américains interdisent d’acheter des Mi-17, cela plaira à la compagnie « Sikorski ». Elle saura livrer ses appareils, qui sont plusieurs fois plus chers ».
Le MAE de Russie espère qu’une ligne plus pragmatique prenne le dessus aux Etats-Unis. Et que lors de l’examen ultérieur du budget la décision concernant « Rosoboronexport » puisse être revue. L’amendement en question devra encore passer par le Sénat, mais dans tous les cas il appartiendra à l’administration de Barack Obama de trancher.
Le chef du Pentagone s’inquiète des attaques “Green on Blue” en Afghanistan
15 août 2012 – 11:58
Citation :
Depuis le début de cette année, sur les 289 militaires de la Force internationale d’assistance à la sécurité (ISAF) qui ont perdu la vie en Afghanistan, 37 ont été victimes de ce que l’on appelle des attaques “Green on Blue”, c’est à dire commises par des soldats ou des policiers afghans contre la coalition dirigée par l’Otan.
Le taux de pertes liées à ces attaques est ainsi passé de 18% en mars dernier à 13%. Cela étant, la semaine passée, 7 militaires de l’Otan ont été tués au cours de trois incidents distincts, revendiqués par les insurgés taliban.
Au total, 27 attaques “Green on Blue” ont été recensées par l’ISAF, qui, jusqu’à présent, a cherché à minimiser le phénomène. Car outre les pertes qu’ils provoquent, ces incidents sont de nature à saper la confiance que les militaires de la coalition portent à leurs homologues afghans.
“Ce que nous avons identifiés, c’est que la plupart de ces incidents ont été causés par des griefs personnels et des situations de stress”, a fait valoir le général Günter Katz, porte-parole de l’ISAF. “Mais ces faits isolés ne reflètent pas la situation sécuritaire générale en Afghanistan. A l’heure où nous parlons, 500.000 soldats et policiers travaillent ensemble pour contribuer à un Afghanistan plus sûr et plus stable” a-t-il ajouté, en estimant que cela n’affectera pas “le processus de transition”.
Mais pour le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, il y a au contraire des raisons de s’inquiéter. “Je suis très préoccupé par ces incidents, parce que des vies sont perdues et en raison des dégâts potentiels pour notre partenariat avec les forces afghanes” a-t-il déclaré, lors d’une conférence de presse, le 14 août.
“Les taliban recourent à cette tactique pour créer le chaos parce qu’ils ne sont plus en mesure de reconquérir le terrain perdu et quand ils ne sont pas à l’origine de ces attaques, ils les revendiquent” a-t-il ajouté.
Cela étant, les troupes de l’ISAF ne sont pas les seules à être confrontées à ce type de menace. Ainsi, le 11 août, 11 policiers afghans ont été tués par un homme portant leur uniforme, dans la province de Nimroz. “L’enquête initiale montre que le tireur était un taliban infiltré. Il a aussi été tué par la police” a indiqué le gouverneur. En procédant de la sorte, les insurgés tentent de dissuader d’éventuelles recrues de s’engager au sein des forces de sécurité tout en cherchant à saper la confiance que se doivent mutuellement des frères d’armes.
L’avion du chef d’état-major de l’armée américaine touché par une roquette à Bagram
21 août 2012 – 11:43
Citation :
Le chef d’état-major interarmées américain, le général Martin Dempsey, a effectué une visiste en Afghanistan, le 19 août, afin d’évoquer avec les autorités de Kaboul le phénomène des attaques dites “green on blue”, menées par des hommes appartenant aux forces de sécurité afghanes contre des militaires de la Force internationale d’assistance à la sécurité.
En deux semaines, ce sont 10 soldats de l’Otan qui ont ainsi perdu la vie dans ce type d’attaques, dont la fréquence augmente, a reconnu le général Dempsey. ” Nous avons un processus de contrôle en huit points qui est en place depuis environ un an, mais nous n’avons pas encore inversé la tendance” a-t-il affirmé avant d’arriver à Bagram.
Quoi qu’il en soit, le général Dempsey a connu un contre-temps au cours de son déplacement. En effet, l’avion à bord duquel il était arrivé en Afghanistan, un C-17, a été touché par l’une des deux roquettes tirées au cours de la nuit du 20 au 21 août, alors qu’il était sur le tarmac de la base de Bagram, la plus importante de l’Otan dans le pays.
La sécurité du chef d’état-major américain n’a pas été remise en cause par cette attaque, étant donné qu’il était en train de dormir dans un bâtiment de la base au moment de l’attaque.
“Les dommages causés à l’appareil ont conduit le général Martin Dempsey à utiliser un autre appareil pour quitter l’Afghanistan à la mi-journée, après une visite de deux jours dans ce pays” a indiqué le colonel Dave Lapan, un porte-parole du Pentagone. Ce dernier a également précisé que deux militaires américains avaient été blessés lors de cet incident.
En mars dernier, le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, avait été la cible d’une tentative d’attentat lors d’une visite dans le sud de l’Afghanistan. Un kamikaze avait pu être arrêté à temps, alors qu’il s’était emparé d’une camionnette pour foncer “ur un groupe de soldats rassemblés pour accueillir” le chef du Pentagone à sa descente d’avion.
Le Pentagone réduit sa participation à un exercice antimissile en Israël
3 septembre 2012 – 14:28
Citation :
“Je pense que nous devons dire la vérité : la communauté internationale ne pose pas de ligne rouge claire à l’Iran et l’Iran ne perçoit pas de détermination de la communauté internationale à arrêter son programme nucléaire” a réagi Benjamin Netanyahu, le Premier ministre israélien, après la publication d’un rapport l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) concernant Téhéran.
Le document en question a en effet mis en avant, et malgré les sanctions internationales, l’augmentation des capacités iraniennes d’enrichissement d’uranium, notamment sur le site de Fordo, et déploré que les inspecteurs de l’AIEA ne puissent pas se rendre sur la base de Parchin.
“Tant que l’Iran ne percevra pas de ligne rouge et de détermination (ndlr, de la communauté internationale) il ne cessera pas de faire avancer son programme nucléaire. L’Iran ne doit pas obtenir la bombe atomique” a encore insisté le chef du gouvernement israélien, lors de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres.
Les dernières déclarations de Benjamin Netanyahu traduisent l’impatience du gouvernement israélien et alimentent davantage les spéculations sur une éventuelle opération militaire contre les sites nucléaires iraniens, chose que l’administration Obama veut éviter pour le moment tout en laissant la priorité à la diplomatie et aux sanctions internationales prises à l’égard de Téhéran.
C’est dans ce contexte que, selon l’hebdomadaire américain Time, le Pentagone a décidé de réduire sa participation à l’exercice anti-missile Austere Challenge 12, qui, initialement prévu au début de cette année, a été reporté à cet automne. A l’époque, il avait dit que ce contre-temps était dû aux mauvaises relations entre Tel Aviv et Washington et qu’il s’agissait d’un signal envoyé par l’administration Obama pour marquer son désaccord avec la volonté israélienne d’attaquer l’Iran.
Cette fois, il semblerait que la réduction de la participation américaine à l’exercice Austere Challenge soit du même ordre, même si des restrictions budgétaires ont été avancées par le Pentagone.
Foxbat16
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Sujet: Re: Pentagone Lun 3 Sep 2012 - 16:58
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Concrètement, au lieu de déployer 5.000 hommes en Israël pour prendre par à ces manoeuvre, l’armée américaine n’en enverrait qu’entre 1.200 et 1.500. Et un seul destroyer AEGIS au lieu des deux prévus prendrait part à l’exercice. Et encore, selon Time, ce n’est pas encore acquis. Seules les batteries antimissiles Patriot prendront la route d’Israël.
“Fondamentalement, les Américains disent ‘Nous n’avons pas confiance en vous’” a estimé un haut responsable militaire israélien interrogé par l’hebdomadaire. En diminuant leur participation à ces manoeuvres, les Etats-Unis semblent vouloir dire qu’ils se tiennent à l’écart de toute attaque israélienne contre l’Iran, tout en mettant en garde le gouvernement israélien de la tentation de faire cavalier seul.
Même si l’Etat hébreu s’est doté de capacités antimissiles performantes, il n’en reste pas moins qu’elles sont susceptibles d’être insuffisantes dans le cas d’une riposte iranienne, laquelle impliquerait le Hezbollah libanais, proche allié de Téhéran, avec des tirs de roquettes et de missiles dans le nord d’Israël.
Ainsi, les militaires israéliens pourraient ne pas bénéficier, par exemple, des données recueillies par le radar d’alerte avancé X-Band installé par les Etats-Unis dans le désert du Negev afin de dissuader Tel Aviv de mener une opération militaire unilatéralement.
Etats-Unis : le Pentagone élargie ses exportations de drones
6.09.2012, 13:28
Citation :
Le Pentagone a lancé une nouvelle directive qui vise à élargir jusqu’aux 66 la liste de pays importateurs de drones américains. Le congrès et le département d’Etat devraient maintenant l’approuver.
Le ministère de la Défense du pays compte ainsi augmenter les ventes de drones américains à l’étranger. Les modèles des appareils sans-pilotes non pas été encore précisés.
Le Pentagone peaufine des règles d’engagement en cas de cyberattaques
12 octobre 2012 – 16:31
Citation :
Le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, a évoqué le thème de la cybersécurité à l’occasion d’un discours prononcé devant des hommes d’affaires réunis à l’Intrepid Sea, Air and Space Museum de New York.
De plus en plus, la cybersécurité apparaît comme étant un enjeu majeur. “Le cyberespace est la nouvelle frontière” a estimé Leon Panetta. Et les promesses de prospérité qu’il recèle sont en balance avec l’apparition de “nouveaux périls”. “Internet est ouvert et très accessible” a-t-il rappelé. “Mais cela présente aussi un nouveau terrain pour une guerre où des adversaires peuvent chercher à faire du mal à notre pays, notre économie et nos citoyens” a-t-il ajouté.
“Une cyberattaque perpétrée par les États ou des groupes extrémistes violents peuvent être aussi destructrices que l’attaque terroriste du 11 septembre (2001)” et “paralyser le pays” a estimé Leon Panetta.
Pour bien préciser les choses, la protection des réseaux civils américains est du ressort du département de la Sécurité intérieure (DHS) et du FBI, le Pentagone n’intervenant qu’en soutien.
Et après avoir rappelé des cas d’attaques informatiques, comme celle particulièrement élaborée ayant visé, cet été, la société pétrolière Aramco, le patron du Pentagone a déclaré que ses services sont au courant que des “acteurs étrangers se penchent sur infrastructures essentielles américaines”, comme par exemple les systèmes de contrôle des centrales électriques ou encore les réseaux de distribution d’eau. Ce qui n’est pas nouveau en soi, plusieurs affaires de ce type ayant déjà été relatées par le passé.
Mais, devant cette perspective, Leon Panetta a assuré qu’il est de la responsabilité du Pentagone de “défendre ses réseaux, mais aussi d’être prêt à défendre le pays et nos intérêts nationaux contre une attaque.” Et d’ajouter : “Si un adversaire étranger attaque les Etats-Unis, le peuple américain attend une riposte de ses armées. Si une cyber-attaque paralysante a été lancée contre notre nation, le peuple américain doit être protégé.”
“Nous ne réussirons pas à empêcher une cyberattaque simplement par des défenses améliorées. Si nous détectons une menace imminente d’attaque qui provoquera d’importantes destructions physiques ou provoquera la mort de citoyens américains, nous devons avoir la possibilité d’agir pour défendre le pays si le président l’ordonne” a-t-il expliqué.
Le Pentagone “a développé la capacité de mener des opérations efficaces pour contrer les menaces contre nos intérêts nationaux dans le cyberespace”, a encore indiqué Leon Panetta, sans toutefois parler de “capacités offensives”.
Les propos du secrétaire américain à la Défense font écho à ceux tenus par le général Keith Alexander, à la fois chef de l’USCYBERCOM, le commandement militaire américain dédié au cyberespace, et directeur de la National Security Agency (NSA). Ce dernier n’avait pas hésité à parler de moyens offensifs lors d’un colloque, le 4 octobre dernier, à Washington.
“Parfois, le gouvernement doit étudier ce qu’il faut faire pour stopper les attaques – pour les stopper avant qu’elles ne surviennent. Pour notre défense, nous devons aussi étudier des mesures offensives” avait affirmé le général Alexander, pour qui une agression contre les réseaux informatiques d’infrastructures névralgiques devrait suivre les même règles d’engagement qu’une attaque “conventionnelle”.
Le souci, dans le cyberespace, est de pouvoir identifier avec certitude les auteurs d’une attaque afin de pouvoir ensuite engager des actions de représailles. Or, Leon Panetta a assuré que les Etats-Unis, via l’USCYBERCOM, ont actuellement cette capacité.
“Au cours des deux dernières années, le Pentagone a fait des investissements importants pour résoudre ce problème et nous avons des résultats” a-t-il affirmé. “Des agresseurs potentiels doivent être conscients que les Etats-Unis ont la capacité de les localiser et de les tenir pour responsables des actions qui nuisent à l’Amérique et à ses intérêts”, a-t-il prévenu.
Enfin, Leon Panetta a mis aussi l’accent sur la coopération avec les alliées des Etats-Unis, mais aussi avec le secteur privé et ainsi déploré l’échec au Congrès d’un projet de lui sur la cybersécurité allant dans ce sens.
Sujet: Le chef du Pentagone maintient sa confiance envers le général Allen Mer 14 Nov 2012 - 20:17
Le chef du Pentagone maintient sa confiance envers le général Allen
(ats / 14.11.2012 19h27)
Citation :
Le secrétaire américain à la Défense Leon Panetta a maintenu sa "confiance" au général John Allen, chef de la coalition internationale en Afghanistan. Il a mis en garde contre une interprétation hâtive des actions prises contre l'officier dans le cadre du scandale sexuel impliquant David Petraeus.
L'enquête interne visant John Allen et la décision de retarder sa nomination comme chef de l'OTAN sont des mesures de prudence prises "jusqu'à ce que les faits soient éclaircis, ce qui sera le cas", a déclaré le secrétaire à la Défense lors d'une conférence de presse à Perth, en Australie.
"Personne ne devrait tirer de conclusion hâtive. Le général Allen fait un excellent travail à l'Isaf (Force internationale d'assistance à la sécurité), en dirigeant ces forces", a-t-il ajouté. "Il continue assurément de bénéficier de ma confiance pour diriger nos troupes et poursuivre le combat." M. Allen a aussi reçu le soutien du président américain Barack Obama et du secrétaire général de l'Otan Anders Fogh Rasmussen.
Le général Allen fait l'objet d'une enquête après la découverte par le FBI de sa correspondance nourrie - entre 20'000 et 30'000 messages entre 2010 et 2012, selon la police fédérale américaine - avec Jill Kelley, la femme à l'origine de la révélation de la relation extraconjugale de David Petraeus, directeur démissionnaire de la CIA.
Petraeus s'expliquera sur Benghazi
M. Petraeus participera finalement en personne jeudi aux auditions du Congrès sur l'attaque du consulat américain de Benghazi en Libye, a indiqué mercredi le sénateur John McCain, confirmant une informations diffusée plus tôt par les médias américains.
Depuis plusieurs jours des élus des deux partis réclamaient son témoignage direct, d'autant plus éclairant qu'il se serait rendu lui-même en Libye pour enquêter sur les circonstances entourant l'attaque du consulat le 11 septembre, dans laquelle l'ambassadeur Christopher Stevens et trois autres Américains ont été tués.
Le chef du Pentagone invite Choïgou aux USA l'an prochain (Défense)
vendredi, 07 décembre 2012 18:44
Citation :
IRIB-Le secrétaire d'Etat américain à la Défense Leon Panetta a appelé vendredi Sergueï Choïgou pour le féliciter de sa nomination au poste de ministre russe de la Défense et l'inviter à venir en visite officielle aux Etats-Unis l'année prochaine, rapporte le service de presse du ministère russe. "Vendredi 7 décembre, lors d'un entretien téléphonique, le ministre américain de la Défense Leon Panetta a invité son homologue russe, le général d'armée Sergueï Choïgou, à se rendre aux Etats-Unis en visite officielle en 2013", lit-on dans le communiqué.
MM.Choïgou et Panetta ont également évoqué le bilan et les perspectives du développement des relations entre leurs ministères, selon le service de presse.